Premier message Ma soeur va mourir 0 Posté le 21 septembre 2007 par lucky547 Bonsoir, ma soeur est à l'hôpital. Le cancer l'a prise en un temps record. Les médecins lui donnent encore quelques jours à vivre alors qu'il i a une semaine à peine, elle semblait reprendre le dessus. Elle n'a que 59 ans. Je suis mal. Je culpabilise déjà de ne pas l'avoir assez assistée pendant les quelques mois de sa maladie. Pourtant elle aurait aimé me voir plus souvent, m'avoir plus fréquemment à ses côtés, elle qui m'adorait. Mais je ne lui ai offert que trop d'absence. Par égoïsme, à cause du malaise que j'éprouvais face à sa maladie à laquelle je n'avais pas envie d'être confronté. Aujourd'hui c'est trop tard et je n'ai plus que des regrets et mes yeux pour pleurer. Comment vais-je pouvoir vaincre cette culpabilité qui va me poursuivre et qui me poursuit déjà? Je voudrais dire ici à toutes celles et ceux qui liront ces mots qu'il faut prouver aux autres qu'on les aime pendant qu'il est encore temps. Pourquoi attendre qu'il soit trop tard? Et pourquoi avoir peur de le montrer? Ca ne peut que faire plaisir. La vie est si courte. Je ne l'ai pas fait. Je le regrette, et ce soir je chiale sur mon ordinateur comme un petit gamin et en ayant peur du lendemain. Messages récents La perte de ma jeune soeur 6 Posté le 27 juin 2012 anonymement En réponse à réponse 1 par Maylisse Bonjour à tous, J'ai perdu ma jeune soeur le 25 mai 2012 d'un cancer des ovaires. La vie nous avait séparées, et le cancer nous a réunis. Je me pose pas mal de questions sur le passé sans me culpabilisée car à chacune un destin déjà tracé. Cela n'empechê pas la souffrance en silence. On me dit que seul le temps atténuera la douleur. Elle me manque terriblement. Je n'ai pas pu lui dire ce que j'avais sur le coeur, combien elle allait me manquer....je me contentais de la rassuer, je suis restais digne et forte pour elle, moi la peureuse, de qui? si ce n'est pas de ma propre peure. Et maintenant? Malika réponse 5 Posté le 23 septembre 2007 par Maylisse Bonsoir Lucky et ImaJIneL Je vous présente à tous les deux mes sincéres condoléances. Surtout, ne laissez pas la peine et la souffrance vous isoler de la vie sociale, n'hésitez surtout pas à écrire un message, car il est important d'extérioriser la douleur qui nous torture le coeur et l'esprit, je serai là pour vous comprendre, vous aider et vous guider. Vous avez tout mon soutien ! A bientôt Maylisse D Message 4 4 Posté le 23 septembre 2007 par lucky547 Mes plus sincères condoléances à vous. C'est un très douloureux moment Message 3 3 Posté le 23 septembre 2007 par ImaJIneL moi aussi maylisse, ma mere est morte du cancer cet ete Message 2 2 Posté le 23 septembre 2007 par lucky547 Merci Mailisse pour votre réconfort qui m'aide beaucoup. Ca m'a fait du bien de vous lire et j'ai ressenti un apaisement après votre message. Ma soeur est décédée cette nuit. réponse 1 Posté le 21 septembre 2007 par Maylisse Bonsoir Lucky Vous avez eu peur de voir souffrir votre soeur que vous aimez énormément et c'est une réaction normal car vous n'étiez pas préparé psychologiquement à sa dégradation physique puisque dernierement, comme vous le dites, elle semblait prendre le dessus. Le cancer s'est surdéveloppé a vitesse grand v et vous a pris de cour. La peur paralyse, et il est normal d'avoir peur c'est un automatisme qui vous a permis de protéger votre soeur sur les larmes qu'elle aurait pu voir couler sur vos joues, sur toute cette souffrance que vous éprouvez. Ceci l'aurait encore plus fait souffrir car elle aurait encore plus pris conscience de sa maladie dévastatrice. Vous n'êtes pas égoïste du tout, vous avez protégé votre soeur de votre souffrance. Elle vous aime et vous l'aimez, vous êtes dans son coeur, elle est dans le votre et ce sera pour l'éternité. J'imagine votre souffrance de voir la maladie avancer à grands pas, surtout ne culpabilisez pas, ne vous infligez pas cette injustice, cette souffrance supplémentaire. Votre comportement est un automatisme que tous les gens, pris de cours par la maladie, ont. Je compatie à votre souffrance et si vous avez besoin de "parler", n'hésitez pas, je serai là pour vous répondre et vous aider. A bientôt Maylisse D
TikTokvideo from abonnervousmêmesijesuisnulsvp (@m_a_r_y_k_a_): "#ma petite soeur me manque😪😭😭😭😭😢😢😧😧😪😪😥😥😚😚😍😍😘😘🤗😇😇🤗🤗 💝💝 💝💝😻😻😻😽😽😿🙀". Toi et moi. D'Artagnan continua.Devant Dieu et devant les hommes j'accuse cette femme d'avoir voulu m'empoisonner moi-mêmedans du vin qu'elle m'avait envoyé de Villeroi avec une fausse lettre comme si le vin venait de mes amis; Dieu m'a sauvé; mais un homme est mort à ma place qui s'appelait vervolgde„ Voor God en voor de menschen beschuldig ik die vrouw mij zelven te hebbenwillen vergiftigen door wijn dien zij mij van _Villeroy_ had gezonden met een valschen brief alsof die wijn van mijn vrienden kwam. God heeft mij gered doch een man Brisemont genaamd is in mijn plaats gestorven.”.Les habitants de Guibea se sont soulevés contre moi et ont entouré pendant la nuit la maison où j'étais. Ilsavaient l'intention de me tuer et ils ont fait violence à ma concubine et elle est de burgers van Gibea maakten zich tegen mij op en omringden tegen mij het huis bij nacht; Les gens traduisent aussi Les habitants de Guibea se sont soulevés contre moi et ont entouré pendant la nuit la maison où j'étais. Ils avaient l'intention deS Nachts omsingelden de burgers van Gibea ons huis; ze waren van plan mij te onteren en te est morte deux ans après ma naissance à Glasgow quand ils ont coulé le croiseur Livingstone avec mon oncle stierf twee jaar nadat ik geboren was in Glasgow… in het jaar dat ze de Livingstone tot zinken brachten met mijn oom Mike. alors j'ai presque attendu ça ma vie entière le redoutant. dus ik zit hier al mijn hele leven op te hebElle est morte et après je suis mort et le gars qui a tué ma femme est mort et en fait il me manque et maintenant je ne peux pas parler à une femme sans fantasmer de déchiqeter son cou?Ze stierf… en toen stierf ik en toen stierf de man die mijn vrouw vermoordde. Eigenlijk mis ik hem wel een beetje. En nu kan ik zelfs niet met 'n meisje praten… zonder te fantaseren dat ik haar nek bijt?L'article disait que la personne à laquelle le membre faisait allusion n'avaitHet artikel stelde dat de persoon waarnaar de geachte afgevaardigde verweesJe ne sais pas ce que mon père lui a donné mais quand elle est morte… On m'a confié à lui et sa weet niet of mijn vader haar betaald had maar ik ging naar zijn is dood en ik kan het niet verdragen om verder te leven als laatste que tu ne penses à dire quoique ce soit sache que… j'ai des hommes devant ta maison maintenant et s'ils n'ont pas de mes nouvelles dans les 10 minutes elle est je iets wilt zeggen weet dit… Ik heb mensen buiten je huis staan… en als ze in tien minuten niet van me horen… is ze was net bezig mijn Defiance bestanden te downloaden toen ze was zo boos op haar ik zei tegen mijn zus dat ze dood was voor me zonder dat ik eraan dacht wat die woorden eigenlijk comme ça que j'ai su queIk voelde dat m'n zus iets overkomen was. En toen ze laatst niet kwam opdagen besefte ik dat ze dood was 10 minuten weg en toen ik terugkwam was ze dood. convaincu qu'elle était tegen m'n vrouw… dat ik voor 'n zaak sterf waar ik voor de volle honderd procent de que j'ai promis à mon père de faire il y a 20 ans. et même s'il est mort pour les 10 d'entres elles il y a des promesses que l'on doit dat heb ik mijn vader 20 jaar geleden beloofd en hoewel hij al 10 jaar dood is moet je sommige beloftes doit continuer à me harceler comme ça à dire partout que c'est uniquement de ma faute si son père est mort?Dat ze moet doorgaan met mij lastigvallen? Rondvertellen dat ik verantwoordelijk ben voor haar vader's dood? Découvredes vidéos courtes en rapport avec elle me manque ma soeur sur TikTok. Regarde du contenu populaire des créateurs suivants : _.LYNNSHA._🥰(@lynnsha_officiel), Koliata__(@piichoubvby74), K2!🇪🇸(@karime_fc), Quentinos33(@quentinos33), Rosa lou(@rosalou125), theo(@theo_lgrd10), 🌷♡︎ CHLE-RND ♡︎🌷(@chloe_citation20), Bonjour, J'ai perdu ma mère il y a 3 semaines. Elle est partie des suites d'un glioblastome cancer du cerveau, après 15 mois d'une longue agonie autant due au cancer en lui-même qu'aux traitements proposés par la médecine "moderne" Chimiothérapie qui l'a tellement mise à plat qu'elle a totalement arrêté de sortir de son lit dés la 1ère série - Radiothérapie localisée sur la zone touchée du cerveau, qui lui a provoqué une lobotomie en bonne et due forme - Cortisone à gogo pour réduire les œdèmes autour de la tumeur mais qui la faisait gonfler de toutes parts et qui lui provoquait un diabète et donc, en prime elle a subi moults shoot d'insuline... Et j'en passe. Bref, 15 mois d'une insoutenable horreur où ma mère, infirmière en activité lors du diagnostic, s'est dégradée par à coups. Très rapidement, elle n'a plus été en mesure de faire la moindre phrase après les rayons et plus d'un an s'est écoulé ainsi, où elle essayait de commencer une phrase mais la suite ne venait jamais... Pour autant, elle m'a toujours reconnue. Rapidement, elle a cessé de marcher puis, elle a cessé d'accepter le fauteuil roulant puis, elle a cessé de s'assoir dans son lit puis, elle a fini allongée en permanence, amaigrie, délirante, le cancer se propageant à d'autres endroits du corps, l'odeur du pus flottant partout dans la pièce et maman, dans les derniers jours, ne respirant plus qu'à travers un horrible râle rauque chargé de sécrétions. J'ai été sa seule accompagnante au quotidien, tout du long. Bien portante, maman était une sorte de misanthrope qui ne laissait personne entrer chez elle; Ses parents mes grands-parents sont morts; Je suis fille unique et n'ai jamais connu mon père elle ne s'est jamais mariée. Maman avait bien 2 frères, 1/2 soeur et une nièce, ma cousine, mais ces derniers sont loins entre 400 et 800 km et n'ont pas pu venir plus de 5 ou 6 fois sur toute la durée de la maladie. Ca a été très dur car étant la seule à venir tous les jours en début et fin de maladie, avec une moyenne de 2 fois/semaine entre les deux, maman s'est beaucoup raccrochée à moi jusqu'à entrer dans du chantage affectif Refus du change, de la toilette, des repas, si je n'étais pas là. Clairement, j'ai mis ma vie en stand by pendant 15 mois Super boulot dont j'ai du refuser le CDI car trop loin de son lieu d'hospitalisation, Formation de reconversion que je n'ai pas pu finir de valider, Vie perso amour/amis en stand by total, plus de loisirs, gestion administrative de ses affaires car maman avait de grosses problématiques de gestion de la vie quotidienne et j'ai même récupéré ses 2 vieux animaux de compagnie dont l'un est sous traitement, ce qui entrave encore de beaucoup ma mobilité.... Bref, ça a été un chemin de croix tout du long et j'ai passé 15 mois à vomir systématiquement tous les matins au saut du lit; A pleurer comme une madeleine un soir sur deux; A rouler à 160 en rentrant de l'hosto en me disant que si je lâchais le volant sur un platane, pour moi, tout serait résolu; A angoisser à la vue des scènes monstrueuses qui se jouent dans les hostos; A être terrorisée aussi de l'après "familial"... J'avais 36 ans lors du diagnostic. Je n'ai pas d'enfants, ne suis pas mariée et je me retrouve aujourd'hui sans mère, sans père, sans frères et sœurs, sans grands-parents... Ma mère et moi n'avons jamais eu des relations "pacifiées" Comme je l'ai dit, elle avait d'autres problématiques, incapable de gérer le quotidien depuis toujours... Notre relation m'étouffait au pire point car j'étais à la fois sa fille, sa sœur, sa confidente, son conjoint... Et toujours le "secret" qu'il fallait garder sur ses dettes, ses défaillances, son intérieur, etc.... A maintes reprises, avant qu'elle ne tombe malade, j'ai pensé et même formulé que je ne serai libre et capable de vivre ma vie que lorsqu'elle aurait quitté ce monde. Pour autant, malgré la "toxicité" que pouvait parfois avoir notre relation, je reconnais tout ce qu'elle m'a apporté et ce qui est certain, c'est que nous avons toujours pu compter l'une sur l'autre. C'était une femme d'une grande intelligence, avec une certaine finesse d'analyse. Elle était également un puits de savoir, dans de nombreux domaines. Infirmière de métier, elle était d'une grande empathie pour ses patients et ne vivait que pour soulager leur souffrance. Je ne la remercierai jamais assez de ce qu'elle m'a donné Une confiance en moi et une estime de moi, à toute épreuve; L'esprit critique et la force de ne jamais céder à la manipulation; L'empathie et la tolérance; Le goût de l'histoire et des arts; Les voyages; Les expériences multiples; La possibilité de s'adapter dans tous les milieux et à tous les interlocuteurs... Tout ça, je le lui dois en partie et j'en ai bien conscience. Ce qu'elle ne m'a pas donné n'a plus d'importance aujourd'hui et je l'accepte. Malgré nos désaccords et l’ambiguïté de notre relation, j'ai accompagné maman comme il se devait. Non pas que j'en avais réellement la volonté mais surtout, car je n'ai jamais considéré avoir le "choix" Contrairement à ce que tous les bien-pensants me disaient durant ces mois De me ménager, de prendre de la distance, de penser à moi.... J'ai préféré tout sacrifier pendant 15 mois afin de ne jamais avoir à ressentir un sentiment de culpabilité qui ne m'aurait probablement jamais quitté jusqu'à la fin de mon existence, plutôt que l'inverse. C'est chose faite et effectivement, aujourd'hui, je ne ressens rien d'autre que la satisfaction d'avoir tenu "ma place", d'avoir fait ce qu'il était nécessaire de faire. Mais voilà, je n'ai presque pas pleuré depuis son décès, il y a 3 semaines. L'agonie a été très violente et j'étais obligée de sortir de la chambre régulièrement pour pleurer tellement c'était insoutenable. Mais depuis son décès Rien; A la veillée du corps Rien; A la levée du corps et à la crémation Rien de rien... Depuis 3 semaines, je sais que ma mère est morte et j'ai l'impression d'être insensible car finalement, je me sens juste "soulagée" que tout cela soit enfin terminé. Je peux regarder des photos d'elle, sans pleurer. Je peux écouter des enregistrements de sa voix, sans pleurer. Je n'ai même plus peur d'avancer sans elle ou même sans famille, dans l'existence. Je ne rêve pas d'elle. Je n'ai pas de flottement au réveil, où je me demande si sa mort est réelle ou un cauchemar J'ai vécu toutes ces choses pendant des années, après le décès de ma grand-mère qui m'a largement élevée, pendant que ma mère bossait... Ai-je fait mon deuil au cours de la maladie ou suis-je dans le déni? Suis-je insensible?. Merci