Dansles yeux de ma mère J'ai vu mille batailles J'ai vu mille prières J'ai vu comme l'aventure Dans les yeux de ma mère A briser des murailles Dépasser des frontières J'ai vu l'amour pur
Paroles de la chanson C'est Ma Mère par Les Poppys Elle a les yeux bleus les cheveux blonds, C'est ma mère Je me sens si bien quand elle prend ma main, C'est ma mère Lalalala Simple, douce et rassurante Elle est toujours là pour moi Elle m'attend lorsque je rentre Je me jette dans ses bras Je sais qu'elle est la plus belle Et si je chante c'est pour elle Comme une fleur dans le jardin Elle éclaire la maison Et même quand elle a du chagrin Elle le cache à sa façon Je sais qu'elle est la plus belle Et si je chante c'est pour elle Lesyeux de ma mère, les yeux de ma mie La voix de ma mère, la voix de ma mie Les mains de ma mère, les mains de ma mie Sont pour moi plus que la vie Oui, mais à force de chercher Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Arno Arnold Hintjens Chanson Les yeux de ma mère Traductions anglais ✕ traduction en anglaisanglais/français A A My mother's eyes My mother, she is somewhat, somewhat dangerous, somewhat of a tease, somewhat of a painShe has killing eyes still I like her hands on my body I like the smell in her armpits, yep, that's how I my mother's eyes there is always a glimmer. In my mother's eyes there is always a glimmer. Love is something I always find in my mother's eyes. In my mother's eyes there is always a mother, she always listens to me when I'm up shit creek. She knows when I'm being a jerk and a wimp, and when I am knock-out loaded. She's the one who knows my feet stink. She's the one who knows how I look naked. As when I get sick, she's the queen of suppositoryIn my mother's eyes there is always a glimmer. In my mother's eyes there is always a glimmer. Love is something I always find in my mother's eyes. In my mother's eyes there is always a mother, she is somewhat, somewhat dangerous, somewhat of a tease, somewhat of a painIn my mother's eyes there is always a glimmer. In my mother's eyes there is always a glimmer. In my mother's eyes... Ajouté en réponse à la demande de Romaint français françaisfrançais Les yeux de ma mère ✕ Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de Les yeux de ma mère » anglais Guest Music Tales Read about music throughout history

Paroles Ma mère, elle a quelque chose Quelque chose d'une dangereuse Quelque chose d'une allumeuse Oh, quelque chose d'une emmerdeuse Elle a des yeux qui tuent Mais j'aime ses mains sur mon corps J'aime l'odeur au-dessous de ses bras Oui, je suis comme ça Dans les yeux de ma mère Il y a toujours une lumière Oh, dans les yeux de ma mère Il y a toujours une

Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans la machine Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans le corps Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans la machine Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans le corps Chaque jour, une nouvelle cascade, j'aurais du demander une doublure Y'a que dans mes cauchemars que je cours plus, j'ai beaucoup moins d'rêves, j'suis beaucoup plus vieux j'suis beaucoup plus vieux Proche de mes démons, j'pourrais presque leur donner des prénoms J'me détruis, j'sais même plus si c'est mal, ma morale et mes désirs s'emmêlent Comme mes idoles préférés, j'ai faim d'scène, faim d'alcool, faim d'gloire, faim d'sexe J'idéalise trop les rockstars, parfois j'ai peur d'vouloir rejoindre le Club des 27 J'viens d'enchaîner seize interviews dans la même journée, j'sais même plus comment je m'appelle Cœur défectueux, je survis sans, aucun rêve ne sera jamais suffisant Si j'ai plus d'étoiles dans les yeux C'est pour mieux voir venir le vide Tu veux savoir comment je vis ? Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans la machine Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans le corps Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans la machine Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans le corps Saut de l'ange dans le système ensemble, on a maquillé la tristesse ensemble On a pris la drogue anti-stress ensemble, toujours mal à l'aise, dans les fêtes, dans les bars C'est pas mieux quand j'm'enferme sans ler-par, j'donne même pas les quelques nouvelles qu'on me demande seul Rideaux noirs dans l'appartement seul, je veux pas voir qu'on est demain seul J'suis devenu fort en psycho en rassurant ma mère dans la cuisine jusqu'à quatre heures quatre heures Elle me parle toujours des mêmes histoires de famille, à force, j'les connais toutes déjà par cœur J'reste comme une personne addict, ce monde est un sauna dis-moi, le suicide me sauvera-t-il ? Je partirai avec la même tête que Kitano dans Sonatine Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans la machine Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans le corps Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans la machine Plus de larmes dans le corps, plus de larmes dans le corps [ Pascale Valentinelli] Quand j'parlais de ma mère ou quand j'disais "Oh c'est bien" et que je racontais des trucs, il m'regardait en faisant "Pfff, t'es vraiment, t'es vraiment bizarre". Du coup, moi, j'ai l'statut, même statut qu'ma mère. Simplement parce que j'l'acceptais, j'étais donc comme elle. Quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un est nécessairement fou. C'est étrange dans cette société hein ? Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Ellea des yeux qui tuent. Mais j'aime ses mains sur mon corps. J'aime l'odeur au-dessous de ses bras. Oui je suis comme ça. Dans les yeux de ma mère. Il y a toujours une lumière. Dans les yeux
Paroles de la chanson Bizet Carmen Acte 1 - Parle-moi de ma mère! par Georges Bizet José Parle-moi de ma mère! Parle-moi de ma mère! Micaela J'apporte de sa part, fidèle messagère, Cette lettre. José regardant la lettre Une lettre. Micaela Et puis un peu d'argent elle lui remet une petite bourse Pour ajouter à votre traitement, Et puis José Et puis? Micaela Et puis?... Vraiment je n'ose, Et puis... Encore une autre chose Qui vaut mieux que l'argent et qui, Pour un bon fils, Aura sans doute plus de prix. José Cette autre chose, quelle est-elle? Parle donc. Micaela Oui, je parlerai; Ce que l'on m'a donné, Je vous le donnerai. Votre mère avec moi sortait de la chapelle, Et c'est alors qu'en m'embrassant, Tu vas, m'a-t-elle dit, t'en aller à la ville La route n'est pas longue, Une fois à Séville, Tu chercheras mon fils, Mon José, mon enfant Et tu lui diras que sa mère Songe nuit et jour à l'absent Qu'elle regrette et qu'elle espère, Qu'elle pardonne et qu'elle attend; Tout cela, n'est-ce pas? Mignonne, De ma part tu le lui diras, Et ce baiser que je te donne De ma part tu le lui rendras. José très ému Un baiser de ma mère? Micaela Un baiser pour son fils. José Un baiser de ma mère? Micaela Un baiser pour son fils! José, je vous le rends, comme je l'ai promis. Micaëla se hausse un peu sur la pointe des pieds et donne à Don José un baiser bien franc, bien maternel. Don José très ému la laisse faire. Il la regarde bien dans les yeux. - Un moment de silence. José continuant de regarder Micaëla Ma mère, je la vois Oui je revois mon village! O souvenirs d'autrefois, Doux souvenirs du pays! Doux souvenirs du pays! O souvenirs chéris! Vous remplissez mon coeur De force et de courage. O souvenirs chéris! Ma mère je la vois, je revois mon village! Micaela Sa mère, il la revoit! Il revoit son village! Ô souvenirs d'autrefois! Souvenirs du pays! Vous remplissez son coeur De force et de courage. O souvenirs chéris! Sa mère il la revoit, il revoit son village! José les yeux fixés sur la manufacture Qui sait de quel démon J'allais être la proie! Même de loin, Ma mère me défend, Et ce baiser qu'elle m'envoie, Ce baiser qu'elle m'envoie Ecarte le péril et sauve son enfant. Micaela Quel démon, quel péril? Je ne comprends pas bien. Que veut dire cela? José Rien! Rien! Parlons de toi, la messagère Tu vas retourner au pays... Micaela Oui, ce soir même, Demain je verrai votre mère. José Tu la verras! Eh bien tu lui diras Que son fils l'aime et la vénère, Et qu'il se repent aujourd'hui. Il veut que là-bas sa mère Soit contente de lui! Tout cela, n'est-ce pas? Mignonne, De ma part, tu le lui diras; Et ce baiser que je te donne, De ma part tu le lui rendras. Il l'embrasse. Micaela Oui, je vous le promets De la part de son fils José, je le rendrai Comme je l'ai promis. José Ma mère, je la vois! etc. Micaela Sa mère, il la revoit! etc.
Trouvezles paroles de Les Yeux de Ma Mère par Arno, et cherchez Arno. Écoutez en ligne et obtenez de nouvelles recommandations, uniquement sur Last.fm
Dans les yeux de ma mèreJ'ai vu comme c'est beauJ'ai vu comme c'est durJ'ai vu comme la vie Dans les yeux de ma mèreÀ dresser des flambeauxRaviver des blessuresDoucement dans la nuitDans les yeux de ma mèreJ'ai vu des arcs-en-cielJ'ai même vu mon pèreJ'ai même vu mon père[Refrain]Dans les yeux de ma mèreJe suis à la rechercheDe la belle inconnueQue je connais si bienDans les yeux de ma mèreJ'ai vu mille bataillesJ'ai vu mille prièresJ'ai vu comme l'aventureDans les yeux de ma mèreA briser des muraillesDépasser des frontièresJ'ai vu l'amour purDans les yeux de ma mèreJe devine son rireIl résonne dans l'airIl résonne dans l'air[Refrain]Dans les yeux de ma mèreToujours à la rechercheDe la belle inconnueQue je connais si bienDans les yeux de ma mèreJ'aimerais me noyerJ'aimerais me loverEt j'aimerais me perdreDans les yeux de ma mèrePour trouver son secretDéceler son coeurEt son âme superbeDans les yeux de ma mèrePlanter à chaque secondeJ'entrevois l'universJ'entrevois l'univers[Refrain]Dans les yeux de ma mèreToujours à la rechercheDe la belle inconnueQue je connais si bienDans les yeux de ma mèreJ'ai vu comme c'est beauJ'ai vu comme c'est durJ'ai vu la vie entière Auteursen relation avec Les yeux de ma mère (4 ressources dans data.bnf.fr) Arrangeur (1) Albert Lasry (1903-1975) Auteur du texte (1) Édith Piaf (1915-1963) Les yeux de ma mère Édith Piaf (1915-1963) Langue : Français Catégorie de l'œuvre : Œuvres musicales Date : 1948 Note : Paroles d'Édith Piaf Notice de regroupement : Non Data 1/2 data.bnf.fr. Compositeur (1) Édith "Qu'est-ce qu'on fait quand le bateau coule? Dites-moi, parce que moi je ne sais pas, et il coule!" L'EHPAD de la Ville de Paris Etablissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes où vivait ma mère est à la dérive. Fluctuat nec mergitur? "Qu'est-ce qu'on fait quand le bateau coule? Dites-moi, parce que moi je ne sais pas, et il coule!" L'EHPAD de la Ville de Paris Etablissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes où vivait ma mère est à la dérive. Je pense au Concordia, à ses passagers affolés sur le pont tandis que le capitaine s'éloigne dans le canot de sauvetage. Toutes proportions gardées. Je pense à ma mère fermant les yeux sous la caresse du soleil après m'avoir répondu "Ça va.... A part ça, ici, c'est l'enfer". Toutes proportions gardées. Que faire sinon alerter les autorités compétentes? Le Défenseur des droits, l'Agence régionale pour la santé, le Centre d'action sociale, la Mairie de Paris, le Ministère de la santé... la famille, les amis, les collègues... témoigner, tweeter, bloguer... Que faire quand la nouvelle Direction hérite, dit-on, d'un trou de euros 5 millions pour l'ensemble des 15 EHPAD qu'il s'agit de résorber? Quand une pétition pour alerter sur le manque de personnel médical et soignant se perd dans les couloirs ou sous une pile de dossiers? Quand le personnel en vient à faire grève pour manque d'effectifs? Le vernis craque de toutes parts, les détails sordides sautent aux yeux des habitués qui n'ont pas renoncé à accompagner leur parent, jour après jour, heure après heure, dans cette fin de vie qu'ils n'ont pas voulue pour eux, que personne ne voudrait pour soi. Je repense à ce médecin référent qui s'obstinait à garder la main sur sa patiente jusqu'à l'absurde, jusqu'à proposer une énième prise de sang alors que la malheureuse errait déjà à demi dans un entre-temps inconnu des bons vivants? Je repense à ce dîner lorsque, gavée d'un bol de potage et d'un yaourt dans les dix minutes réglementaires, la mixture blanche et verte dans sa bouche qui n'avait pas le temps de se refermer avait fini par l'étouffer et provoquer une quinte de toux impressionnante soulignée par le sourire perfide de l'aide-soignante... Mais quoi, vous pouvez avaler un repas en dix minutes, vous? Je repense aussi à cette aide-soignante pleine d'humanité qui, au risque d'être mise au ban par ses collègues, m'avait permis de l'assister, d'apprendre quelques bons gestes, comme placer les bras sous les genoux pliés pour ne pas lui démantibuler les épaules en la remontant sur ses oreillers. Ma mère disait "Bon. Elles font ce qu'elles ont à faire avec les vieux, c'est tout". Depuis longtemps elle quittait son corps et les humiliations qui y étaient attachées pendant le "change" car, oui, on vous inflige le port de couches même si vous n'êtes pas incontinent, parce qu'il n'y a pas de personnel pour vous accompagner aux toilettes, alors tant pis pour la souffrance d'avoir à s'obliger d'uriner sur soi quand votre bonne éducation vous l'interdit, tant pis si les "changes" sont passés de trois à deux par jour, tant pis si vous devez supporter l'odeur de vos excréments et la grimace de l'intérimaire qui vous change. C'en est fini aujourd'hui pour elle de toutes ces misères, elle a largué les amarres, en douceur grâce à un médecin qui a eu un diagnostic pertinent et une écoute attentive. Mais je pense à ceux qui continuent de subir le joug des prescripteurs de neuroleptiques à outrance, les grands ordonnateurs des chutes à répétition, des coquards mystérieux, des hématomes à longueur de bras et de jambes pour qui tout va bien jusqu'au moment de l'envoi aux urgences. Pour son départ, pas de répit. L'aide-soignante du jour, stupide jusqu'au bout, n'a même pas cherché dans l'armoire les vêtements préparés et clairement signalés pour qu'elle fasse l'éternel voyage dans une tenue mieux que décente. Et l'équipe venue chercher son corps, dans sa rudesse habituelle, n'a même pas eu la délicatesse de se retirer le temps d'une ultime intimité. Pressés. Pressés de refaire tandem avec la collègue abandonnée à sa charge de travail? Précédé par une aide-soignante qui ouvrait la voie vers l'ascenseur avec des gestes d'indien lancé sur un jeu de pistes, pour escamoter le brancard à la vue des résidents, le corps de ma mère enveloppé dans un drap blanc a disparu soudain à l'angle du couloir. Le personnel soignant est en première ligne sur le terrain pour accompagner la vie quotidienne des personnes âgées. Non seulement, pour la plupart, il n'est pas apte à prendre soin de personnes adultes en difficulté, mais il n'a pas d'empathie, pas de bon sens, il est usé par la fatigue, il travaille dans l'urgence au risque de se blesser comme en témoignent les minerves au cou, les corsets sur les lombaires, les boiteries... Comment assumer l'accompagnement de 28 personnes âgées, dont beaucoup en lourde dépendance, notamment dans les Unités de vie protégée, avec deux personnes seulement? Que reste-t-il quand on est dépouillé de tout, de sa vie, de ses habitudes, de ses plaisirs, de sa liberté? Sinon l'attente d'un sourire, d'un "bonjour !", un regard franc et direct, un encouragement, un compliment, une jolie coiffure, des ongles nets, un vêtement bien choisi, bien rangé dans l'armoire, correctement plié sur l'étagère, une occupation... "Qu'est-ce que je pourrais bien faire pour ne pas m'ennuyer?", demandait ma mère, alors que sa vue baissait et qu'elle ne pouvait plus lire. Il faut pour accomplir tous ces actes de la vie quotidienne un minimum de personnes en chair et en os, en tête et en cœur et non pas un quota ni un pourcentage de titulaire, remplaçant, stagiaire plus ou moins bien formé, interchangeable sans discernement, trop jeune pour comprendre le vécu et le ressenti d'une personne âgée, trop endurci pour savoir réagir au traumatisme qu'est l'entrée dans une Unité pour personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Les aides-soignants sont laissés à l'abandon, le service est leur territoire, ils y appliquent leurs propres lois. Ils se débrouillent pour accomplir leur tâche pour l'essentiel et tant pis pour le reste. Les familles qui s'impliquent, les soulagent d'une partie de leur travail, ne sont pas à leurs yeux des alliées naturelles mais des empêcheuses de cacher en rond. Le personnel craint les critiques, les résidents ont peur de la maltraitance, les familles rebelles sont minées par les confrontations. Madame la Maire de Paris, Madame la Ministre de la santé, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés qui parlez en notre nom au sein de l'Assemblée nationale, n'avez-vous pas un père, une mère, à qui vous voulez épargner cette misère? Le "Modern Express" menaçait de s'échouer sur la côte landaise. Une opération de remorquage a été tentée. Allez-vous laisser la Direction des établissements et quelques personnes dévouées écoper jusqu'à épuisement ou bien allez- vous entendre enfin toute cette souffrance devenue presque muette, celle des abandonnés, des laissés pour compte? Les vieux, les vieillards, tous ceux qui les accompagnent, doivent-ils supporter le coût des restrictions budgétaires au-delà du "raisonnable"? Nec mergitur ? En êtes-vous sûr ? . 425 238 794 555 254 118 138 202

parole dans les yeux de ma mère