Tropde viandes rouges (de mauvaise qualitĂ© car issues d’élevages industriels), de charcuteries (riche en nitrite), de mauvais gras, de sel et de sucre, et insuffisamment de fruits, de lĂ©gumes. Ce rĂ©gime alimentaire est souvent combinĂ© Ă  un mode de vie sĂ©dentaire , ce qui augmente notamment le risque de cancer du cĂŽlon, du sein, de la prostate et de l’endomĂštre .
PrĂ©sentation ParticularitĂ©s La lithiase biliaire se dĂ©finie par la prĂ©sence de calculs dans les voies biliaires. La plupart de ces calculs se forment dans la vĂ©sicule et sont constituĂ©s de cholestĂ©rol. Ils se forment quand la bile est trop riche en cholestĂ©rol et que la vĂ©sicule se contracte de façon dysfonctionnelle. Les symptĂŽmes apparaissent quand l’écoulement de la bile se fait moins bien douleurs, nausĂ©es, vomissements. Lors d'un Ă©pisode douloureux, le patient prĂ©sente une anorexie. Une cholĂ©cystectomie est alors envisagĂ©e. Modification de l'alimentation L’objectif est de calmer les douleurs, appelĂ©es "coliques hĂ©patiques". Puis, l'objectif est de limiter la croissance de la lithiase et d’éviter la chirurgie. 1‌ Les apports Ă©nergĂ©tiques correspondent aux besoins de chaque personne. Les apports en lipides doivent ĂȘtre d'environ 35% de l’apport Ă©nergĂ©tique total. Lors des crises, les matiĂšres grasses sont Ă  supprimer, tout comme les aliments riches en lipides comme les charcuteries, les viandes rouges, le fromage Ă  plus de 45% de MG. 2‌AprĂšs la crise passĂ©e, la rĂ©introduction des matiĂšres grasses se fait de maniĂšre progressive, en commençant par les matiĂšres grasses crues puis les matiĂšres grasses une Ă©vacuation rĂ©guliĂšre de la bile, le fractionnement des repas est nĂ©cessaire 4 Ă  5 repas/jour. Les fibres sont des nutriments non digĂ©rĂ©s, considĂ©rĂ©s comme protecteurs contre la maladie, et donc Ă  consommer en quantitĂ© suffisante chaque jour. Alimentation et calcul biliaire un rĂ©gime alimentaire Ă©quilibrĂ© L’équilibre alimentaire est important. En effet, pour un apport en fibres suffisant, les fruits et lĂ©gumes doivent composĂ©s chacun de vos repas. Ces fibres ont un rĂŽle protecteur pour la santĂ© de la vĂ©sicule biliaire. De plus, les fruits et lĂ©gumes, notamment en cruditĂ©, sont riches en vitamine C et donc permettent un apport considĂ©rable en antioxydants. Favoriser les cĂ©rĂ©ales complĂštes Une alimentation riche en cĂ©rĂ©ales complĂštes est essentielle, en cas de calcul en produits cĂ©rĂ©aliers, Ă  chaque repas, est primordial, en raison de leur richesse en vitamines B, intĂ©ressantes pour la santĂ© de la vĂ©sicule. Bien choisir ses protĂ©ines La consommation accrue de viande est fortement dĂ©conseillĂ©e, plus particuliĂšrement la viande rouge. Les nouvelles recommandations prĂ©conisent 50% de protĂ©ines vĂ©gĂ©tales. Ces derniĂšres permettraient de prĂ©venir les risques de maladies de la vĂ©sicule. Les protĂ©ines vĂ©gĂ©tales lĂ©gumes secs, pour qu’elles soient utilisĂ©es de façon optimale, doivent ĂȘtre associĂ©es Ă  des produits cĂ©rĂ©aliers, au sein d’un mĂȘme repas. Pour complĂ©ter ces apports, vous pouvez consommer Ă©galement des fruits olĂ©agineux, du tofu ou du tempeh. Tous ces aliments constituent des excellents substituts Ă  la viande. Eviction des matiĂšres grasses En cas de calcul biliaire, l'alimentation doit-elle ĂȘtre pauvre en matiĂšres grasses ?Pour protĂ©ger la vĂ©sicule, il est conseillĂ© d’éviter certains types d’aliments. En effet, la consommation importante de mauvaises graisses peut envenimer la lithiase. C’est le cas des viandes rouges, des aliments ultra-transformĂ©s ou des graisses cuites. Le but est donc d’éviter les graisses trans, prĂ©sentes dans les fritures, les plats industriels et raffinĂ©s. L’alcool et le tabac peuvent favoriser le dĂ©clenchement d'une crise. Quels symptĂŽmes ? Les lithiases biliaires peuvent ĂȘtre douloureuses notamment au niveau du bas de l'abdomen droit, notamment par la consommation excessive de graisses. Les symptĂŽmes gĂ©nĂ©ralement observĂ©s sont le manque d’appĂ©tit, des nausĂ©es, des vomissements, de la fiĂšvre. Les complications peuvent ĂȘtre graves retirer la vĂ©sicule ou remettre en cause le pronostic vital. Les facteurs de risque Ce sont gĂ©nĂ©ralement les femmes qui sont les plus touchĂ©es par cette maladie, en raison de la prise de traitements hormonaux. Les personnes ayant des troubles de la vĂ©sicule, ou qui prĂ©sentent des antĂ©cĂ©dents sont Ă©galement Ă  risque. Autre facteur de risque l’excĂšs de poids et les variations brutales de poids. Les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires, les diabĂ©tiques, les personnes ayant une alimentation pauvre en fibres ou celles atteintes d’intolĂ©rances au gluten ou au lactose sont Ă©galement Ă  risque. Conclusion Pathologie trĂšs douloureuse, elle peut mĂȘme parfois ĂȘtre dangereuse. En cas de calcul biliaire, une alimentation pauvre en graisses cuites, trans et en produits ultra-transformĂ©s peut ĂȘtre adoptĂ©e. Lors des crises, le but est de mettre au repos la vĂ©sicule, en supprimant radicalement les graisses jusqu’à l’arrĂȘt des douleurs. Par ailleurs, il est Ă©galement conseillĂ© de consommer des fibres, des lĂ©gumes, des fruits, des lĂ©gumineuses et cĂ©rĂ©ales complĂštes, pour un apport optimal au quotidien. Les aliments en dĂ©tail Aliments autorisĂ©s Tubercules pommes de terre, patate douceLĂ©gumes surgelĂ©s, en conserves, au naturel ou en compote. Artichauts, asperges, aubergines, avocats, betteraves, blettes, brocoli, carottes, cĂ©leri branche ou rave, choux chou-fleur, choux de Bruxelles, Romanesco, brocolis, choux vert, blanc, rouge, citrouille, concombres, courgettes, endives, Ă©pinards, fenouil, haricots verts, plats d’Espagne, beurre, navets, oignons, oseille, poireaux, poivrons, radis, salsifis, tomates, petits pois, saladesAromates aneth, basilic, cerfeuil, ciboulette, coriandre, estragon, menthe, origan, persil, romarin, sauge, thymChampignons cĂšpes, shiitakes, girolles, mousserons
Fruits abricots, ananas, banane, cassis, cerises, citrons, dattes, figues, fraise, framboises, grenades, groseilles, kaki, kiwi, mangue, melon, myrtilles, pamplemousse, pastĂšque, pĂȘche pomme, raisins, tomate. Fruits secs dattes, abricots, pruneaux, figues, raisins, bananes, mangue, ananas, pommes, cranberries, myrtille, gojiOlĂ©agineux amandes, noix brĂ©sil, pĂ©can, cajou
, noisettes, pistaches, arachides
LĂ©gumineuses haricots flageolet, azukis, bancs de VendĂ©e, rouges, lentilles vertes, corail, pois, fĂšves, pois cassĂ©s, pois chicheCĂ©rĂ©ales avec gluten complĂštes blĂ©, seigle, orge, avoine, triticale, Ă©peautre, kamut, farines infantiles sans trace de lait, cĂ©rĂ©ales Picot en pharmacie CĂ©rĂ©ales sans gluten millet, amarante, quinoa, riz, sarrasin, sorgho, teff, maĂŻs, tapioca farine, semoule, floconsGraines graines de lin, de sĂ©same, de tournesol, de pavot, de courge, pignons de pinBoissons vĂ©gĂ©tales lait de soja, d’amande, d’avoine, de chĂątaignes, de coco, lait de chanvre, de graines de tournesol ou de sĂ©same, lait d’épeautre, de kamut, de millet, de noisette, de noix, d’orge, de quinoa et de rizProduits laitiers lait 1/2 Ă©crĂ©mĂ©, yaourt, faisselles, fromage blanc, fromage frais ou affinĂ©, lait de vache, de chĂšvre, de brebis et de jument, petits suissesCrĂšmes vĂ©gĂ©tales soja, avoine, amande, riz, noix de cocoAlgues laitue de mer, kombu, haricot de mer, wakamĂ©, dulse avec des cruditĂ©s, nori sushis, spirulineCondiments gomasio, vinaigre de cidre, levure de biĂšre, Ă©pices, moutarde, cornichons, cĂąpresGraines germĂ©es de lĂ©gumineuses, de cĂ©rĂ©ales, alfalfa, radis, brocoli, poireaux, moutarde, courge, persil, cresson, roquette, chou chinois, navetMatiĂšres grasses huiles de noix, de chanvre, de colza, de lin, de cameline, de germe de blĂ©, d'olive, de tournesol, de carthame et de sĂ©sameProtĂ©ines concentrĂ©es vĂ©gĂ©tales seitan, tofu, tempeh, humusViandes blanches veau, porc, lapin, volaille poulet, poule, dinde, canard, pintade, pigeon, jambon blancPoissons maigres* cabillaud, colin, Ă©glefin, limande, merlan, sole, thon en boĂźtePoissons gras hareng, maquereau, truite, sardine, saumonCrustacĂ©s huĂźtres, moules, coquilles Saint-Jacques, calamars, crevettes, langoustine, langouste, homard ƒufs En pĂ©riode de crise, les matiĂšres grasses sont Ă  Ă©viter complĂštement. À limiter Condiment sel. Viande rouge bƓuf, cheval, agneau 2x/semaine maximum À Ă©viter Produits transformĂ©s et industriels plats prĂ©parĂ©s, conserves, pain de mie, desserts, pizzas, mayonnaise et ketchup
Sucre chocolat noir Ă  croquer ou Ă  cuire, poudre de cacao, boudoirs Picot, sucre blanc, roux, confiture, gelĂ©e, miel, confiture, sirop d'Ă©rable, sirop d'agave Additifs alimentaires Ă©dulcorants, conservateurs, exhausteur de gout, parfums de synthĂšseProduits laitiers Ă  base de lait entierCharcuterie viande fumĂ©e, sĂ©chĂ©e ou salĂ©e, jambon cru, bacon, lardons, saucisses sĂšches, saucisson, viande des Grisons, ainsi que les hot-dogs et certaines saucissesMatiĂšres grasses huile de coco, margarine, graisses animales, beurre, crĂšme fraĂźche, chantilly, margarines, sauces industrielles, fritures, huile d'arachide, huiles raffinĂ©es, huile de coco, graisses et huiles chauffĂ©es Ă  plus de 110 / 120 degrĂ©sSucre pĂątisseries, viennoiseries, biscuits, caramel, pĂątes Ă  tartiner, entremets, glaceCĂ©rĂ©ales petits dĂ©jeuner corn flakes, riz soufflĂ©, Coco krispies
Les aliments allĂ©gĂ©sBoissons jus de fruits, boissons sucrĂ©es Alcools vin, biĂšres, alcools forts Questions frĂ©quentes Quelle alimentation adopter en cas de calcul biliaire ? - Consommer des cĂ©rĂ©ales complĂštes- PrivilĂ©gier des protĂ©ines vĂ©gĂ©tales- Favoriser les fruits et lĂ©gumes, riches en fibres Quels sont les aliments Ă  Ă©viter ? - La viande rouge- Les aliments ultra-transformĂ©s- Les matiĂšres grasses cuites Quelles sont les autres recommandations ? - Limiter la consommation d'alcool- ArrĂȘter le tabac 1 NHS UK Prevention- GallstonesContentsOverviewSymptomsCausesDiagnosisTreatmentComplicationsPreventionFrom the limited evidence available, changes to your diet and losing weight if you're overweight may help prevent cholesterol appears to play a role in the formation of gallstones, it's advisable to avoid eating too many foods with a high saturated fat National institue of diabetes, digestive and kidney deseases - Eating, Diet, & Nutrition for GallstonesCan what I eat help prevent gallstones?You can lower your risk of gallstones by following a healthy eating plan External link and getting regular physical activity to help you reach and maintain a healthy weight.
Alimentation Nutrition et DiĂ©tĂ©tique, quelques informations gĂ©nĂ©rales. Notre alimentation peut ĂȘtre la meilleure ou la pire des choses. Elle peut - et doit - nous apporter tous les Ă©lĂ©ments qui vont constituer notre corps, tous les nutriments qui vont lui fournir l'Ă©nergie de la vie, et toutes les "informations" nĂ©cessaires Ă  la vie.
Le pays affiche un taux d'obĂ©sitĂ© d'environ 5 %, parmi les plus bas au monde ! La tradition culinaire nipponne a du bon, comme nous l'explique Dominique Loreau, auteure de l'Art de manger peu » J'ai lu, qui vit Ă  Kyoto. L'importance de la prĂ©sentationAu Japon, la nourriture est sacrĂ©e, et donc respectĂ©e. Ainsi, avant chaque repas, les Japonais joignent les mains en disant Je reçois la nourriture pour vivre. » De mĂȘme, on sert les aliments avec dĂ©licatesse Ils sont disposĂ©s en petite montagne, jamais Ă  plat ; par exemple, on surĂ©lĂšvera une tranche de poisson avec un petit morceau de navet », dĂ©taille Dominique Loreau. Nul besoin de stages de mĂ©ditation pour manger en pleine conscience au quotidien. Bien prĂ©senter les mets ne les rend que plus prĂ©cieux et incite Ă  manger lentement, en savourant chaque bouchĂ©e. L'usage des baguettes y contribue, car elles ne saisissent guĂšre plus qu'une noisette
Quels bĂ©nĂ©fices ?Prendre ses repas sans prĂ©cipitation assure une meilleure digestion et une meilleure assimilation des nutriments. Cela permet aussi et surtout de vraiment ressentir le signal de satiĂ©tĂ©, qui met une vingtaine de minutes Ă  ĂȘtre Ă©valuĂ© par le cerveau on mange selon sa faim et non plus par petites quantitĂ©s, une grande variĂ©tĂ© ! Seuls ou en famille, les Japonais mangent sur un plateau de petites quantitĂ©s individuelles, ce qui Ă©vite toute tentation de se resservir. » Sur le plateau, des bols personnels l'un pour la soupe, l'autre pour le riz pour chaque membre de la famille, aux contenances adaptĂ©es aux Ăąges de la vie Un petit bol pour un enfant, un plus grand Ă  partir de 20 ans, puis Ă  nouveau un plus petit pour les grands-parents. »Le repas type et ordinaire ? Un bol de riz, un bol de soupe miso soja fermentĂ©, un petit ramequin de tsukemono lĂ©gumes fermentĂ©s dans du sel, un autre de cruditĂ©s vinaigrĂ©es et une petite assiette d'un plat principal mijotĂ© avec des lĂ©gumes racines et des lĂ©gumes feuilles, des lĂ©gumineuses, du poisson ou du tofu. L'ensemble est subtilement parfumĂ© d'herbes aromatiques et de bĂ©nĂ©fices ?Cette variĂ©tĂ© alimentaire fait la part belle aux vĂ©gĂ©taux – au Japon, il est recommandĂ© de consommer au moins 350 g de lĂ©gumes par jour contre environ 250 g en France – et contribue ainsi au parfait Ă©quilibre nutritionnel. À noter Ă©galement, la consommation quotidienne de lĂ©gumes racines navet, gobo, radis japonais
, particuliĂšrement riches en vitamines et minĂ©raux, et de produits fermentĂ©s miso, lĂ©gumes en saumure
, essentiels Ă  la bonne santĂ© frugalitĂ©, oui, mais...Longtemps pauvres, les Japonais ont appris Ă  se nourrir d'un bol de riz et de quelques bouchĂ©es de poisson sĂ©chĂ©. Mais cette frugalitĂ© forcĂ©e », devenue culturelle, n'a rien Ă  voir avec les restrictions que les Occidentaux s'imposent pour mincir. Vous voulez en savoir plus ? Écoutez Pas de salades !, le podcast nutrition de Version Femina, qui bat en brĂšche l'idĂ©e reçue selon laquelle, pour perdre du poids, il suffit de moins de viande, plus de protĂ©ines vĂ©gĂ©tales Soupe miso, sauce de soja, tofu nature, frit, sautĂ© figurent parmi les aliments du quotidien. Les Japonais consomment Ă©normĂ©ment de soja, qui constitue l'une de leurs principales sources de protĂ©ines. Des apports complĂ©tĂ©s par le poisson, les haricots azuki ou encore les champignons. La viande, en revanche, est un aliment “plaisir” que l'on apprĂ©cie de temps en temps, pour relever les soupes et les bouillons, par exemple. »Quels bĂ©nĂ©fices ?À la clĂ©, des apports en protĂ©ines vĂ©gĂ©tales variĂ©s soja, champignons, riz
, qui, de surcroĂźt, fournissent fibres, vitamines, minĂ©raux, oligoĂ©lĂ©ments et antioxydants. De plus, en prĂ©fĂ©rant les poissons et les crustacĂ©s Ă  la viande, les Japonais rĂ©duisent les sources de graisses saturĂ©es et limitent les maladies bouillon Ă  toutes les sauces Je pense que le grand secret de la bonne santĂ© et de la minceur des Japonais tient au dashi, une sorte de bouillon “light” qui sert de base Ă  de nombreuses prĂ©parations. » La recette On fait tremper toute une nuit dans 1 litre d'eau des algues kombu et des shiitakĂ©s sĂ©chĂ©s, et Ă©ventuellement une dizaine de petits poissons sĂ©chĂ©s. Le lendemain, on filtre et l'on utilise l'eau pour prĂ©parer la soupe miso, cuire des lĂ©gumes ou le riz. »Quels bĂ©nĂ©fices ?Hypocalorique, le dashi enrichit les prĂ©parations culinaires en protĂ©ines, en vitamines et en minĂ©raux libĂ©rĂ©s par les algues et les collation, trĂšs peu sucrĂ©eSi les Japonaises grignotent rarement, elles peuvent parfois s'accorder une collation entre amies dans la journĂ©e. Au menu ? Un thĂ© vert avec des douceurs trĂšs peu sucrĂ©es, souvent Ă  base de haricots rouges ou de gelĂ©e d'agar-agar algue parfumĂ©e aux fruits. Dans un salon de thĂ©, on peut aussi apprĂ©cier une part de tarte aux pommes, mais, dans tous les cas, les pĂątisseries se prĂ©sentent en format miniature, que l'on dĂ©guste en trois bouchĂ©es. »À dĂ©couvrir Ă©galement Ce cheesecake japonais rĂ©alisĂ© avec seulement 3 ingrĂ©dients fait un carton sur InternetQuels bĂ©nĂ©fices ?Est-il besoin de le rappeler ? Grignoter favorise la prise de poids et fatigue le systĂšme digestif, sollicitĂ© en permanence. En revanche, une collation dĂ©gustĂ©e avec plaisir dope le moral et Ă©vite les coups de pompe avant l'heure du dĂźner. Quant au thĂ© vert, il regorge d'antioxydants qui protĂšgent l'organisme du vieillissement chacun son bentoUne boĂźte compartimentĂ©e pour emporter son repas avec soi tel est le principe du bento, un classique de la culture japonaise, plĂ©biscitĂ© tant par les Ă©coliers que par leurs parents lorsqu'ils dĂ©jeunent au travail. Il en existe une multitude de tailles, ce qui permet de manger Ă  l'extĂ©rieur un repas Ă©quilibrĂ©, adaptĂ© aux besoins et aux appĂ©tits de chacun. Une personne ayant du cholestĂ©rol aura son bento allĂ©gĂ© en graisses, tandis qu'une autre soucieuse de sa ligne prĂ©parera un bento de petite contenance et limitera ses portions de riz.
PrioritĂ©1 : augmenter la quantitĂ© de lĂ©gumes (surtout vert) pour atteindre 50% de votre assiette. VĂ©rifiez que le nombre d’aliments basifiants est supĂ©rieur aux nombres d’aliments acidifiants. PrioritĂ© 2 : rĂ©duire les produits transformĂ©s, sucrĂ©s, laitiers et cĂ©rĂ©aliers, trouver des substituts moins agressifs.
1. Le RĂ©gime PalĂ©olithique Aujourd’hui les nouvelles technologies nous permettent d’analyser les ossements de nos ancĂȘtres de l’époque palĂ©olithique, ce qui nous amĂšne Ă  faire des dĂ©couvertes majeures en ce qui concerne leurs habitudes faut savoir qu’il n’existe pas un seul rĂ©gime palĂ©olithique, il y en a des tas, et ils dĂ©pendaient en grande partie des conditions de vies dans lesquelles nos ancĂȘtres se trouvaient. Ainsi, un homme de cette Ă©poque vivant sur le continent europĂ©en aurait une alimentation totalement diffĂ©rente de celui vivant sur le continent africain. 2. L’évolution des fruits et lĂ©gumes Le rĂ©gime alimentaire de l’homo sapiens il y a 200 milles ans Ă©tait trĂšs carnĂ©. Cependant, l’image que l’on peut avoir des hommes prĂ©historiques chassant le mammouth reste trĂšs clichĂ©, et au final s’avĂšre fausse puisqu’à cette Ă©poque l’homme se nourrissait essentiellement de charogne. En effet il Ă©tait bien plus facile de se disputer les restes d’un animal avec les autres charognards que d’aller chasser un mammouth de 12 tonnes vivant gĂ©nĂ©ralement en troupeau
A l’époque palĂ©olithique l’homme ne nourrissait donc de viande, mais aussi de “fruits et lĂ©gumes”. Ce qu’il faut savoir c’est qu’à l’époque palĂ©olithique les fruits et lĂ©gumes que l’on pouvait trouver n’était en aucun cas prĂ©sents sous la forme que nous connaissons aujourd’hui. Les hommes Ă  l’époque mangeaient des baies, des racines, des feuilles etc. mais pas les lĂ©gumes que l’on connaĂźt au cours de l’histoire avec l’apparition de l’agriculture, de la sĂ©lection et des croisements des variĂ©tĂ©s que l’humanitĂ© a su faire Ă©voluer la nature et ainsi obtenir nos fruits et lĂ©gumes d’aujourd’hui. 3. L’influence de la dĂ©couverte du feu sur notre alimentation La maĂźtrise du feu par l’Homme est quelque chose qui est arrivĂ©e relativement tard. Avant la maĂźtrise du feu l’Homme se nourrissait exclusivement d’aliments crus, les “lĂ©gumes” comme la viande. Le fait de cuire les aliments a fait du bien Ă  notre santĂ© et notre alimentation en gĂ©nĂ©ral. Par exemple, une viande cuite permet d’obtenir un meilleur apport Ă©nergĂ©tique d’une viande crue. De mĂȘme la digestion s’en trouva grandement revanche, ce qui est vrai pour la viande n’est pas forcĂ©ment vrai pour les lĂ©gumes. La cuisson des lĂ©gumes, notamment Ă  l’eau, fait parfois perdre des vitamines naturellement prĂ©sentes dans les l’inverse, la cuissons de certains lĂ©gumes permettaient de les rendre tout simplement comestibles. Les racines de manioc par exemple crues, elles provoquent des intoxications sĂ©vĂšres alors qu’une fois bien cuites, elles reprĂ©sentent un trĂšs bon apport nutritif. 4. Les diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s de lĂ©gumes Le nombre de variĂ©tĂ©s de fruits et lĂ©gumes est astronomique, vraiment. Pour les tomates par exemple il existe des milliers de variĂ©tĂ©s Ă  travers le monde ! Oui monsieur ! Des milliers ! Le nombre exact est compliquĂ© Ă  donner Ă©tant donnĂ© que plus de 95% des variĂ©tĂ©s sont officiellement considĂ©rĂ©es comme illĂ©gales
 Sur les milliers de variĂ©tĂ©s de tomates dont je vous parle, savez-vous combien nous en cultivons sur Terre ? Uniquement 200. Et c’est pareil pour tous les types de fruits et lĂ©gumes. La lĂ©gislation française interdit la commercialisation de fruits et lĂ©gumes issus d’agriculture paysanne Les maraĂźchers n’ont pas le droit d’acheter ou de s’échanger des graines de “vieux lĂ©gumes”, et n’ont bien Ă©videmment pas le droit de vendre les fruits ou lĂ©gumes issus de ces graines
 Quiconque serait surpris Ă  vendre de “vieux lĂ©gumes” s’exposerait Ă  des amendes particuliĂšrement dissuasives, voire Ă  des peines d’emprisonnement
 5. Les dĂ©but de l’agriculture et la sĂ©dentarisation Au cours du temps, l’Homme s’est peu Ă  peu sĂ©dentarisĂ©. Cette sĂ©dentarisation a donnĂ© lieu Ă  l’invention de l’agriculture et de l’élevage. L’agriculture donna lieu Ă©galement Ă  une sĂ©lection des variĂ©tĂ©s de fruits et lĂ©gumes. Cette sĂ©lection jusqu’alors assez empirique s’est nettement dĂ©veloppĂ©e, principalement durant le dernier aujourd’hui nous avons une vĂ©ritable standardisation des fruits et lĂ©gumes, oĂč les variĂ©tĂ©s sont pauvres, tant au niveau goĂ»t qu’en apports nutritifs. La standardisation vient du fait qu’aprĂšs la Seconde Guerre Mondiale une industrialisation alimentaire s’est mise en populations ont vĂ©cu le manque, le rationnement et la faim. C’est pour faire face Ă  cette peur de manquer Ă  nouveau que les industriels ont dĂ©cidĂ© de produire en masse . Produire toujours plus. C’est dans cette optique lĂ  qu’une standardisation a Ă©tĂ© faite sur les fruits et lĂ©gumes, afin de produire peu de variĂ©tĂ©s, mais de les produire en masse. Les variĂ©tĂ©s qui ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©es l’ont d’ailleurs Ă©tĂ© par rapport Ă  leurs rĂ©sistances aux maladies et Ă  leurs vitesse de croissance / production, et non par rapport Ă  leurs goĂ»ts. 6. L’évolution de l’anatomie humaine L’anatomie humaine a connu des Ă©volutions Ă  travers le temps, notamment par rapport Ă  ce que l’on mangeait Ă©volution des dents, du cerveau etc.Suite Ă  la sĂ©dentarisation et Ă  l’agriculture, l’Homme a commencĂ© Ă  vivre au contact d’autres animaux, crĂ©ant une promiscuitĂ© avec ces derniers. Suite Ă  ce contact rĂ©gulier, des maladies ont commencĂ© Ă  apparaĂźtre et Ă  se dĂ©velopper. L’Homme sĂ©dentaire s’est vu confrontĂ© Ă  faire face Ă  des maladies qu’il ne connaissait pas avant, par exemple la peste qui est transmise par la puce du rat. 7. Le lactose et le corps humain On sait Ă©galement que durant cette pĂ©riode le patrimoine gĂ©nĂ©tique de l’Homme a changĂ© et s’est adaptĂ© aux nouveaux aliments; et notamment au lactose, aliment pour lequel l’Homme adulte est totalement inadaptĂ©. Le seul lait que l’Homme buvait Ă  l’époque Ă©tait le lait de sa mĂšre en Ă©tant nourrisson, au delĂ  il devenait lactose est d’ailleurs intĂ©ressant de constater que de nos jours la consommation rĂ©guliĂšre de produits laitiers est quelque chose de courant. Et pourtant nous savons maintenant que cela est mauvais pour notre santĂ©, et que l’ingestion de lait aprĂšs sevrage serait la cause du dĂ©veloppement de nombreuses maladies osseuses dont l’ostĂ©oporose
 8. Le sucre Le sucre a Ă©tĂ© introduit principalement grĂące Ă  la dĂ©couverte de la canne Ă  sucre qui est connu de façon trĂšs ancienne. Son origine serait la Nouvelle GuinĂ©e. Elle a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme un mĂ©dicament pendant un long moment. La canne Ă  sucre a ensuite Ă©tĂ© importĂ©e, et cultivĂ©e, notamment dans les Ăźles mĂ©diterranĂ©ennes. Le sucre Ă©tait quelque chose de trĂšs cher pendant une longue pĂ©riode, il Ă©tait donc rĂ©servĂ© aux riches. Ceux ci ont rapidement Ă©tĂ© victimes des mĂ©faits de ce produit nouveau carie dentaire et obĂ©sitĂ© parmi d’autres. D’ailleurs, pendant longtemps le fait d’ĂȘtre “gros” Ă©tait considĂ©rĂ© comme signe de richesse par la sociĂ©tĂ©. De nos jours la tendance s’inverse, les gens plus modestes ont tendance Ă  manger mal par manque de moyens, se rabattent sur les aliments ultra transformĂ©s et donc Ă  ĂȘtre les premiĂšres victimes de l’obĂ©sité Durant la pĂ©riode palĂ©olithique les apports en sucre de l’Homme Ă©taient trĂšs limitĂ©s, mis Ă  part le sucre naturellement prĂ©sent dans les baies ,les fruits et les racines qu’ils pouvaient manger. Leurs apports principaux restaient les graisses qui Ă©tait transformĂ©es par l’ le sucre est omniprĂ©sent dans le secteur de l’agro-alimentaire et sert principalement comme un exhausteur de goĂ»t, mais Ă©galement pour la conservation des constitue une menace trĂšs importante pour notre santĂ©. 9. Comment bien manger de nos jours ? L’industrialisation de la sociĂ©tĂ©, et notamment le secteur agro-alimentaire fait qu’aujourd’hui nous nous retrouvons face Ă  des produits sans goĂ»t, ayant des apports nutritifs extrĂȘmement rĂ©duits par rapport Ă  leurs apports d’origine. Beaucoup de produits prĂ©sents sont des produits dits “transformĂ©s”, ce sont gĂ©nĂ©ralement les pires choses Ă  consommer car c’est forcĂ©ment synonyme d’ajouts de choses que l’on aurait jamais mis dans notre alimentation si nous cuisinions meilleur conseil Ă  donner pour bien manger de nos jours, c’est de privilĂ©gier les aliments issus de l’agriculture biologique et peu, voir pas du tout transformĂ©s. En rĂ©sumĂ©, pour bien manger il faut revenir aux fondamentaux se remettre Ă  cuisiner Ă  partir des produits de base. Le problĂšme c’est que dans notre sociĂ©tĂ© moderne les gens ont de moins en moins de temps, et donc ont tendance Ă  en gagner sur tout, notamment sur le fait de cuisiner sa nourriture
 10. Les jus d’oranges Les jus d’oranges ont ce dĂ©faut de perdre une grande partie des fibres naturellement prĂ©sentes dans le fruit d’origine, il est donc bien plus intĂ©ressant d’un point de vue nutritif de consommer une orange qu’un verre de jus d’orange. Encore faut il bien choisir son jus d’orange le meilleur est celui que vous pressez vous-mĂȘme, ensuite les jus pressĂ©s dans le commerce. Les jus les moins chers ne contiennent pratiquement plus que du sirop de glucose, des colorants et de l’eau, il vaut mieux les Ă©viter. 11. L’industrie agro-alimentaire L’industrie agro-alimentaire produit en masse, baissant ainsi les coĂ»ts de production mais par la mĂȘme la qualitĂ© des produits
 Aujourd’hui nous nous retrouvons avec des aliments transformĂ©s bourrĂ©s de mauvaises choses sucre, gras saturĂ©, colorants etc. et avec des fruits et lĂ©gumes au goĂ»t pauvre et aux apports nutritifs la standardisation est au cƓur de notre sociĂ©tĂ©, et notamment dans le secteur alimentaire. Les fruits et lĂ©gumes doivent ĂȘtre calibrĂ©s, propres et sans taches pour ĂȘtre disposĂ©s dans nos Ă©tals, sinon ils sont jugĂ©s comme Ă©tant impropre Ă  la consommation et jetĂ©s Ă  la poubelle. Une seule pomme de 1950 Ă©quivaut Ă  100 pommes aujourd’hui en terme d’apports nutritifs et de vitamines
 12. La viande issue de l’industrie De nos jours, la viande est produite de la mĂȘme façon que les autres produits dans l’agro-alimentaire Ă  la chaĂźne, en masse et toujours dans un soucis de rentabilitĂ© et de baisse des coĂ»tsL’industrie agro-alimentaire est Ă  l’origine des pires crises sanitaires que l’Homme a pu connaĂźtre jusqu’à prĂ©sent. La maladie de la vache folle dans les annĂ©es 2000 par exemple. Cette maladie est apparue parce les vaches, qui sont donc des herbivores, Ă©taient nourries avec de la farine de poissons. On faisait littĂ©ralement manger de la viande Ă  un herbivore par soucis de productivitĂ© et de rentabilitĂ©, aberrant. 13. Les pathologies liĂ©es Ă  l’agro-alimentaire L’industrie agro-alimentaire a recours Ă  de fortes actions de lobbying pour arriver Ă  “stimuler” les ventes du secteur. Pour preuve en 2016 la ministre de la santĂ© recommandait encore Ă  la population française de consommer 3 produits laitiers PAR JOUR
 Une aberration scientifique et nutritionnelle quand on sait la rĂ©alitĂ© des choses. Vous vous souviendrez probablement tous de l’une de ces phrases de spots publicitaires “les produits laitiers sont nos amis pour la vie” ou “aide Ă  fixer le calcium sur les os” ou encore “le sucre vous Ă©veille Ă  la vie”Ces campagnes de pub ayant pour but de stimuler les ventes Ă©taient choses communes avant. Pour le cas du lait, il nous Ă©tait prĂŽnĂ© comme Ă©tant bon pour notre santĂ© et nos os. Aujourd’hui nous savons que c’était un mensonge. L’Homme n’est pas censĂ© consommer du lait aprĂšs sevrage, aucune autre espĂšce que la nĂŽtre ne consomme de lait aprĂšs sevrage, et encore moins le lait d’une autre espĂšce
De plus, l’argument comme quoi le lait renforcerait nos os est malhonnĂȘte. Imaginons un peu prenons l’exemple d’un marathon. Un coureur qui commencerait le marathon en sprintant dĂšs le dĂ©but a peu de chance de finir la course
 L’effet du lait sur nos os c’est la mĂȘme chose. Nous aurons effectivement des os renforcĂ©s en Ă©tant jeune, mais en vieillissant nos os seraient fragilisĂ©s beaucoup plus tĂŽt. Il est prouvĂ© que les consommateurs de lait ont plus souvent de graves problĂšmes liĂ©s la consommation de lait qui favorise des maladies comme l’ y a Ă  l’heure actuelle le mĂȘme problĂšme avec la consommation de viande qui provoquerait plusieurs formes de cancer dont le cancer du cĂŽlon et des problĂšmes cardio-vasculaires. 14. Recommandation et le mot de la faim Pour conclure, de nos jours au vu de ce qui se fait dans la grande distribution et dans le secteur agro-alimentaire, nous vous conseillons de revenir Ă  l’essentiel. D’éviter au maximum les aliments transformĂ©s et de privilĂ©gier les ingrĂ©dients “de base” comme peuvent l’ĂȘtre les fruits et lĂ©gumes. Pour faire simple, si l’on veut savoir ce que l’on mange aujourd’hui, et donc bien manger, il faut impĂ©rativement revenir devant les fourneaux. Il faut cuisiner ce que l’on notre sociĂ©tĂ© actuelle cela est assez compliquĂ© vous me direz, nous courrons tous aprĂšs le temps, et nous privilĂ©gions des choses au dĂ©triment d’autres. C’est donc une rĂ©elle dĂ©cision Ă  prendre et un engagement envers soi-mĂȘme. Il n’y a pas de secret, pour mieux manger il faut cuisiner. Revenons aux bases et Ă  l’essentielle. Partager cet article 20% SUR VOTRE PREMIÈRE COMMANDE ! Envie que l'on cuisine des plats diĂ©tĂ©tiques pour vous ? Plus d'articles et recettes Ă  dĂ©couvrir ! Chaque semaine un nouveau menu diĂ©tĂ©tique frais-maison livrĂ© Ă  domicile
LerĂ©gime du diabĂšte est l’alimentation Ă©quilibrĂ©e que nous devrions tous avoir. Les fruits sont autorisĂ©s et mĂȘme recommandĂ©s pour leur apport de nutriments protecteurs contre
THEME 1 POURQUOI NOUS AVONS BESOIN DE BIEN MANGER NOTES SUR LA NUTRITION De bons repasPrendre de bons repas, en particulier avec la famille et les amis, est un des plaisirs de la vie. Nous savons tous que les personnes dont le rĂ©gime alimentaire est sain et Ă©quilibrĂ© ont toutes les chances d'avoir beaucoup d'Ă©nergie pour travailler et profiter de la vie; moins d'infections et d'autres maladies. Les enfants qui mangent bien ont en gĂ©nĂ©ral une bonne croissance, et normalement les femmes qui mangent bien ont des bĂ©bĂ©s en bonne santĂ©. C'est pourquoi il est important de savoir quelles associations d'aliments constituent de bons repas et quels sont les besoins alimentaires particuliers des diffĂ©rents membres de la famille. Les aliments et les nutriments Les aliments fournissent des nutriments qui nous permettent de grandir, d'ĂȘtre actifs et en bonne santĂ© Un aliment fournit des nutriments, c'est-Ă -dire des substances qui procurent des calories pour l'activitĂ©, la croissance et toutes les fonctions de l'organisme, telles que la respiration, la digestion et le maintien de la tempĂ©rature; des Ă©lĂ©ments pour la croissance et l'entretien de l'organisme, et pour le maintien d'un bon systĂšme immunitaire. Il existe de nombreux nutriments diffĂ©rents. On les divise en deux catĂ©gories Les macro gros nutriments, dont nous avons besoin en grandes quantitĂ©s. Ce sont les glucides amidons, sucres et fibres alimentaires; les lipides, dont il existe plusieurs sortes voir l'encadrĂ© 4; les protĂ©ines, qui comptent des centaines de types diffĂ©rents. Les micro petits nutriments, dont nous avons besoin en faibles quantitĂ©s. Il existe beaucoup de micronutriments, mais ceux qui risquent le plus d'ĂȘtre insuffisants dans le rĂ©gime alimentaire sont les minĂ©raux, tels que le fer voir l'encadrĂ© 6 Ă  la page 24, l'iode et le zinc; les vitamines, comme la vitamine A, les vitamines du groupe B entre autres le folate et la vitamine C. ENCADRÉ 4 LIPIDES, ACIDES GRAS ET CHOLESTÉROL Les graisses et les huiles constituent une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras essentiels nĂ©cessaires Ă  la croissance et Ă  la santĂ©. Elles favorisent l'absorption de certaines vitamines, par exemple la vitamine A, et rendent les repas plus savoureux. Certains aliments gras/huileux renferment des vitamines importantes. Les graisses et les huiles contiennent diffĂ©rents nutriments lipidiques», entre autres les acides gras insaturĂ©s, les acides gras saturĂ©s, les acides gras trans et le cholestĂ©rol. Les acides gras insaturĂ©s Parmi les acides gras insaturĂ©s, deux sont appelĂ©s acides gras essentiels» parce que l'organisme ne peut pas les fabriquer. Ils sont nĂ©cessaires Ă  l'Ă©laboration des cellules, en particulier celles du cerveau et du systĂšme nerveux. Les acides gras insaturĂ©s contiennent un groupe d'acides appelĂ©s acides gras omĂ©ga-3», qui contribuent Ă  protĂ©ger l'organisme des maladies de cƓur. Les aliments qui contiennent principalement des acides gras insaturĂ©s sont par exemple la plupart des huiles vĂ©gĂ©tales, les arachides, le soja, les graines de tournesol, les graines de sĂ©same et autres graines olĂ©agineuses, les poissons gras et les avocats. Les aliments riches en acides gras omĂ©ga-3 sont les poissons de mer gras et certaines graines et lĂ©gumineuses, telles que les graines de lin et le soja. Les acides gras saturĂ©s Les aliments qui contiennent essentiellement des acides gras saturĂ©s sont par exemple le beurre, le ghee, le saindoux/la graisse de cuisine, le lait entier, le fromage, le gras de la viande ou des produits carnĂ©s saucisses, par exemple et de la volaille, l'huile de palme rouge et la noix de coco. Les acides gras trans Quand on fait subir un traitement aux huiles vĂ©gĂ©tales pour les rendre plus compactes par exemple pour les utiliser dans la margarine ou autres matiĂšres grasses solides, certains acides gras insaturĂ©s sont transformĂ©s en acides gras trans. Ces derniers se comportent comme des acides gras saturĂ©s. Nous devrions consommer le moins possible d'aliments contenant des acides gras trans. Les aliments qui contiennent des acides gras trans sont par exemple la margarine et le saindoux graisse de cuisine, les aliments frits tels que les pommes de terre frites et autres fritures, les aliments frits du commerce comme les beignets, ainsi que les aliments rĂŽtis, les biscuits, les gĂąteaux et les crĂšmes glacĂ©es. Le cholestĂ©rol Le cholestĂ©rol ne se trouve que dans les aliments d'origine animale, mais l'organisme peut le fabriquer Ă  partir d'autres nutriments lipidiques. Nous avons besoin de cholestĂ©rol pour que notre organisme se dĂ©veloppe et fonctionne bien. Il existe deux sortes de cholestĂ©rol dans le sang le bon» cholestĂ©rol et le mauvais» cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de bon cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă  forte densitĂ© semble rĂ©duire le risque de maladies de cƓur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des acides gras insaturĂ©s tend Ă  accroĂźtre le taux de bon cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de mauvais cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă  faible densitĂ© semble accroĂźtre le risque de maladies de cƓur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des graisses saturĂ©es tend Ă  accroĂźtre le taux de mauvais cholestĂ©rol. Les besoins en lipides Les besoins en lipides sont exprimĂ©s en pourcentage des besoins Ă©nergĂ©tiques totaux» voir le tableau 4 Ă  l'annexe 2. Le pourcentage de l'Ă©nergie totale qui devrait provenir des matiĂšres grasses dans un rĂ©gime alimentaire sain et Ă©quilibrĂ© est le suivant de 30 Ă  40 pour cent pour les enfants qui reçoivent une alimentation complĂ©mentaire et jusqu'Ă  l'Ăąge de deux ans; de 15 Ă  30 pour cent pour les enfants plus ĂągĂ©s et la plupart des adultes; un taux maximal de 35 pour cent est acceptable pour des adultes actifs; au moins 20 pour cent et jusqu'Ă  30 pour cent pour des femmes en Ăąge de procrĂ©er de 15 Ă  45 ans. Autrement dit, le rĂ©gime alimentaire d'une femme en Ăąge de procrĂ©er, qui a besoin d'environ 2 400 kcal par jour, devrait contenir entre 480 et 720 kcal provenant de matiĂšres grasses ou d'huile, soit l'Ă©quivalent de 53 Ă  80 g d'huile pure entre 11 et 16 cuillerĂ©es Ă  cafĂ©. Les graisses prĂ©sentes dans un repas n'ont pas toutes Ă©tĂ© ajoutĂ©es lors de la prĂ©paration de ce repas; une partie d'entre elles est cachĂ©e dans des aliments tels que la viande, le lait, les arachides, les graines olĂ©agineuses et les aliments frits. Les lipides et la santĂ© Il est recommandĂ© que moins d'un tiers des lipides prĂ©sents dans le rĂ©gime alimentaire le soit sous forme d'acides gras saturĂ©s. L'huile de palme rouge et les noix/l'huile de coco sont riches en acides gras saturĂ©s. Cependant, Ă  l'inverse d'autres aliments de ce type, elles ne semblent pas augmenter le risque de maladies coronariennes. Par exemple, une consommation raisonnable de noix de coco semble ĂȘtre acceptable, Ă  condition que l'on mange le moins possible d'autres aliments ayant une forte teneur en acides gras saturĂ©s. C'est notamment le cas lorsque le mode de vie dans son ensemble diminue le risque de maladies de cƓur. Un tel mode de vie peut comporter, par exemple, une activitĂ© physique assez intense, une consommation importante de poisson, de lĂ©gumes et de racines et tubercules, peu de sel, et peu ou pas de tabac et d'alcool. L'huile de palme rouge est Ă©galement une bonne source d'autres nutriments importants, tels que la vitamine A et la vitamine E. Dans l'idĂ©al, les acides gras trans devraient fournir moins de 1 pour cent de l'apport Ă©nergĂ©tique total ou pas plus de 2 g pour la plupart des adultes. Pour de nombreuses familles, cela signifie qu'elles devraient consommer, chaque fois que possible, davantage d'aliments riches en acides gras insaturĂ©s par exemple, des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale et des poissons de mer gras, moins d'aliments Ă  forte teneur en acides gras saturĂ©s et beaucoup moins d'aliments Ă  forte teneur en acides gras trans. Les aliments riches en acides gras insaturĂ©s sont meilleurs pour le cƓur que les aliments Ă  forte teneur en acides gras saturĂ©s ou en acides gras trans Notre organisme utilise divers nutriments de façons diffĂ©rentes, comme l'indique l'encadrĂ© 5. ENCADRÉ 5 RÔLES IMPORTANTS DE CERTAINS NUTRIMENTS Nutriments RĂŽle principal dans l'organisme Macronutriments Glucides - amidon et sucres Fournir l'Ă©nergie nĂ©cessaire Ă  la respiration et la vie, Ă  la mobilitĂ© et la chaleur, et Ă  l'Ă©laboration et rĂ©paration des tissus. Une certaine quantitĂ© d'amidon et de sucres se transforme en tissus adipeux. Glucides - fibres alimentaires Ramollir les matiĂšres fĂ©cales et en augmenter le volume. Les fibres absorbent les substances nocives, ce qui contribue Ă  garder l'intestin en bon Ă©tat. Elles ralentissent la digestion et l'absorption des nutriments dans les repas, et contribuent Ă  prĂ©venir l'obĂ©sitĂ©. Lipides Constituer une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras nĂ©cessaires Ă  la croissance et la santĂ©. Les lipides favorisent l'absorption de certaines vitamines, telles que la vitamine A. ProtĂ©ines Fabriquer les cellules, les liquides de l'organisme, les anticorps et autres parties du systĂšme immunitaire. Les protĂ©ines servent parfois Ă  fournir de l'Ă©nergie. Eau Constituer les liquides, comme les larmes, la sueur et l'urine, et permettre aux processus chimiques de se produire dans l'organisme. Micronutriments Fer Fabriquer l'hĂ©moglobine, c'est-Ă -dire la protĂ©ine des globules rouges qui apporte l'oxygĂšne aux tissus. Permettre aux muscles et au cerveau de bien fonctionner. Iode Fabriquer les hormones de la thyroĂŻde qui aident Ă  contrĂŽler la façon dont l'organisme fonctionne. L'iode est indispensable au dĂ©veloppement du cerveau et du systĂšme nerveux chez le fƓtus. Zinc Favoriser la croissance et un dĂ©veloppement normal, la reproduction et un bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Vitamine A PrĂ©venir les infections et garantir le bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Maintenir en bon Ă©tat la peau, les yeux et la paroi de l'intestin et des poumons. Favoriser la vision quand la lumiĂšre est faible. Vitamines du groupe B Aider l'organisme Ă  utiliser les macronutriments pour l'Ă©nergie et Ă  d'autres fins. Aider le systĂšme nerveux Ă  bien fonctionner. Folate Renforcer les globules rouges et empĂȘcher les malformations du fƓtus. Vitamine C Aider Ă  l'absorption de certaines formes de fer voir l'encadrĂ© 6. DĂ©truire les molĂ©cules dangereuses les radicaux libres dans l'organisme. Aider Ă  la guĂ©rison des plaies. ENCADRÉ 6 L'ABSORPTION DU FER Le fer qui provient de la viande, du foie et autres abats, de la volaille, du poisson et du lait maternel est bien absorbĂ© dans l'intestin. Le fer provenant des autres types de lait, des Ɠufs, et des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale quels qu'ils soient, est mal absorbĂ©, mais les autres aliments consommĂ©s en mĂȘme temps influent sur l'absorption de ce type de fer. La viande, le poisson et les aliments riches en vitamine C fruits et lĂ©gumes frais augmentent l'absorption de ce type de fer, de sorte que davantage de fer est absorbĂ©. Certains aliments comme les grains entiers de cĂ©rĂ©ales, ou boissons comme le thĂ© ou le cafĂ©, contiennent des antinutriments» par exemple du phytate qui diminuent l'absorption de ce type de fer. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous recevons assez de chaque nutriment et assez de calories est de consommer des aliments variĂ©s. Le thĂšme 3 explique comment associer les aliments pour obtenir de bons repas. L'annexe 1 Ă©numĂšre les sources de chaque nutriment voir les tableaux 1 et 3 et la composition nutritionnelle de diffĂ©rents aliments voir le tableau 2. Les diffĂ©rents types d'aliments Des aliments de types diffĂ©rents contiennent des associations diffĂ©rentes de nutriments Les aliments de base. Ils sont gĂ©nĂ©ralement peu coĂ»teux et fournissent beaucoup d'amidon pour l'Ă©nergie, des protĂ©ines, des micronutriments en particulier certaines vitamines du groupe B et des fibres alimentaires. Entourez d'un cercle les aliments de base utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. CÉRÉALES RACINES ET FRUITS AMYLACÉS MAÏS/FARINE DE MAÏS POMME DE TERRE MIL PATATE DOUCE SORGHO IGNAME FARINE DE BLÉ MANIOC FRAIS RIZ FARINE DE MANIOC PLANTAIN Les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses. Les lĂ©gumineuses sont de bonnes sources de protĂ©ines et elles contiennent des micronutriments et des fibres alimentaires. Les lĂ©gumineuses Ă  forte teneur en graisse et les graines olĂ©agineuses fournissent des lipides. Entourez d'un cercle les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses utilisĂ©es dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LÉGUMINEUSES À FAIBLE TENEUR EN GRAISSE LÉGUMINEUSES À FORTE TENEUR EN GRAISSE ET GRAINES OLÉAGINEUSES NIÉBÉ ARACHIDE POIS PIGEON SOJA HARICOT COMMUN GRAINE DE CITROUILLE LENTILLE GRAINE DE TOURNESOL POIS CHICHE SÉSAME GRAINE DE MELON Le lait. Le lait maternel peut fournir tous les nutriments nĂ©cessaires pendant les six premiers mois de la vie et une proportion utile des nutriments nĂ©cessaires jusqu'Ă  l'Ăąge de 2 ans au moins. Le lait d'origine animale et les produits laitiers, tels que la caillebotte, le yoghourt et le fromage, sont d'excellentes sources de protĂ©ines, de lipides et de nombreux micronutriments, comme le calcium mais pas le fer. Les Ɠufs. Ils constituent une bonne source de protĂ©ines et de lipides, et fournissent plusieurs micronutriments. La viande, la volaille, le poisson et les abats provenant de ces derniers. Ils reprĂ©sentent d'excellentes sources de protĂ©ines et souvent de lipides. Ils fournissent d'importantes quantitĂ©s de fer en particulier la viande rouge et les abats rouges et de zinc, et beaucoup d'autres micronutriments, notamment des vitamines du groupe B. Le foie, de tous types, est trĂšs riche en fer et en vitamine A. Les meilleures sources de fer sont la viande, les abats, la volaille et le poisson Entourez d'un cercle les produits d'origine animale utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LAIT ET ƒUFS VIANDE, ABATS, VOLAILLE ET POISSON LAIT DE VACHE FRAIS BƒUF LAIT DE CHÈVRE FRAIS CHÈVRE CAILLEBOTTE MOUTON YOGHOURT PORC FROMAGE FOIE AUTRES ABATS ƒUFS POULET POISSON FRAIS POISSON SÉCHÉ POISSON EN CONSERVE Les huiles et les graisses. Il s'agit de sources concentrĂ©es d'Ă©nergie. Par exemple, une cuillerĂ©e d'huile de cuisson contient deux fois plus de calories qu'une cuillerĂ©e d'amidon ou une cuillerĂ©e de sucre. Les matiĂšres grasses contiennent des acides gras, dont certains sont nĂ©cessaires Ă  la croissance. Outre les matiĂšres grasses pures» par exemple le beurre et les huiles pures» par exemple l'huile de maĂŻs, les autres bonnes sources de lipides sont les olĂ©agineux, le fromage, la viande grasse et les poissons gras, les avocats et les aliments frits. L'huile de palme rouge est une bonne source de vitamine A. Le sucre. Il ne donne que des calories et n'apporte aucun autre nutriment. Il sert Ă  rendre les aliments plus savoureux et Ă  amĂ©liorer l'appĂ©tit, par exemple pendant la maladie. Cependant, si l'on mange trop souvent des aliments sucrĂ©s, cela peut nuire Ă  la santĂ© pour plusieurs raisons. Les friandises, les aliments qui collent aux dents, ou les collations et pĂątisseries prĂ©parĂ©es avec beaucoup de sucre, de miel ou de sirop, sont mauvais pour les dents quand on en mange trop souvent. De nombreux aliments sucrĂ©s contiennent aussi beaucoup de matiĂšres grasses, ce qui accroĂźt le risque de trop manger» pour les personnes qui devraient limiter leur apport Ă©nergĂ©tique. Les personnes qui mangent souvent des aliments sucrĂ©s ou qui consomment beaucoup de boissons sucrĂ©es, par exemple des sodas boissons pĂ©tillantes en bouteille, ont plus de probabilitĂ©s d'avoir un poids excessif et du diabĂšte. Bien souvent aussi, ces personnes-lĂ  mangent moins des autres aliments plus nutritifs. Il y a beaucoup de sucre dans les bonbons, les sodas, la confiture, les gĂąteaux et les biscuits. Il est mauvais pour les dents de consommer trop d'aliments sucrĂ©s et qui collent Quand on mange trop d'aliments sucrĂ©s, on consomme souvent une plus faible quantitĂ© des autres aliments plus nutritifs Entourez d'un cercle les matiĂšres grasses, les huiles et les sucres utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. MATIÈRES GRASSES HUILES SUCRES BEURRE HUILE DE COCO SUCRE DE TABLE MARGARINE HUILE DE TOURNESOL MIEL GRAS DE VIANDE HUILE D'ARACHIDE CONFITURE GHEE HUILE DE PALME ROUGE SUCRE DE CANNE HUILE DE MAÏS Les lĂ©gumes et les fruits. Ce sont d'importantes sources de micronutriments et de fibres alimentaires, mais leur quantitĂ© varie selon le type de lĂ©gume et de fruit. Les lĂ©gumes orangĂ©s, tels que la patate douce orangĂ©e et les carottes, ainsi que les fruits orangĂ©s, comme la mangue et la papaye, Ă  l'exception des agrumes oranges et citrons, par exemple, sont d'excellentes sources de vitamine A. La plupart des fruits et lĂ©gumes frais pas trop cuits fournissent de la vitamine C. Les lĂ©gumes Ă  feuilles vert foncĂ© apporte Ă  l'organisme du folate et un peu de vitamine A. Beaucoup de lĂ©gumes par exemple, tomates et oignons fournissent d'autres micronutriments importants, qui peuvent protĂ©ger contre certaines maladies chroniques, comme les maladies de cƓur. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous obtenons assez de chaque nutriment et assez de fibres est de manger tous les jours diverses sortes de lĂ©gumes et de fruits. Entourez d'un cercle les lĂ©gumes et les fruits utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LÉGUMES FRUITS TOMATE MANGUE CITROUILLE PAPAYE CAROTTE FRUIT DE LA PASSION ÉPINARD ORANGE AUTRES LÉGUMES FEUILLUS ANANAS PATATE DOUCE ORANGÉE BANANE POIVRON DOUX DATE AUBERGINE GOMBO Les condiments. Tout le monde utilise du sel pour cuisiner, et le sel est prĂ©sent dans beaucoup d'aliments transformĂ©s. Un excĂšs de sel est mauvais pour la santĂ© et peut donner de l'hypertension. Le sel iodĂ© est une source importante d'iode. Les plantes aromatiques, les Ă©pices, l'ail et les oignons sont d'autres condiments qui permettent de rendre les repas savoureux. L'eau. Nous avons besoin d'environ huit verres d'eau par jour, et davantage si nous transpirons ou avons de la fiĂšvre ou la diarrhĂ©e. En plus de l'eau que nous buvons, nous obtenons de l'eau en buvant du thĂ©, du cafĂ© ou des jus de fruits et en mangeant du potage, des fruits et des lĂ©gumes. Les besoins alimentaires de la familleLa quantitĂ© des diffĂ©rents nutriments dont une personne a besoin varie selon l'Ăąge, le sexe et l'activitĂ©, ainsi que de facteurs tels que la menstruation, la grossesse ou l'allaitement au sein. Les besoins varient Ă©galement pendant la maladie et la convalescence. Les besoins nutritionnels des diffĂ©rents membres de la famille sont Ă©numĂ©rĂ©s au tableau 4 Ă  l'annexe 2, et examinĂ©s dans le thĂšme 3 et les thĂšmes 5 Ă  10. METTRE EN COMMUN CES INFORMATIONS Avant d'Ă©changer ces informations avec les familles, il vous faudra peut-ĂȘtre 1 Chercher Ă  savoir quels sont les diffĂ©rents types d'aliments consommĂ©s dans la rĂ©gion et ce que les personnes savent dĂ©jĂ  au sujet des aliments et des nutriments. 2 Etablir des prioritĂ©s dĂ©cider quelles sont les informations les plus importantes Ă  Ă©changer avec les groupes ou les familles individuelles. 3 DĂ©cider qui atteindre par exemple, les parents et d'autres personnes chargĂ©es de soins; les enseignants; les enfants scolarisĂ©s plus ĂągĂ©s ou les jeunes; les responsables de groupements locaux. 4 Choisir les mĂ©thodes de communication par exemple, exposĂ©s avec illustrations, discussions, ou dĂ©monstrations de questions pour entamer une discussion Choisissez seulement une ou deux questions qui traitent des informations dont les familles ont le plus besoin Pourquoi avons-nous besoin de bien manger? Pouvez-vous Ă©numĂ©rer des minĂ©raux et des vitamines importants? Quels nutriments importants trouve-t-on dans les cĂ©rĂ©ales, les lĂ©gumineuses, le lait, la viande? Pourquoi est-il mauvais pour nous de consommer trop de sucre? Pourquoi les lipides prĂ©sents dans les aliments d'origine vĂ©gĂ©tale sont-ils gĂ©nĂ©ralement meilleurs pour la santĂ© que ceux de la margarine ou des aliments vendus dans la rue? Pourquoi avons-nous besoin de fer? Quels sont les aliments qui fournissent le plus de fer? Lesproduits frais (fruits et lĂ©gumes, mais aussi racines fĂ©culentes comme les pommes de terre) constituent l’élĂ©ment essentiel d'une alimentation saine, mais quels sont les pays qui en consomment le plus ? Notre Ă©tude montre que c’est la Colombie oĂč les produits frais reprĂ©sentent 15,6% du rĂ©gime alimentaire moyen, dont une grande Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la rĂ©ponse Ă  cette Ă©tape du jeu, vous ne serez pas déçu. 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Leduo londonien, constitué de Daniel Fernåndez Pascual et Alon Schwabe ont intitulé leur projet "climavore". Celui-consiste entre autres à mettre en scÚne des expositions pour interpeler sur

Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la rĂ©ponse Ă  cette Ă©tape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de CodyCross Dont le rĂ©gime alimentaire est constituĂ© de fruits. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă  trouver Ă  partir de leurs dĂ©finitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nĂ©cessitent une bonne connaissance gĂ©nĂ©rale des thĂšmes politique, littĂ©rature, mathĂ©matiques, sciences, histoire et diverses autres catĂ©gories de culture gĂ©nĂ©rale. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă  ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficultĂ©. Si vous cherchez des rĂ©ponses, alors vous ĂȘtes dans le bon sujet. Le jeu est divisĂ© en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposĂ©e dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez Ă©galement consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross Frugivore Vous pouvez maintenant revenir au niveau en question et retrouver la suite des puzzles Solution Codycross L’Australie Groupe 1010 Grille 2. Si vous avez une remarque alors n’hĂ©sitez pas Ă  laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous ĂȘtes entrain de rĂ©soudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionnĂ© plus haut pour retrouver la liste complĂšte des dĂ©finitions Ă  trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'Ă©nigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayĂ©s. This div height required for enabling the sticky sidebar . 590 789 508 18 141 758 105 556

dont le régime alimentaire est constitué de fruits