PrioritĂ©1 : augmenter la quantitĂ© de lĂ©gumes (surtout vert) pour atteindre 50% de votre assiette. VĂ©rifiez que le nombre dâaliments basifiants est supĂ©rieur aux nombres dâaliments acidifiants. PrioritĂ© 2 : rĂ©duire les produits transformĂ©s, sucrĂ©s, laitiers et cĂ©rĂ©aliers, trouver des substituts moins agressifs.1. Le RĂ©gime PalĂ©olithique Aujourdâhui les nouvelles technologies nous permettent dâanalyser les ossements de nos ancĂȘtres de lâĂ©poque palĂ©olithique, ce qui nous amĂšne Ă faire des dĂ©couvertes majeures en ce qui concerne leurs habitudes faut savoir quâil nâexiste pas un seul rĂ©gime palĂ©olithique, il y en a des tas, et ils dĂ©pendaient en grande partie des conditions de vies dans lesquelles nos ancĂȘtres se trouvaient. Ainsi, un homme de cette Ă©poque vivant sur le continent europĂ©en aurait une alimentation totalement diffĂ©rente de celui vivant sur le continent africain. 2. LâĂ©volution des fruits et lĂ©gumes Le rĂ©gime alimentaire de lâhomo sapiens il y a 200 milles ans Ă©tait trĂšs carnĂ©. Cependant, lâimage que lâon peut avoir des hommes prĂ©historiques chassant le mammouth reste trĂšs clichĂ©, et au final sâavĂšre fausse puisquâĂ cette Ă©poque lâhomme se nourrissait essentiellement de charogne. En effet il Ă©tait bien plus facile de se disputer les restes dâun animal avec les autres charognards que dâaller chasser un mammouth de 12 tonnes vivant gĂ©nĂ©ralement en troupeauâŠA lâĂ©poque palĂ©olithique lâhomme ne nourrissait donc de viande, mais aussi de âfruits et lĂ©gumesâ. Ce quâil faut savoir câest quâĂ lâĂ©poque palĂ©olithique les fruits et lĂ©gumes que lâon pouvait trouver nâĂ©tait en aucun cas prĂ©sents sous la forme que nous connaissons aujourdâhui. Les hommes Ă lâĂ©poque mangeaient des baies, des racines, des feuilles etc. mais pas les lĂ©gumes que lâon connaĂźt au cours de lâhistoire avec lâapparition de lâagriculture, de la sĂ©lection et des croisements des variĂ©tĂ©s que lâhumanitĂ© a su faire Ă©voluer la nature et ainsi obtenir nos fruits et lĂ©gumes dâaujourdâhui. 3. Lâinfluence de la dĂ©couverte du feu sur notre alimentation La maĂźtrise du feu par lâHomme est quelque chose qui est arrivĂ©e relativement tard. Avant la maĂźtrise du feu lâHomme se nourrissait exclusivement dâaliments crus, les âlĂ©gumesâ comme la viande. Le fait de cuire les aliments a fait du bien Ă notre santĂ© et notre alimentation en gĂ©nĂ©ral. Par exemple, une viande cuite permet dâobtenir un meilleur apport Ă©nergĂ©tique dâune viande crue. De mĂȘme la digestion sâen trouva grandement revanche, ce qui est vrai pour la viande nâest pas forcĂ©ment vrai pour les lĂ©gumes. La cuisson des lĂ©gumes, notamment Ă lâeau, fait parfois perdre des vitamines naturellement prĂ©sentes dans les lâinverse, la cuissons de certains lĂ©gumes permettaient de les rendre tout simplement comestibles. Les racines de manioc par exemple crues, elles provoquent des intoxications sĂ©vĂšres alors quâune fois bien cuites, elles reprĂ©sentent un trĂšs bon apport nutritif. 4. Les diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s de lĂ©gumes Le nombre de variĂ©tĂ©s de fruits et lĂ©gumes est astronomique, vraiment. Pour les tomates par exemple il existe des milliers de variĂ©tĂ©s Ă travers le monde ! Oui monsieur ! Des milliers ! Le nombre exact est compliquĂ© Ă donner Ă©tant donnĂ© que plus de 95% des variĂ©tĂ©s sont officiellement considĂ©rĂ©es comme illĂ©gales⊠Sur les milliers de variĂ©tĂ©s de tomates dont je vous parle, savez-vous combien nous en cultivons sur Terre ? Uniquement 200. Et câest pareil pour tous les types de fruits et lĂ©gumes. La lĂ©gislation française interdit la commercialisation de fruits et lĂ©gumes issus dâagriculture paysanne Les maraĂźchers nâont pas le droit dâacheter ou de sâĂ©changer des graines de âvieux lĂ©gumesâ, et nâont bien Ă©videmment pas le droit de vendre les fruits ou lĂ©gumes issus de ces graines⊠Quiconque serait surpris Ă vendre de âvieux lĂ©gumesâ sâexposerait Ă des amendes particuliĂšrement dissuasives, voire Ă des peines dâemprisonnement⊠5. Les dĂ©but de lâagriculture et la sĂ©dentarisation Au cours du temps, lâHomme sâest peu Ă peu sĂ©dentarisĂ©. Cette sĂ©dentarisation a donnĂ© lieu Ă lâinvention de lâagriculture et de lâĂ©levage. Lâagriculture donna lieu Ă©galement Ă une sĂ©lection des variĂ©tĂ©s de fruits et lĂ©gumes. Cette sĂ©lection jusquâalors assez empirique sâest nettement dĂ©veloppĂ©e, principalement durant le dernier aujourdâhui nous avons une vĂ©ritable standardisation des fruits et lĂ©gumes, oĂč les variĂ©tĂ©s sont pauvres, tant au niveau goĂ»t quâen apports nutritifs. La standardisation vient du fait quâaprĂšs la Seconde Guerre Mondiale une industrialisation alimentaire sâest mise en populations ont vĂ©cu le manque, le rationnement et la faim. Câest pour faire face Ă cette peur de manquer Ă nouveau que les industriels ont dĂ©cidĂ© de produire en masse . Produire toujours plus. Câest dans cette optique lĂ quâune standardisation a Ă©tĂ© faite sur les fruits et lĂ©gumes, afin de produire peu de variĂ©tĂ©s, mais de les produire en masse. Les variĂ©tĂ©s qui ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©es lâont dâailleurs Ă©tĂ© par rapport Ă leurs rĂ©sistances aux maladies et Ă leurs vitesse de croissance / production, et non par rapport Ă leurs goĂ»ts. 6. LâĂ©volution de lâanatomie humaine Lâanatomie humaine a connu des Ă©volutions Ă travers le temps, notamment par rapport Ă ce que lâon mangeait Ă©volution des dents, du cerveau etc.Suite Ă la sĂ©dentarisation et Ă lâagriculture, lâHomme a commencĂ© Ă vivre au contact dâautres animaux, crĂ©ant une promiscuitĂ© avec ces derniers. Suite Ă ce contact rĂ©gulier, des maladies ont commencĂ© Ă apparaĂźtre et Ă se dĂ©velopper. LâHomme sĂ©dentaire sâest vu confrontĂ© Ă faire face Ă des maladies quâil ne connaissait pas avant, par exemple la peste qui est transmise par la puce du rat. 7. Le lactose et le corps humain On sait Ă©galement que durant cette pĂ©riode le patrimoine gĂ©nĂ©tique de lâHomme a changĂ© et sâest adaptĂ© aux nouveaux aliments; et notamment au lactose, aliment pour lequel lâHomme adulte est totalement inadaptĂ©. Le seul lait que lâHomme buvait Ă lâĂ©poque Ă©tait le lait de sa mĂšre en Ă©tant nourrisson, au delĂ il devenait lactose est dâailleurs intĂ©ressant de constater que de nos jours la consommation rĂ©guliĂšre de produits laitiers est quelque chose de courant. Et pourtant nous savons maintenant que cela est mauvais pour notre santĂ©, et que lâingestion de lait aprĂšs sevrage serait la cause du dĂ©veloppement de nombreuses maladies osseuses dont lâostĂ©oporose⊠8. Le sucre Le sucre a Ă©tĂ© introduit principalement grĂące Ă la dĂ©couverte de la canne Ă sucre qui est connu de façon trĂšs ancienne. Son origine serait la Nouvelle GuinĂ©e. Elle a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme un mĂ©dicament pendant un long moment. La canne Ă sucre a ensuite Ă©tĂ© importĂ©e, et cultivĂ©e, notamment dans les Ăźles mĂ©diterranĂ©ennes. Le sucre Ă©tait quelque chose de trĂšs cher pendant une longue pĂ©riode, il Ă©tait donc rĂ©servĂ© aux riches. Ceux ci ont rapidement Ă©tĂ© victimes des mĂ©faits de ce produit nouveau carie dentaire et obĂ©sitĂ© parmi dâautres. Dâailleurs, pendant longtemps le fait dâĂȘtre âgrosâ Ă©tait considĂ©rĂ© comme signe de richesse par la sociĂ©tĂ©. De nos jours la tendance sâinverse, les gens plus modestes ont tendance Ă manger mal par manque de moyens, se rabattent sur les aliments ultra transformĂ©s et donc Ă ĂȘtre les premiĂšres victimes de lâobĂ©sitĂ©âŠDurant la pĂ©riode palĂ©olithique les apports en sucre de lâHomme Ă©taient trĂšs limitĂ©s, mis Ă part le sucre naturellement prĂ©sent dans les baies ,les fruits et les racines quâils pouvaient manger. Leurs apports principaux restaient les graisses qui Ă©tait transformĂ©es par lâ le sucre est omniprĂ©sent dans le secteur de lâagro-alimentaire et sert principalement comme un exhausteur de goĂ»t, mais Ă©galement pour la conservation des constitue une menace trĂšs importante pour notre santĂ©. 9. Comment bien manger de nos jours ? Lâindustrialisation de la sociĂ©tĂ©, et notamment le secteur agro-alimentaire fait quâaujourdâhui nous nous retrouvons face Ă des produits sans goĂ»t, ayant des apports nutritifs extrĂȘmement rĂ©duits par rapport Ă leurs apports dâorigine. Beaucoup de produits prĂ©sents sont des produits dits âtransformĂ©sâ, ce sont gĂ©nĂ©ralement les pires choses Ă consommer car câest forcĂ©ment synonyme dâajouts de choses que lâon aurait jamais mis dans notre alimentation si nous cuisinions meilleur conseil Ă donner pour bien manger de nos jours, câest de privilĂ©gier les aliments issus de lâagriculture biologique et peu, voir pas du tout transformĂ©s. En rĂ©sumĂ©, pour bien manger il faut revenir aux fondamentaux se remettre Ă cuisiner Ă partir des produits de base. Le problĂšme câest que dans notre sociĂ©tĂ© moderne les gens ont de moins en moins de temps, et donc ont tendance Ă en gagner sur tout, notamment sur le fait de cuisiner sa nourriture⊠10. Les jus dâoranges Les jus dâoranges ont ce dĂ©faut de perdre une grande partie des fibres naturellement prĂ©sentes dans le fruit dâorigine, il est donc bien plus intĂ©ressant dâun point de vue nutritif de consommer une orange quâun verre de jus dâorange. Encore faut il bien choisir son jus dâorange le meilleur est celui que vous pressez vous-mĂȘme, ensuite les jus pressĂ©s dans le commerce. Les jus les moins chers ne contiennent pratiquement plus que du sirop de glucose, des colorants et de lâeau, il vaut mieux les Ă©viter. 11. Lâindustrie agro-alimentaire Lâindustrie agro-alimentaire produit en masse, baissant ainsi les coĂ»ts de production mais par la mĂȘme la qualitĂ© des produits⊠Aujourdâhui nous nous retrouvons avec des aliments transformĂ©s bourrĂ©s de mauvaises choses sucre, gras saturĂ©, colorants etc. et avec des fruits et lĂ©gumes au goĂ»t pauvre et aux apports nutritifs la standardisation est au cĆur de notre sociĂ©tĂ©, et notamment dans le secteur alimentaire. Les fruits et lĂ©gumes doivent ĂȘtre calibrĂ©s, propres et sans taches pour ĂȘtre disposĂ©s dans nos Ă©tals, sinon ils sont jugĂ©s comme Ă©tant impropre Ă la consommation et jetĂ©s Ă la poubelle. Une seule pomme de 1950 Ă©quivaut Ă 100 pommes aujourdâhui en terme dâapports nutritifs et de vitamines⊠12. La viande issue de lâindustrie De nos jours, la viande est produite de la mĂȘme façon que les autres produits dans lâagro-alimentaire Ă la chaĂźne, en masse et toujours dans un soucis de rentabilitĂ© et de baisse des coĂ»tsLâindustrie agro-alimentaire est Ă lâorigine des pires crises sanitaires que lâHomme a pu connaĂźtre jusquâĂ prĂ©sent. La maladie de la vache folle dans les annĂ©es 2000 par exemple. Cette maladie est apparue parce les vaches, qui sont donc des herbivores, Ă©taient nourries avec de la farine de poissons. On faisait littĂ©ralement manger de la viande Ă un herbivore par soucis de productivitĂ© et de rentabilitĂ©, aberrant. 13. Les pathologies liĂ©es Ă lâagro-alimentaire Lâindustrie agro-alimentaire a recours Ă de fortes actions de lobbying pour arriver Ă âstimulerâ les ventes du secteur. Pour preuve en 2016 la ministre de la santĂ© recommandait encore Ă la population française de consommer 3 produits laitiers PAR JOUR⊠Une aberration scientifique et nutritionnelle quand on sait la rĂ©alitĂ© des choses. Vous vous souviendrez probablement tous de lâune de ces phrases de spots publicitaires âles produits laitiers sont nos amis pour la vieâ ou âaide Ă fixer le calcium sur les osâ ou encore âle sucre vous Ă©veille Ă la vieâCes campagnes de pub ayant pour but de stimuler les ventes Ă©taient choses communes avant. Pour le cas du lait, il nous Ă©tait prĂŽnĂ© comme Ă©tant bon pour notre santĂ© et nos os. Aujourdâhui nous savons que câĂ©tait un mensonge. LâHomme nâest pas censĂ© consommer du lait aprĂšs sevrage, aucune autre espĂšce que la nĂŽtre ne consomme de lait aprĂšs sevrage, et encore moins le lait dâune autre espĂšceâŠDe plus, lâargument comme quoi le lait renforcerait nos os est malhonnĂȘte. Imaginons un peu prenons lâexemple dâun marathon. Un coureur qui commencerait le marathon en sprintant dĂšs le dĂ©but a peu de chance de finir la course⊠Lâeffet du lait sur nos os câest la mĂȘme chose. Nous aurons effectivement des os renforcĂ©s en Ă©tant jeune, mais en vieillissant nos os seraient fragilisĂ©s beaucoup plus tĂŽt. Il est prouvĂ© que les consommateurs de lait ont plus souvent de graves problĂšmes liĂ©s la consommation de lait qui favorise des maladies comme lâ y a Ă lâheure actuelle le mĂȘme problĂšme avec la consommation de viande qui provoquerait plusieurs formes de cancer dont le cancer du cĂŽlon et des problĂšmes cardio-vasculaires. 14. Recommandation et le mot de la faim Pour conclure, de nos jours au vu de ce qui se fait dans la grande distribution et dans le secteur agro-alimentaire, nous vous conseillons de revenir Ă lâessentiel. DâĂ©viter au maximum les aliments transformĂ©s et de privilĂ©gier les ingrĂ©dients âde baseâ comme peuvent lâĂȘtre les fruits et lĂ©gumes. Pour faire simple, si lâon veut savoir ce que lâon mange aujourdâhui, et donc bien manger, il faut impĂ©rativement revenir devant les fourneaux. Il faut cuisiner ce que lâon notre sociĂ©tĂ© actuelle cela est assez compliquĂ© vous me direz, nous courrons tous aprĂšs le temps, et nous privilĂ©gions des choses au dĂ©triment dâautres. Câest donc une rĂ©elle dĂ©cision Ă prendre et un engagement envers soi-mĂȘme. Il nây a pas de secret, pour mieux manger il faut cuisiner. Revenons aux bases et Ă lâessentielle. Partager cet article 20% SUR VOTRE PREMIĂRE COMMANDE ! Envie que l'on cuisine des plats diĂ©tĂ©tiques pour vous ? 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LerĂ©gime du diabĂšte est lâalimentation Ă©quilibrĂ©e que nous devrions tous avoir. Les fruits sont autorisĂ©s et mĂȘme recommandĂ©s pour leur apport de nutriments protecteurs contreTHEME 1 POURQUOI NOUS AVONS BESOIN DE BIEN MANGER NOTES SUR LA NUTRITION De bons repasPrendre de bons repas, en particulier avec la famille et les amis, est un des plaisirs de la vie. Nous savons tous que les personnes dont le rĂ©gime alimentaire est sain et Ă©quilibrĂ© ont toutes les chances d'avoir beaucoup d'Ă©nergie pour travailler et profiter de la vie; moins d'infections et d'autres maladies. Les enfants qui mangent bien ont en gĂ©nĂ©ral une bonne croissance, et normalement les femmes qui mangent bien ont des bĂ©bĂ©s en bonne santĂ©. C'est pourquoi il est important de savoir quelles associations d'aliments constituent de bons repas et quels sont les besoins alimentaires particuliers des diffĂ©rents membres de la famille. Les aliments et les nutriments Les aliments fournissent des nutriments qui nous permettent de grandir, d'ĂȘtre actifs et en bonne santĂ© Un aliment fournit des nutriments, c'est-Ă -dire des substances qui procurent des calories pour l'activitĂ©, la croissance et toutes les fonctions de l'organisme, telles que la respiration, la digestion et le maintien de la tempĂ©rature; des Ă©lĂ©ments pour la croissance et l'entretien de l'organisme, et pour le maintien d'un bon systĂšme immunitaire. Il existe de nombreux nutriments diffĂ©rents. On les divise en deux catĂ©gories Les macro gros nutriments, dont nous avons besoin en grandes quantitĂ©s. Ce sont les glucides amidons, sucres et fibres alimentaires; les lipides, dont il existe plusieurs sortes voir l'encadrĂ© 4; les protĂ©ines, qui comptent des centaines de types diffĂ©rents. Les micro petits nutriments, dont nous avons besoin en faibles quantitĂ©s. Il existe beaucoup de micronutriments, mais ceux qui risquent le plus d'ĂȘtre insuffisants dans le rĂ©gime alimentaire sont les minĂ©raux, tels que le fer voir l'encadrĂ© 6 Ă la page 24, l'iode et le zinc; les vitamines, comme la vitamine A, les vitamines du groupe B entre autres le folate et la vitamine C. ENCADRĂ 4 LIPIDES, ACIDES GRAS ET CHOLESTĂROL Les graisses et les huiles constituent une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras essentiels nĂ©cessaires Ă la croissance et Ă la santĂ©. Elles favorisent l'absorption de certaines vitamines, par exemple la vitamine A, et rendent les repas plus savoureux. Certains aliments gras/huileux renferment des vitamines importantes. Les graisses et les huiles contiennent diffĂ©rents nutriments lipidiques», entre autres les acides gras insaturĂ©s, les acides gras saturĂ©s, les acides gras trans et le cholestĂ©rol. Les acides gras insaturĂ©s Parmi les acides gras insaturĂ©s, deux sont appelĂ©s acides gras essentiels» parce que l'organisme ne peut pas les fabriquer. Ils sont nĂ©cessaires Ă l'Ă©laboration des cellules, en particulier celles du cerveau et du systĂšme nerveux. Les acides gras insaturĂ©s contiennent un groupe d'acides appelĂ©s acides gras omĂ©ga-3», qui contribuent Ă protĂ©ger l'organisme des maladies de cĆur. Les aliments qui contiennent principalement des acides gras insaturĂ©s sont par exemple la plupart des huiles vĂ©gĂ©tales, les arachides, le soja, les graines de tournesol, les graines de sĂ©same et autres graines olĂ©agineuses, les poissons gras et les avocats. Les aliments riches en acides gras omĂ©ga-3 sont les poissons de mer gras et certaines graines et lĂ©gumineuses, telles que les graines de lin et le soja. Les acides gras saturĂ©s Les aliments qui contiennent essentiellement des acides gras saturĂ©s sont par exemple le beurre, le ghee, le saindoux/la graisse de cuisine, le lait entier, le fromage, le gras de la viande ou des produits carnĂ©s saucisses, par exemple et de la volaille, l'huile de palme rouge et la noix de coco. Les acides gras trans Quand on fait subir un traitement aux huiles vĂ©gĂ©tales pour les rendre plus compactes par exemple pour les utiliser dans la margarine ou autres matiĂšres grasses solides, certains acides gras insaturĂ©s sont transformĂ©s en acides gras trans. Ces derniers se comportent comme des acides gras saturĂ©s. Nous devrions consommer le moins possible d'aliments contenant des acides gras trans. Les aliments qui contiennent des acides gras trans sont par exemple la margarine et le saindoux graisse de cuisine, les aliments frits tels que les pommes de terre frites et autres fritures, les aliments frits du commerce comme les beignets, ainsi que les aliments rĂŽtis, les biscuits, les gĂąteaux et les crĂšmes glacĂ©es. Le cholestĂ©rol Le cholestĂ©rol ne se trouve que dans les aliments d'origine animale, mais l'organisme peut le fabriquer Ă partir d'autres nutriments lipidiques. Nous avons besoin de cholestĂ©rol pour que notre organisme se dĂ©veloppe et fonctionne bien. Il existe deux sortes de cholestĂ©rol dans le sang le bon» cholestĂ©rol et le mauvais» cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de bon cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă forte densitĂ© semble rĂ©duire le risque de maladies de cĆur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des acides gras insaturĂ©s tend Ă accroĂźtre le taux de bon cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de mauvais cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă faible densitĂ© semble accroĂźtre le risque de maladies de cĆur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des graisses saturĂ©es tend Ă accroĂźtre le taux de mauvais cholestĂ©rol. Les besoins en lipides Les besoins en lipides sont exprimĂ©s en pourcentage des besoins Ă©nergĂ©tiques totaux» voir le tableau 4 Ă l'annexe 2. Le pourcentage de l'Ă©nergie totale qui devrait provenir des matiĂšres grasses dans un rĂ©gime alimentaire sain et Ă©quilibrĂ© est le suivant de 30 Ă 40 pour cent pour les enfants qui reçoivent une alimentation complĂ©mentaire et jusqu'Ă l'Ăąge de deux ans; de 15 Ă 30 pour cent pour les enfants plus ĂągĂ©s et la plupart des adultes; un taux maximal de 35 pour cent est acceptable pour des adultes actifs; au moins 20 pour cent et jusqu'Ă 30 pour cent pour des femmes en Ăąge de procrĂ©er de 15 Ă 45 ans. Autrement dit, le rĂ©gime alimentaire d'une femme en Ăąge de procrĂ©er, qui a besoin d'environ 2 400 kcal par jour, devrait contenir entre 480 et 720 kcal provenant de matiĂšres grasses ou d'huile, soit l'Ă©quivalent de 53 Ă 80 g d'huile pure entre 11 et 16 cuillerĂ©es Ă cafĂ©. Les graisses prĂ©sentes dans un repas n'ont pas toutes Ă©tĂ© ajoutĂ©es lors de la prĂ©paration de ce repas; une partie d'entre elles est cachĂ©e dans des aliments tels que la viande, le lait, les arachides, les graines olĂ©agineuses et les aliments frits. Les lipides et la santĂ© Il est recommandĂ© que moins d'un tiers des lipides prĂ©sents dans le rĂ©gime alimentaire le soit sous forme d'acides gras saturĂ©s. L'huile de palme rouge et les noix/l'huile de coco sont riches en acides gras saturĂ©s. Cependant, Ă l'inverse d'autres aliments de ce type, elles ne semblent pas augmenter le risque de maladies coronariennes. Par exemple, une consommation raisonnable de noix de coco semble ĂȘtre acceptable, Ă condition que l'on mange le moins possible d'autres aliments ayant une forte teneur en acides gras saturĂ©s. C'est notamment le cas lorsque le mode de vie dans son ensemble diminue le risque de maladies de cĆur. Un tel mode de vie peut comporter, par exemple, une activitĂ© physique assez intense, une consommation importante de poisson, de lĂ©gumes et de racines et tubercules, peu de sel, et peu ou pas de tabac et d'alcool. L'huile de palme rouge est Ă©galement une bonne source d'autres nutriments importants, tels que la vitamine A et la vitamine E. Dans l'idĂ©al, les acides gras trans devraient fournir moins de 1 pour cent de l'apport Ă©nergĂ©tique total ou pas plus de 2 g pour la plupart des adultes. Pour de nombreuses familles, cela signifie qu'elles devraient consommer, chaque fois que possible, davantage d'aliments riches en acides gras insaturĂ©s par exemple, des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale et des poissons de mer gras, moins d'aliments Ă forte teneur en acides gras saturĂ©s et beaucoup moins d'aliments Ă forte teneur en acides gras trans. Les aliments riches en acides gras insaturĂ©s sont meilleurs pour le cĆur que les aliments Ă forte teneur en acides gras saturĂ©s ou en acides gras trans Notre organisme utilise divers nutriments de façons diffĂ©rentes, comme l'indique l'encadrĂ© 5. ENCADRĂ 5 RĂLES IMPORTANTS DE CERTAINS NUTRIMENTS Nutriments RĂŽle principal dans l'organisme Macronutriments Glucides - amidon et sucres Fournir l'Ă©nergie nĂ©cessaire Ă la respiration et la vie, Ă la mobilitĂ© et la chaleur, et Ă l'Ă©laboration et rĂ©paration des tissus. Une certaine quantitĂ© d'amidon et de sucres se transforme en tissus adipeux. Glucides - fibres alimentaires Ramollir les matiĂšres fĂ©cales et en augmenter le volume. Les fibres absorbent les substances nocives, ce qui contribue Ă garder l'intestin en bon Ă©tat. Elles ralentissent la digestion et l'absorption des nutriments dans les repas, et contribuent Ă prĂ©venir l'obĂ©sitĂ©. Lipides Constituer une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras nĂ©cessaires Ă la croissance et la santĂ©. Les lipides favorisent l'absorption de certaines vitamines, telles que la vitamine A. ProtĂ©ines Fabriquer les cellules, les liquides de l'organisme, les anticorps et autres parties du systĂšme immunitaire. Les protĂ©ines servent parfois Ă fournir de l'Ă©nergie. Eau Constituer les liquides, comme les larmes, la sueur et l'urine, et permettre aux processus chimiques de se produire dans l'organisme. Micronutriments Fer Fabriquer l'hĂ©moglobine, c'est-Ă -dire la protĂ©ine des globules rouges qui apporte l'oxygĂšne aux tissus. Permettre aux muscles et au cerveau de bien fonctionner. Iode Fabriquer les hormones de la thyroĂŻde qui aident Ă contrĂŽler la façon dont l'organisme fonctionne. L'iode est indispensable au dĂ©veloppement du cerveau et du systĂšme nerveux chez le fĆtus. Zinc Favoriser la croissance et un dĂ©veloppement normal, la reproduction et un bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Vitamine A PrĂ©venir les infections et garantir le bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Maintenir en bon Ă©tat la peau, les yeux et la paroi de l'intestin et des poumons. Favoriser la vision quand la lumiĂšre est faible. Vitamines du groupe B Aider l'organisme Ă utiliser les macronutriments pour l'Ă©nergie et Ă d'autres fins. Aider le systĂšme nerveux Ă bien fonctionner. Folate Renforcer les globules rouges et empĂȘcher les malformations du fĆtus. Vitamine C Aider Ă l'absorption de certaines formes de fer voir l'encadrĂ© 6. DĂ©truire les molĂ©cules dangereuses les radicaux libres dans l'organisme. Aider Ă la guĂ©rison des plaies. ENCADRĂ 6 L'ABSORPTION DU FER Le fer qui provient de la viande, du foie et autres abats, de la volaille, du poisson et du lait maternel est bien absorbĂ© dans l'intestin. Le fer provenant des autres types de lait, des Ćufs, et des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale quels qu'ils soient, est mal absorbĂ©, mais les autres aliments consommĂ©s en mĂȘme temps influent sur l'absorption de ce type de fer. La viande, le poisson et les aliments riches en vitamine C fruits et lĂ©gumes frais augmentent l'absorption de ce type de fer, de sorte que davantage de fer est absorbĂ©. Certains aliments comme les grains entiers de cĂ©rĂ©ales, ou boissons comme le thĂ© ou le cafĂ©, contiennent des antinutriments» par exemple du phytate qui diminuent l'absorption de ce type de fer. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous recevons assez de chaque nutriment et assez de calories est de consommer des aliments variĂ©s. Le thĂšme 3 explique comment associer les aliments pour obtenir de bons repas. L'annexe 1 Ă©numĂšre les sources de chaque nutriment voir les tableaux 1 et 3 et la composition nutritionnelle de diffĂ©rents aliments voir le tableau 2. Les diffĂ©rents types d'aliments Des aliments de types diffĂ©rents contiennent des associations diffĂ©rentes de nutriments Les aliments de base. Ils sont gĂ©nĂ©ralement peu coĂ»teux et fournissent beaucoup d'amidon pour l'Ă©nergie, des protĂ©ines, des micronutriments en particulier certaines vitamines du groupe B et des fibres alimentaires. Entourez d'un cercle les aliments de base utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă la liste. CĂRĂALES RACINES ET FRUITS AMYLACĂS MAĂS/FARINE DE MAĂS POMME DE TERRE MIL PATATE DOUCE SORGHO IGNAME FARINE DE BLĂ MANIOC FRAIS RIZ FARINE DE MANIOC PLANTAIN Les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses. Les lĂ©gumineuses sont de bonnes sources de protĂ©ines et elles contiennent des micronutriments et des fibres alimentaires. Les lĂ©gumineuses Ă forte teneur en graisse et les graines olĂ©agineuses fournissent des lipides. Entourez d'un cercle les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses utilisĂ©es dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă la liste. LĂGUMINEUSES Ă FAIBLE TENEUR EN GRAISSE LĂGUMINEUSES Ă FORTE TENEUR EN GRAISSE ET GRAINES OLĂAGINEUSES NIĂBĂ ARACHIDE POIS PIGEON SOJA HARICOT COMMUN GRAINE DE CITROUILLE LENTILLE GRAINE DE TOURNESOL POIS CHICHE SĂSAME GRAINE DE MELON Le lait. Le lait maternel peut fournir tous les nutriments nĂ©cessaires pendant les six premiers mois de la vie et une proportion utile des nutriments nĂ©cessaires jusqu'Ă l'Ăąge de 2 ans au moins. Le lait d'origine animale et les produits laitiers, tels que la caillebotte, le yoghourt et le fromage, sont d'excellentes sources de protĂ©ines, de lipides et de nombreux micronutriments, comme le calcium mais pas le fer. Les Ćufs. Ils constituent une bonne source de protĂ©ines et de lipides, et fournissent plusieurs micronutriments. La viande, la volaille, le poisson et les abats provenant de ces derniers. Ils reprĂ©sentent d'excellentes sources de protĂ©ines et souvent de lipides. Ils fournissent d'importantes quantitĂ©s de fer en particulier la viande rouge et les abats rouges et de zinc, et beaucoup d'autres micronutriments, notamment des vitamines du groupe B. Le foie, de tous types, est trĂšs riche en fer et en vitamine A. Les meilleures sources de fer sont la viande, les abats, la volaille et le poisson Entourez d'un cercle les produits d'origine animale utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă la liste. LAIT ET ĆUFS VIANDE, ABATS, VOLAILLE ET POISSON LAIT DE VACHE FRAIS BĆUF LAIT DE CHĂVRE FRAIS CHĂVRE CAILLEBOTTE MOUTON YOGHOURT PORC FROMAGE FOIE AUTRES ABATS ĆUFS POULET POISSON FRAIS POISSON SĂCHĂ POISSON EN CONSERVE Les huiles et les graisses. Il s'agit de sources concentrĂ©es d'Ă©nergie. Par exemple, une cuillerĂ©e d'huile de cuisson contient deux fois plus de calories qu'une cuillerĂ©e d'amidon ou une cuillerĂ©e de sucre. Les matiĂšres grasses contiennent des acides gras, dont certains sont nĂ©cessaires Ă la croissance. Outre les matiĂšres grasses pures» par exemple le beurre et les huiles pures» par exemple l'huile de maĂŻs, les autres bonnes sources de lipides sont les olĂ©agineux, le fromage, la viande grasse et les poissons gras, les avocats et les aliments frits. L'huile de palme rouge est une bonne source de vitamine A. Le sucre. Il ne donne que des calories et n'apporte aucun autre nutriment. Il sert Ă rendre les aliments plus savoureux et Ă amĂ©liorer l'appĂ©tit, par exemple pendant la maladie. Cependant, si l'on mange trop souvent des aliments sucrĂ©s, cela peut nuire Ă la santĂ© pour plusieurs raisons. Les friandises, les aliments qui collent aux dents, ou les collations et pĂątisseries prĂ©parĂ©es avec beaucoup de sucre, de miel ou de sirop, sont mauvais pour les dents quand on en mange trop souvent. De nombreux aliments sucrĂ©s contiennent aussi beaucoup de matiĂšres grasses, ce qui accroĂźt le risque de trop manger» pour les personnes qui devraient limiter leur apport Ă©nergĂ©tique. Les personnes qui mangent souvent des aliments sucrĂ©s ou qui consomment beaucoup de boissons sucrĂ©es, par exemple des sodas boissons pĂ©tillantes en bouteille, ont plus de probabilitĂ©s d'avoir un poids excessif et du diabĂšte. Bien souvent aussi, ces personnes-lĂ mangent moins des autres aliments plus nutritifs. Il y a beaucoup de sucre dans les bonbons, les sodas, la confiture, les gĂąteaux et les biscuits. Il est mauvais pour les dents de consommer trop d'aliments sucrĂ©s et qui collent Quand on mange trop d'aliments sucrĂ©s, on consomme souvent une plus faible quantitĂ© des autres aliments plus nutritifs Entourez d'un cercle les matiĂšres grasses, les huiles et les sucres utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă la liste. MATIĂRES GRASSES HUILES SUCRES BEURRE HUILE DE COCO SUCRE DE TABLE MARGARINE HUILE DE TOURNESOL MIEL GRAS DE VIANDE HUILE D'ARACHIDE CONFITURE GHEE HUILE DE PALME ROUGE SUCRE DE CANNE HUILE DE MAĂS Les lĂ©gumes et les fruits. Ce sont d'importantes sources de micronutriments et de fibres alimentaires, mais leur quantitĂ© varie selon le type de lĂ©gume et de fruit. Les lĂ©gumes orangĂ©s, tels que la patate douce orangĂ©e et les carottes, ainsi que les fruits orangĂ©s, comme la mangue et la papaye, Ă l'exception des agrumes oranges et citrons, par exemple, sont d'excellentes sources de vitamine A. La plupart des fruits et lĂ©gumes frais pas trop cuits fournissent de la vitamine C. Les lĂ©gumes Ă feuilles vert foncĂ© apporte Ă l'organisme du folate et un peu de vitamine A. Beaucoup de lĂ©gumes par exemple, tomates et oignons fournissent d'autres micronutriments importants, qui peuvent protĂ©ger contre certaines maladies chroniques, comme les maladies de cĆur. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous obtenons assez de chaque nutriment et assez de fibres est de manger tous les jours diverses sortes de lĂ©gumes et de fruits. Entourez d'un cercle les lĂ©gumes et les fruits utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă la liste. LĂGUMES FRUITS TOMATE MANGUE CITROUILLE PAPAYE CAROTTE FRUIT DE LA PASSION ĂPINARD ORANGE AUTRES LĂGUMES FEUILLUS ANANAS PATATE DOUCE ORANGĂE BANANE POIVRON DOUX DATE AUBERGINE GOMBO Les condiments. Tout le monde utilise du sel pour cuisiner, et le sel est prĂ©sent dans beaucoup d'aliments transformĂ©s. Un excĂšs de sel est mauvais pour la santĂ© et peut donner de l'hypertension. Le sel iodĂ© est une source importante d'iode. Les plantes aromatiques, les Ă©pices, l'ail et les oignons sont d'autres condiments qui permettent de rendre les repas savoureux. L'eau. Nous avons besoin d'environ huit verres d'eau par jour, et davantage si nous transpirons ou avons de la fiĂšvre ou la diarrhĂ©e. En plus de l'eau que nous buvons, nous obtenons de l'eau en buvant du thĂ©, du cafĂ© ou des jus de fruits et en mangeant du potage, des fruits et des lĂ©gumes. Les besoins alimentaires de la familleLa quantitĂ© des diffĂ©rents nutriments dont une personne a besoin varie selon l'Ăąge, le sexe et l'activitĂ©, ainsi que de facteurs tels que la menstruation, la grossesse ou l'allaitement au sein. Les besoins varient Ă©galement pendant la maladie et la convalescence. Les besoins nutritionnels des diffĂ©rents membres de la famille sont Ă©numĂ©rĂ©s au tableau 4 Ă l'annexe 2, et examinĂ©s dans le thĂšme 3 et les thĂšmes 5 Ă 10. METTRE EN COMMUN CES INFORMATIONS Avant d'Ă©changer ces informations avec les familles, il vous faudra peut-ĂȘtre 1 Chercher Ă savoir quels sont les diffĂ©rents types d'aliments consommĂ©s dans la rĂ©gion et ce que les personnes savent dĂ©jĂ au sujet des aliments et des nutriments. 2 Etablir des prioritĂ©s dĂ©cider quelles sont les informations les plus importantes Ă Ă©changer avec les groupes ou les familles individuelles. 3 DĂ©cider qui atteindre par exemple, les parents et d'autres personnes chargĂ©es de soins; les enseignants; les enfants scolarisĂ©s plus ĂągĂ©s ou les jeunes; les responsables de groupements locaux. 4 Choisir les mĂ©thodes de communication par exemple, exposĂ©s avec illustrations, discussions, ou dĂ©monstrations de questions pour entamer une discussion Choisissez seulement une ou deux questions qui traitent des informations dont les familles ont le plus besoin Pourquoi avons-nous besoin de bien manger? Pouvez-vous Ă©numĂ©rer des minĂ©raux et des vitamines importants? Quels nutriments importants trouve-t-on dans les cĂ©rĂ©ales, les lĂ©gumineuses, le lait, la viande? Pourquoi est-il mauvais pour nous de consommer trop de sucre? Pourquoi les lipides prĂ©sents dans les aliments d'origine vĂ©gĂ©tale sont-ils gĂ©nĂ©ralement meilleurs pour la santĂ© que ceux de la margarine ou des aliments vendus dans la rue? Pourquoi avons-nous besoin de fer? Quels sont les aliments qui fournissent le plus de fer? Lesproduits frais (fruits et lĂ©gumes, mais aussi racines fĂ©culentes comme les pommes de terre) constituent lâĂ©lĂ©ment essentiel d'une alimentation saine, mais quels sont les pays qui en consomment le plus ? Notre Ă©tude montre que câest la Colombie oĂč les produits frais reprĂ©sentent 15,6% du rĂ©gime alimentaire moyen, dont une grande Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la rĂ©ponse Ă cette Ă©tape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de Word Lanes Dont le rĂ©gime alimentaire est constituĂ© de fruits. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. Câest la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă trouver Ă partir de leurs dĂ©finitions. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficultĂ©. Si vous cherchez des rĂ©ponses, alors vous ĂȘtes dans le bon sujet. Vous pouvez Ă©galement consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Word Lanes Frugivore CâĂ©tait la solution Ă un indice qui peut apparaĂźtre dans nâimporte quel niveau. Si vous avez trouvĂ© votre solution alors je vous recommande de retrouner au sujet principal dĂ©diĂ© au jeu dont le lien est mentionnĂ© dans le corps de ce sujet. Vous allez y trouver la suite. Bon Courage Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'Ă©nigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayĂ©s. This div height required for enabling the sticky sidebar
Leduo londonien, constitué de Daniel Fernåndez Pascual et Alon Schwabe ont intitulé leur projet "climavore". Celui-consiste entre autres à mettre en scÚne des expositions pour interpeler sur
Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la rĂ©ponse Ă cette Ă©tape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de CodyCross Dont le rĂ©gime alimentaire est constituĂ© de fruits. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. Câest la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă trouver Ă partir de leurs dĂ©finitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nĂ©cessitent une bonne connaissance gĂ©nĂ©rale des thĂšmes politique, littĂ©rature, mathĂ©matiques, sciences, histoire et diverses autres catĂ©gories de culture gĂ©nĂ©rale. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficultĂ©. Si vous cherchez des rĂ©ponses, alors vous ĂȘtes dans le bon sujet. Le jeu est divisĂ© en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposĂ©e dans lâordre dâapparition des puzzles. Vous pouvez Ă©galement consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross Frugivore Vous pouvez maintenant revenir au niveau en question et retrouver la suite des puzzles Solution Codycross LâAustralie Groupe 1010 Grille 2. Si vous avez une remarque alors nâhĂ©sitez pas Ă laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous ĂȘtes entrain de rĂ©soudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionnĂ© plus haut pour retrouver la liste complĂšte des dĂ©finitions Ă trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'Ă©nigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayĂ©s. This div height required for enabling the sticky sidebar . 590 789 508 18 141 758 105 556