JulesVernes pour écrire son fameux "Voyage au Centre de la Terre" s'est inspiré des paysages et grottes du volcan islandais Snaefelljökull situé dans l'Est de l'ile. **** Ecriture en cours **** A
Un parchemin glissé dans un ancien manuscrit révèle au professeur Lidenbrock comment accéder au centre de la terre. Aussitôt, il entreprend un voyage en Islande afin de s’y rendre, accompagné de son neveu Axel le narrateur de cette histoire et du guide Hans. Parvenus au centre de la Terre en y entrant par un volcan éteint, ils découvrent un univers étrange peuplé de créatures non moins étranges. Lundi 17 août. — Je cherche à me rappeler les instincts particuliers à ces animaux antédiluviens de l’époque secondaire, qui, succédant aux mollusques, aux crustacés et aux poissons, précédèrent l’apparition des mammifères sur le globe. Le monde appartenait alors aux reptiles. Ces monstres régnaient en maîtres dans les mers jurassiques. La nature leur avait accordé la plus complète organisation. Quelle gigantesque structure ! quelle force prodigieuse ! Les sauriens actuels, alligators ou crocodiles, les plus gros et les plus redoutables, ne sont que des réductions affaiblies de leurs pères des premiers âges ! Je frissonne à l’évocation que je fais de ces monstres. Nul œil humain ne les a vus vivants. Ils apparurent sur la terre mille siècles avant l’homme, mais leurs ossements fossiles, retrouvés dans ce calcaire argileux que les Anglais nomment le lias, ont permis de les reconstruire anatomiquement et de connaître leur colossale conformation. J’ai vu au Muséum de Hambourg le squelette de l’un de ces sauriens qui mesurait trente pieds de longueur. Suis-je donc destiné, moi, habitant de la terre, à me trouver face à face avec ces représentants d’une famille antédiluvienne ? Non ! c’est impossible. Cependant la marque des dents puissantes est gravée sur la barre de fer, et à leur empreinte, je reconnais qu’elles sont coniques comme celles du crocodile. Mes yeux se fixent avec effroi sur la mer. Je crains de voir s’élancer l’un de ces habitants des cavernes sous-marines. Je suppose que le professeur Lidenbrock partage mes idées, sinon mes craintes, car, après avoir examiné le pic, il parcourt l’Océan du regard. Au diable, dis-je en moi-même, cette idée qu’il a eue de sonder ! Il a troublé quelque animal marin dans sa retraite, et si nous ne sommes pas attaqués en route !… » Je jette un coup d’œil sur les armes, et je m’assure qu’elles sont en bon état. Mon oncle me voit faire et m’approuve du geste. Déjà de larges agitations produites à la surface des flots indiquent le trouble des couches reculées. Le danger est proche. Il faut veiller. Ironie de Jules Verne alors que les personnages descendent sous terre, ils remontent le temps. Mardi 18 août. — Le soir arrive, ou plutôt le moment où le sommeil alourdit nos paupières, car la nuit manque à cet océan, et l’implacable lumière fatigue obstinément nos yeux, comme si nous naviguions sous le soleil des mers arctiques. Hans est à la barre. Pendant son quart je m’endors. Deux heures après, une secousse épouvantable me réveille. Le radeau a été soulevé hors des flots avec une indescriptible puissance et rejeté à vingt toises de là . Qu’y a-t-il ? s’écria mon oncle. Avons-nous touché ? » Hans montre du doigt, à une distance de deux cents toises, une masse noirâtre qui s’élève et s’abaisse tour à tour. Je regarde et je m’écrie C’est un marsouin colossal ! — Oui, réplique mon oncle, et voilà maintenant un lézard de mer d’une grosseur peu commune. — Et plus loin un crocodile monstrueux ! Voyez sa large mâchoire et les rangées de dents dont elle est armée. Ah ! il disparaît ! — Une baleine ! une baleine ! s’écrie alors le professeur. J’aperçois ses nageoires énormes ! Vois l’air et l’eau qu’elle chasse par ses évents ! » En effet, deux colonnes liquides s’élèvent à une hauteur considérable au-dessus de la mer. Nous restons surpris, stupéfaits, épouvantés, en présence de ce troupeau de monstres marins. Ils ont des dimensions surnaturelles, et le moindre d’entre eux briserait le radeau d’un coup de dent. Hans veut mettre la barre au vent, afin de fuir ce voisinage dangereux ; mais il aperçoit sur l’autre bord d’autres ennemis non moins redoutables une tortue large de quarante pieds, et un serpent long de trente, qui darde sa tête énorme au-dessus des flots. Impossible de fuir. Ces reptiles s’approchent ; ils tournent autour du radeau avec une rapidité que des convois lancés à grande vitesse ne sauraient égaler ; ils tracent autour de lui des cercles concentriques. J’ai pris ma carabine. Mais quel effet peut produire une balle sur les écailles dont le corps de ces animaux est recouvert ? Nous sommes muets d’effroi. Les voici qui s’approchent ! D’un côté le crocodile, de l’autre le serpent. Le reste du troupeau marin a disparu. Je vais faire feu. Hans m’arrête d’un signe. Les deux monstres passent à cinquante toises du radeau, se précipitent l’un sur l’autre, et leur fureur les empêche de nous apercevoir. Le combat s’engage à cent toises du radeau. Nous voyons distinctement les deux monstres aux prises. Mais il me semble que maintenant les autres animaux viennent prendre part à la lutte, le marsouin, la baleine, le lézard, la tortue. À chaque instant je les entrevois. Je les montre à l’Islandais. Celui-ci remue la tête négativement. Tva », fait-il. — Quoi ! deux ! il prétend que deux animaux seulement… — Il a raison, s’écrie mon oncle, dont la lunette n’a pas quitté les yeux. — Par exemple ! — Oui ! le premier de ces monstres a le museau d’un marsouin, la tête d’un lézard, les dents d’un crocodile, et voilà ce qui nous a trompés. C’est le plus redoutable des reptiles antédiluviens, l’ichthyosaurus ! — Et l’autre ? — L’autre, c’est un serpent caché dans la carapace d’une tortue, le terrible ennemi du premier, le plesiosaurus ! » Hans a dit vrai. Deux monstres seulement troublent ainsi la surface de la mer, et j’ai devant les yeux deux reptiles des océans primitifs. Voyage au centre de la terre chapitre XXXIII de Jules Verne Questions Un voyage extraordinaire 1. Quel terme désigne le narrateur ? 2. À quels termes voit-on que ce texte prend la forme d’un journal intime ? 3. Pour quelles raisons tient-on, en général, un journal ? Est-ce bien le cas du narrateur du Voyage au centre de la terre ? Justifiez votre réponse. 4. Décrivez le lieu où se trouvent les personnages en prélevant des indices dans le texte. 5. À quel moment a lieu le combat ? Que se passe-t-il auparavant ? Il est évidemment tout à fait impossible de pénétrer au centre de la terre. Pourtant ce voyage imaginaire s’appuie sur des théories aujourd’hui considérées comme fausses. 6. Quels sont les sentiments qui précèdent l’instant du combat ? Relevez le champ lexical de ces sentiments. 7. Qu’est-ce qui a provoqué ce sentiment ? Le combat 8. Combien croit-on qu’il y a de monstres, au début ? Quelle expression est utilisée pour indiquer qu’il y en a une grande quantité ? 9. Dans cette phrase, quels termes montrent pourtant que ce n’est pas sûr ? 10. Sur quel sentiment s’achève cet extrait ? Justifiez votre réponse. Le Sneffels est l’un des volcans islandais les plus connus puisque c’est là que Jules Verne situe l’entrée du centre de la terre. Source Wikipédia Partager À voir également Séquence sur Voyage au centre de la terre Vingt mille lieues sous les mers extraits L’Île mystérieuse extrait Le Tour du monde en 80 jours extrait
DeA comme Agriculture à Z comme Zèbre, Eric de Kermel, écrivain et directeur de la rédaction du journal Terre sauvage, nous livre, au fil de son Abécédaire de l’écologie joyeuse paru aux
Vous passez l'été à Montréal? Tant mieux! De A à Z, nous avons répertorié pour vous 26 choses à ne pas rater pour profiter à fond de la ville et de ses environs. Mis à jour le 9 juill. 2018 A pour Aire Commune Avis aux travailleurs estivaux ce n'est pas parce que vous êtes au boulot que vous devez vous priver du soleil pour autant. Aire Commune, situé à l'angle de Gaspé et Bernard, dans le Mile End, est un nouvel espace de travail extérieur commun avec parasols, prises électriques et WiFi gratuits, qui se veut à la fois festif dehors, avec café ou bière en sus et créatif parce que le grand air, ça fait du bien au cerveau, c'est prouvé. Qui dit mieux? B pour bouffe de rue Si vous aimez la bouffe de rue, le festival Bouffons Montréal est pour vous. Du 18 au 29 juillet, un véritable village de camions de rue se pose au centre-ville, angle De Bleury et Sainte-Catherine. Tous les jours, de midi à 23 h, faites le plein de bonne bouffe dans une ambiance de vacances sable, tables de pique-nique et DJ inclus. C pour cocktails Évidemment, qui dit soleil dit boissons froides, rafraîchissantes, à déguster avec tout plein de glaçons, sans trop de modération. Osez les nouvelles recettes avec ou sans alcool, et découvrez de nouvelles adresses pour célébrer vos fins de journées, jeudredis» et autres prétextes pour trinquer. Trois adresses festives à essayer > Le Mal Nécessaire > Boho > Club Pelicano D pour détente Ah, la détente, quoi de mieux que de s'offrir une journée dans un spa, seul ou entre amis. Que ce soit le Balnea à Bromont, le Strøm Spa nordique à L'Île-des-Soeurs, le Skyspa à Brossard, le spa Eastman Montréal au coeur du centre-ville ou encore le Bota Bota dans le Vieux-Port, on a vraiment l'embarras du choix! E pour Électronik Comme dans Piknic Électronik. Tous les dimanches de l'été, jusqu'au 20 septembre, venez pique-niquer dès 14 h au parc Jean-Drapeau, au son de rythmes électros. L'événement convivial et festif par excellence pour les amateurs de musique électronique réunit depuis plus de 15 ans des milliers de personnes et d'excellents DJ. Le concept a fait mouche, et s'est même exporté à Melbourne, Dubaï et Santiago, au Chili. F pour fleurs Tout l'été, on peut admirer les merveilleuses couleurs des fleurs du Jardin botanique. On y retrouve 22 000 espèces et cultivars, en plus d'une vingtaine de jardins thématiques répartis sur 75 hectares. Les amateurs de fleurs et de musique seront comblés, car on y présente tous les dimanches après-midi de l'été des concerts avec notamment Émile Bilodeau, Pomme, Les Hay Babies, Bïa, Marie-Denise Pelletier et Laurence Jalbert. G pour Gamelin Pour tout l'été, jusqu'au 30 septembre, la place Émilie-Gamelin se transforme pour la quatrième année en magnifique terrasse, avec une foule d'activités au menu casse-croûte, spectacles en tous genres dont Complètement cirque au début de juillet, brunchs rétros, yoga, soirées Salsafolie, ateliers créatifs pour enfants, même une papillonnière. H pour Horloge D'accord, l'accès à l'eau fait ici cruellement défaut, mais ce léger détail oublié, l'illusion balnéaire est quasi parfaite soleil, parasols, sable chaud, buvette et brumisateurs en prime, le tout pour 2 $. Située au pied de la tour de l'Horloge, dans le Vieux-Port, la plage offre un espace de détente hors pair et constitue aussi un lieu de choix les soirs de feux d'artifice 5 $. I pour îles Les îles Sainte-Hélène et Notre-Dame, qui forment ce qu'on appelle le parc Jean-Drapeau, regorgent de possibilités d'activités que ce soit La Ronde, le Casino, la plage artificielle mais avec du sable réel, les sentiers pédestres, la piscine extérieure ou le circuit Gilles-Villeneuve, véritable paradis du vélo, longboard, jogging et patin à roues alignées. J pour Jardineries Au pied du Stade olympique, les Jardineries sont un grand jardin urbain, une oasis de verdure au centre de la ville, et pourquoi pas un espace de travail partagé extérieur avec WiFi gratuit. Au menu potager, poulailler, jeux, tables de pique-nique et hamacs. Le tout dans une ambiance à la fois festive et familiale. Du jeudi au dimanche, le lieu se transforme en vaste Biergarten, avec bar et performances artistiques diverses. K pour Kem CoBa et autres glaciers adorés Kem CoBa, Meu Meu, les Givrés, Havre-aux-Glaces, Bo-Bec, le Péché Glacé, Roberto's, Dalla Rose, Montréal ne manque pas d'excellentes adresses pour aller se chercher un gelato, un sorbet ou une petite molle, et ainsi agrémenter les belles journées d'été. Oui, parfois il faut faire la file, mais ça en vaut tellement toujours la peine. L pour Laval-Longueuil Le Centre de la nature de Laval propose de belles activités canot, kayak, pédalo, piscine et jeux d'eau. Il y a même une ferme avec des poules, chevaux, chèvres, lapins, canards et alpagas. Côté musique, les Zones musicales se tiennent aux quatre coins de Laval, du 13 juillet au 23 août, avec 40 spectacles extérieurs gratuits. À Longueuil, le Sommet des arts et de la musique se déroule du 5 au 8 juillet. Au programme concert en plein air, rencontres artistiques et spectacles de cirque et de jonglerie. M pour Mondial La Coupe du monde de soccer se poursuit jusqu'au 15 juillet et la fièvre du ballon rond se fait sentir dans les rues de Montréal. Si vous voulez profiter de cet engouement, voici quelques bars où aller voir les matchs dans une ambiance endiablée. Le Bar Monsieur Ricard modifie ses heures d'ouverture décalage horaire oblige et sert des croissants lors des matchs de la France! Go tout le monde sauf la Suède», peut-on lire sur une banderole, boulevard Saint-Laurent, dans la Petite-Italie. C'est la première fois en 60 ans que les Italiens ne se qualifient pas, gracieuseté des Scandinaves. Le Caffè Italia, le Bar Sportivo et le Conca d'Oro diffusent tout de même les matchs jusqu'au 15 juillet. N pour Nuits d'Afrique Du 10 au 22 juillet se tient le 32e Festival international Nuits d'Afrique, où l'on célèbre les musiques qui viennent d'Afrique, des Antilles et d'Amérique latine. Il y a de nombreux spectacles gratuits en plein air dans le Quartier des spectacles, des ateliers de danse africaine ou de percussion afro-brésilienne, il y a aussi une zone famille avec des activités pour les petits, le tout dans une ambiance de fête lors de nos chaudes nuits d'été. O pour Oka Bien sûr, ce ne sont pas les Caraïbes, mais l'eau est bleue, le sable est blanc et c'est à moins d'une heure de Montréal. Cette année, en plus des locations de canots, pédalos et kayaks, la plage propose un parcours de jeux gonflables, Aquazilla, pour les enfants de 6 ans et plus. Qui dit mieux ? Alors un bel après-midi, on se prépare un pique-nique, un parasol, des jouets de sable, sans oublier le cerf-volant. Et on fonce. Attention, vous pourriez y prendre goût. P pour pétanque Il est temps de s'entraîner, car la pétanque fera peut-être son entrée aux Jeux olympiques de Paris en 2024! Certains parcs sont équipés de terrains de pétanque, comme les parcs La Fontaine, Jarry, Laurier, Louis-Riel, Jean-Brillant, Beaubien, Hibernia et Joe-Beef. Il est parfois possible de les réserver sur le site de l'arrondissement de la Ville de Montréal. Q pour quai Le Grand Quai du Port de Montréal a été inauguré officiellement le 3 juin. En plus d'accueillir les navires de croisière, ce quai est composé de la promenade D'Iberville, un vaste toit vert avec une belle terrasse où on trouve plus de 20 000 plantes florales et aromatiques, un lieu très agréable pour profiter de l'été, admirer le fleuve et les majestueux bateaux. R pour rosé Qui dit été, dit rosé! Retenez ce nom Cademusa Terre Siciliane. Karyne Duplessis Piché, chroniqueuse vin, écrit qu'il est LE rosé de l'été. Il coûte 11,45 $, vient de Sicile, est certifié bio, contient 4,8 g de sucre par litre, a des odeurs de pêche et de fleurs blanches, est à capsule à vis... Bref, il est tout simplement parfait. S pour surf Montréal n'est évidemment pas Hawaii, mais on peut tout de même surfer sur les vagues du Saint-Laurent. Le surf urbain, ça se passe derrière Habitat 67, sur la vague à Guy», qui se situe le long du boulevard LaSalle; l'accès se fait depuis le parc des Rapides. KSF propose des cours d'initiation au surf afin d'acquérir les bases de ce merveilleux sport. T pour Terrasses Qui n'aime pas se prélasser sur une belle terrasse? Il y a bien sûr celles sur les toits des hôtels Place d'Armes, Nelligan, William Gray et Renaissance, il y a aussi la vue spectaculaire qu'offre Les Enfants terribles sur le toit de Place Ville Marie, sans oublier celle de la Société des arts technologiques, ou encore celle du Sky. Nouveauté cette année, le Café suspendu situé sur le belvédère Camillien-Houde, où l'on trouve une petite terrasse de bois aménagée, en plus de la vue. Ouvert jusqu'à 22 h. U pour Agriculture urbaine Environ 42 % des Montréalais pratiquent l'agriculture urbaine de différentes façons. Montréal compte aujourd'hui plus de 8500 parcelles réparties dans 97 jardins, 75 jardins collectifs et de nombreuses initiatives privées. Du 20 au 24 août se tient la 10e édition de l'École d'été sur l'agriculture urbaine de Montréal du Laboratoire d'agriculture urbaine AU/LAB, où il sera notamment question de réfléchir sur l'avenir de l'agriculture dans la ville de demain. V pour Village au Pied-du-Courant Le Village au Pied-du-Courant est un parc réinventé au bord du fleuve, mais surtout un parc où la communauté et les citoyens sont à la source d'une belle initiative. Un lieu de rassemblement culturel pour petits et grands, où on propose ateliers, animations, DJ, cantine, projections de films en plein air, BBQ, plage urbaine, yoga, marchés, hamacs. Et tous les jeudis, place au mini-village pour les enfants! W pour wagons La Station F-MR, nouvel espace public sur le bord du canal de Lachine, coin Basin et Richmond, vaut le détour. Quatre vieux wagons de métro ont en effet été aménagés en boutique, galerie et comptoir alimentaire. Plusieurs activités sont aussi prévues spectacles, expos, projections de films, le tout dans un décor unique en son genre. X pour Mile Ex Pour prolonger l'été, le Mile Ex End Montréal propose quatre jours d'événements pendant trois week-ends de septembre sous le viaduc Rosemont-Van Horne. Hubert Lenoir, The Barr Brothers, Tire le Coyote, Virginie Fortin, Stéphane Fallu, Korine Côté et Mehdi Bousaidan sont de la programmation. Le Mile Ex, c'est aussi le bar estival Alexandraplatzbar, où on boit notamment le cocktail Bicicletta» composé de Campari, prosecco, soda et orange. Avis aux amateurs! Il y a des cours de yoga gratuits dans de nombreux parcs pendant tout l'été, il suffit d'apporter son tapis, un peu d'eau, et le tour est joué. Belém Café & Yoga offre des cours de yoga tous les samedis du mois de juillet, de 11 h à midi, au parc du Portugal. Pour Moksha Yoga, ce sera tous les dimanches, de juillet à septembre, au parc des Amériques. Il y a aussi Pop Spirit au parc Baldwin, les lundis à 17 h 30 jusqu'au 13 août, et Les Pélicans de Rosemont au parc du Pélican, les lundis et jeudi à 18 h 30 jusqu'au 7 septembre. En cas de pluie, le cours n'a pas lieu. Z pour Zoofest Envie d'irrévérence? Le Zoofest, qui fête ses 10 ans, est un festival pour adultes avertis, où les humoristes osent et prennent des risques. Au programme Jay Du Temple, Anne-Marie Losique, Louis T, Martin Perizzolo et Rosalie Vaillancourt, pour ne nommer que ceux-là . Photo Bernard Brault, La Presse La pétanque
LAbécédaire de la saison de l'USON A comme Ambiance. 3.000 spectateurs au Pré-Fleuri, du jamais vu ! Et, à quelques rares exceptions près, un public respectueux de l'adversaire et
CONCLUSION CONCLUSION. Voyager dans le centre de la terre, c'est aussi, pour Jules Verne, voyager dans le temps. Et les références ici ne sont pas qu'anecdotiques ou simplement allusives. L'auteur développe ainsi une véritable construction littéraire qui s'appuie fortement sur l'aspect temporel du voyage proprement dit, c'est-à -dire le temps qu'il faut pour descendre, mais aussi sur une deuxième temporalité, celle de l'observation, par couches géologiques interposées, des écosystèmes d'autrefois, maintenant disparus à la surface de la terre, mais encore pérennes dans les entrailles de cette dernière. Cette dualité du voyage est ainsi fascinante, car c'est elle, en partie, qui fait de celui-ci un voyage extraordinaire, au sens vernien du terme. La référence directe à l'écologie humaine, mais si celle-ci n'existe pas encore en tant que telle en cette fin de 19° siècle, est prégnante dans le roman, et c'est l'une des raisons qui est à l'origine de ce modeste mémoire. Néanmoins, nous n'avons pas voulu faire, comme vous l'aurez constaté, une histoire de l'écologie humaine ou encore son épistémologie au travers de l'étude d'un auteur et plus particulièrement de l'un de ses roman. Il s'est juste agi d'utiliser l'approche transdisciplinaire prônée par celle-ci pour entrevoir d'autres aspects de roman de Jules Verne trop souvent analysé comme étant avant tout une forme de voyage initiatique. Certes, nous avons bien affaire à un voyage initiatique, mais pas seulement, et ces différents types de voyages qui caractérisent Voyage au centre de la terre initiatique, dans le temps, etc... sont aussi plus complémentaires que contradictoires. Nous avons choisi de mettre en évidence la dualité de ce roman espace-temps en expliquant et en analysant les nombreuses références géologiques et paléontologiques dont Jules Verne se sert. Certes, il utilise d'autres procédés, comme les références mythologiques, pour accentuer le caractère dual et doublement temporel du voyage, mais ce choix de notre part a été guidé par des connaissances en géologie et en paléontologie beaucoup plus assises et approfondies que celles que nous avons en mythologie grecque et romaine. La transdisciplinarité est un idéal, elle est rarement un état de fait... a fortiori lorsque nous n'avons que 25 ans !!! Ainsi, et à l'inverse d'un mémoire de ou d'une thèse de Doctorat, le plan adopté dans ce mémoire est très largement décousu, le fil directeur étant de montrer à travers différentes perspectives l'aspect dual du voyage, un voyage à la fois dans l'espace et dans le temps, et par conséquent, doublement temporel. De même, nous n'avons pas la prétention d'avoir apporté de la connaissance à la recherche scientifique, nous avons seulement voulu présenter notre point de vue et notre analyse sur ce roman de Jules Verne. Ce faisant, ce modeste travail quantitativement et qualitativement doit être considéré beaucoup plus comme un essai avec l'ambition, là aussi très modeste, d'une approche trandisciplinaire que comme un véritable mémoire de recherche universitaire construit autour d'un plan à vocation démonstrative. Notre objectif n'a pas été de démontrer que nous avons affaire à un voyage dans le temps, mais seulement de montrer cet autre caractère du voyage proposé par l'auteur. Cette volonté et ce constat se manifestent ainsi, comme nous l'avons déjà dit avant, dans l'agencement du plan et dans le choix de ce dernier. Ainsi, la partie correspondant très précisément au titre de ce mémoire ne représente en fait que très peu de pages par rapport à l'ensemble du travail. Car nous avons réellement voulu avoir une approche transdisciplinaire, en montrant différentes facettes de ce voyage. La troisième partie correspond donc à cette volonté, et s'articule pour ce faire autour de plusieurs sous-parties se suffisant chacune à elles- mêmes, mais étant aussi complémentaires, notamment de par leur objectif montrer que ce voyage dans les entrailles du globe est aussi un voyage dans le temps. Enfin, et ceci constitue en quelques sortes l'ouverture de ce travail, il serait intéressant de voir si notre analyse constitue une exception à la règle, à savoir qu'il n'y a que dans ce roman de Jules Verne qu'espace et temps sont autant associés, ou au contraire, comme nous le pensons, que c'est dans l'ensemble des Voyages Extraordinaires que cette association se développe. De même, les nombreuses boucles auxquelles nous avons fait référence dans ce roman, se manifestent-elles aussi avec autant de prégnance dans les autres romans constituant les Voyages Extraordinaires ? Ces mêmes Voyages Extraordinaires doivent-ils aussi être interprétés sous l'angle de la mythologie grecque et romaine ? ; car rappelons-nous Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Joachim du Bellay, 1558
Lhistoire de la pomme de terre commence avec celle des chasseurs-cueilleurs du néolithique ayant vécu il y a plus de 10 000 ans dans la zone côtière de l’actuel Pérou et au sud-ouest de l’Amérique du Sud qui apprennent progressivement à la domestiquer et à traiter ses propriétés toxiques. Il y a 8 000 ans, sur l’altiplano andin dans la région du lac Titicaca, cette
Les montagnes du monde à deux roues Alpes, Andes, Rocheuses, Caucase, Pamirs, Himalaya, j'ai toujours été un grimpeur à deux roues. Pédaler des milliers de kilomètres pour atteindre un massif ne m'effraie pas. Le vélo et la montagne ont fait partie de tous mes voyages, comme si ces deux pratiques n’allaient pas l’une sans l’autre… »Depuis trente ans, Claude Marthaler parcourt le monde sur deux roues. Le vélo est son mode de vie et d’existence, la roue son mode de pensée et d’expression. Il s’intéresse à la bicyclette dans tous ses états, à sa culture sur les cinq continents, au vent des ce livre, le dixième que lui inspirent ses pérégrinations cyclistes, il relate trois voyages où la pente a été plus présente et exigeante que jamais à travers les Pamirs, au Kirghizistan, Tadjikistan, et en Afghanistan ; vers l’Amnye Machen au Tibet oriental ; et tout le long de la Great Divide dans les montagnes Rocheuses, du Canada à la frontière américano-mexicaine. Découvrir un extrait
LAbécédaire. de Thierry Mornet. Nombre de vues : 1 516. Rubrique réalisée par Franck Brénugat, Lionel Gibert et Jean-Marc Saliou. Thierry Mornet commence sa carrière vers la fin des années 1990 comme rédacteur freelance aux Éditions Bethy (collection « Mainstream ») puis aux Éditions Panini ( Incredible Hulk, Kaboom, Marvel Le
Synopsis Géologue de métier, Trevor n'est plus le même depuis que son frère Max a disparu au cours d'une mission de recherche en Islande. Lorsqu'on lui propose de se rendre là -bas, Trevor saute sur l'occasion, espérant découvrir ce qui est arrivé à son frère. Il est sur le point de partir lorsque sean, le fils de Max, débarque. Aidés par une belle guide islandaise, Joanne, Trevor et Sean entament la plus fabuleuse des aventures de leur vie. Dans leur périple vers les profondeurs, ils rencontreront des merveilles extraordinaires et des dangers mortels, des créatures fabuleuses, des océans souterrains, des forêts mangeuses d'hommes et des géantosaures...Existe en version 3D.
Aucontraire, cet Abécédaire de la physique s'adresse au public le plus large. Aux plus jeunes, peut-être. de futurs Einstein, comme aux plus âgés que la résultante des forces. ou les lois
Le célèbre roman de Jules Verne, Voyage au centre de la Terre fait l’objet d’une très belle adaptation dessinée signée Matteo Berton aux éditions La Pastèque. SE PRÉPARER A DESCENDRE AU CENTRE DE LA TERRE Neveu de Otto Lidenbrock – le célèbre professeur et conservateur du musée minéralogique d’Hambourg – Axel décide de suivre les indications d’un parchemin menant au centre de la Terre Descends dans le cratère de Yocul de Sneffels que l’ombre du Scartaris vient caresser avant les calendes de juillet, voyageur audacieux, et tu parviendras au centre de la Terre. Ce que j’ai fait. Arne Saknussemm. » Accompagné de Hans, un chasseur d’eiders, et de son oncle, le jeune homme établit une liste du matériel à emporter thermomètre, boussoles, pelles, pioches, monnaies, chaussures, sacs de couchage, couteau, plumes, encriers, café, poulies, nourriture en conserve, savon, fiole et même carabines, tout est important dans ce style d’expédition. ISLANDE PORTE D’ENTRÉE POUR LE CENTRE DE LA TERRE Les trois hommes et leurs deux chevaux prennent alors la direction du Sneffels en Islande, porte d’entrée pour le centre la Terre. Après 10 jours de marche et 1500 mètres d’ascension, ils arrivent. La neige tombée en grande quantité n’a pas rafraîchit leurs ardeurs. En 10 heures de descente, ils atteignent 840 mètres en sous-sol. Axel et Otto consignent alors tout dans leurs carnets heure, température et direction. Rapidement, ils reprennent leur longue route vers le centre de la Terre, un chemin semé d’embûches… UNE EXCELLENTE ADAPTATION DU VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE Née en 1988, l’auteur italien Matteo Berton n’en n’est pas à son premier essai en tant qu’illustrateur voir son site. Pour ce premier ouvrage de bande dessinée, il s’attaque à l’adaptation du Voyage au centre de la Terre, le célèbre roman de Jules Verne paru en 1864. Considéré comme avant-gardiste et visionnaire, cet écrit marqua de nombreuses générations de chercheurs et scientifiques mais aussi d’amateurs éclairés avides d’aventure, de cryptologie, de paléontologie ou de géologie. A travers 112 pages, Matteo Berton restitue assez fidèlement l’ambiance voulue par Jules Verne entre passion, curiosité, dynamisme mais aussi peur et doute. Déjà adapté auparavant par Patrice Cartier et Edouard Riou en 2009, par Curd Ridel et Frédéric Garcia en 2016 ou par Norihiko Kurazono en 2017, cette version enchante le lecteur par une sublime partie graphique très colorée bleu, marron, noir et blanc en grands aplats qui apporte de la chaleur et un attachement aux personnages. Par cette technique, l’auteur italien renforce les décors majestueux de l’Islande et ses sous-sols. Il dynamise l’intrigue par un découpage fait de gaufrier et de pleine-pages voir celles du matériel, de la muraille du fjord, des cristaux de lumière sur la roche, celle de la coupe géologique de l’Islande souterraine ou encore celle de la végétation immense. Cette aventure fantastique et de science-fiction happe le lectorat par les trois personnages qui se muent en explorateurs, faisant ressortir le côté enfantin du lecteur. Découvrir de nouvelles terres, un fantasme pour de nombreux habitants sur Terre. Voyage au centre de la Terre une adaptation réussie et étonnante visuellement. Matteo Berton un auteur à découvrir et suivre. Article posté le dimanche 31 décembre 2017 par Damien Canteau Voyage au centre de la Terre Auteur Matteo Berton, d’après l’œuvre de Jules Verne Éditeur La Pastèque Prix 21€ Parution 09 novembre 2017 ISBN 9782897770211 Résumé de l’éditeur À la suite de la découverte d’un manuscrit runique ancien par un savant allemand, ce dernier, avec son neveu et leur guide, entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint, le Sneffels. Écrit par Jules Vernes en 1864, ce roman d’aventures est un classique de la littérature, que l’italien Matteo Berton a retranscrit avec talent dans une bande dessinée époustouflante, sur laquelle il a travaillé pendant trois ans. À propos de l'auteur de cet article Damien Canteau Damien Canteau est passionné par la bande dessinée depuis une vingtaine d’années. Après avoir organisé des festivals, fondé des fanzines, écrit de nombreux articles, il est toujours à la recherche de petites merveilles qu’il prend plaisir à vous faire découvrir. Il est aussi membre de l'ACBD Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée. Il est le rédacteur en chef du site Comixtrip. En savoir
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