Ledeal à ne pas rater : [CDAV]PC Gamer – ACER Predator + Clavier & Souris (i5-11400F – 1224.49 € 1449.99 € Voir le deal pas comme prévu :(4 participants. Eau douce :: Poissons et Maladies Une histoire d’amour, c’est d’abord de la réciprocité et du consentement. Mais aussi, parfois, une question de timing… et dans ces cas-là, il vaut mieux bien se connaître soi-même. Publié le 18 septembre 2015 Il y a trois mois, j’ai eu un crush pour un garçon. Ce garçon qui m’a mis des papillons dans le ventre Ce genre de crush à la con où t’es pas VRAIMENT amoureuse, mais en même temps tu souris un peu bêtement quand tu tombes sur une selfie de qualité, t’y penses avant de t’endormir et au réveil, tu joues avec l’idée sans trop te l’avouer… Bref un bon vieux béguin des familles. J’ai toujours trouvé ça plutôt agréable, et puis ça ne m’était pas arrivé depuis trois ans, ça me faisait plaisir de retrouver les papillons dans le bide et les joues qui rougissent. En même temps, il est féministe, il a des fossettes, des tatouages et des chats cons, j’étais censée résister comment, moi ? Mon crush vue d’artiste. Du coup on va l’appeler Sam pour conserver son anonymat. Les débuts compliqués d’une relation amoureuse Au début, je voulais pas tenter le coup. La situation avait 9 chances sur 10 de capoter tellement le timing était pourri quand j’ai rencontré Sam, en début d’année, il était en couple — du genre monogame, solide et longue durée. Loin de moi toute idée de chafouinage donc. Mais PILE au moment où j’ai bouclé mes valises pour quitter la ville où on habitait tous les deux, son couple est tombé à l’eau. Je vous jure j’ai reçu un SMS c’est fini avec ma copine » au moment où la voiture de mes parents m’emmenait loin de mon ancien appartement enfin vidé, prêt pour l’état des lieux de sortie. Bravo le veau. Donc déjà la distance. Facteur de foirage numéro 1. Je me suis barrée à 700 kilomètres de là et j’ai eu la bonne idée de développer ce crush pour Sam. Qui était, certes, célibataire… mais aussi et surtout à peine sorti d’une relation de plusieurs années, fusionnelle, importante. Pas vraiment l’état d’esprit idéal pour se mettre en couple même si je suis dans la team relation libre. Le timing. Facteur de foirage numéro 2. Enfin et surtout, j’avais un crush pour Sam… mais il ne semblait pas être réciproque. Il ne me repoussait pas, mais ne venait pas me chercher non plus. C’est très vite devenu clair si je voulais qu’on arrive à quelque chose, il fallait que je prenne les devants, que je me sorte les doigts, que j’exprime ce que je ressentais, et plein d’autres trucs que je ne suis pas du tout habituée à faire. J’ai failli renoncer. Failli. Comment ose faire le premier pas ? Comme je brise menu les gonades de mon entourage dès que j’ai un crush, vu que j’en parle environ 27h/24, une amie a fini par me dire Écoute, t’as quoi à perdre ? Tu le connais depuis genre trois mois. Drague-le, vas-y, au pire du pire il te dira non, mais vous resterez probablement potes ! Et quand bien même il voudrait pas rester ton pote, bah tu t’en fous, c’est pas comme si c’était ton meilleur ami depuis que t’as enlevé les petites roues du vélo. » Ok. Ok ok ok ! Ouais ! Ouais, on est en 2015, je vais pas attendre au bar en faisant des regards par en-dessous, je vais aller DRAGUER un mec que j’aime bien, eh ouais ma gueule, je prends en main mon destin, j’ai bien écouté Shia Labeouf, je suis chaude ! Words of wisdom. Attendez. Je… comment on drague un mec, au fait ? Aucune idée. Mon amie m’a dit d’y aller franco, mais encore faut-il avoir la moindre notion de quoi faire. J’ai donc développé une technique extrêmement habile non que j’appellerai balance des compliments comme si t’étais William Carnimolla et propose-lui une soirée pyjama mais en vrai tu veux pas du tout finir en pyjama clin d’œil clin d’œil ». Je déconne pas, j’ai très exactement eu cet échange — Salut Sam tu te souviens quand tu m’as dit que t’es pas habitué à la drague ? — Ouais et ? — Là je te drague en fait je sais pas si tu sais ? — Oui je m’en doutais ! — Ok cool on fait quoi ? — Je sais pas trop, c’est plutôt agréable mais je suis pas sûr de savoir où j’en suis dans ma vie là. — Chouette, je repasse dans ta ville la semaine prochaine, on se fait une soirée pyjama genre j’te jure j’amène un pyjama pour de vrai c’est pas un piège ? — Ça roule. J’ai amené mon short Snoopy et mon t-shirt Bugs Bunny. Vous savez pourquoi ? Parce que le consentement c’est important et que je vais pas me foutre à poil chez un mec s’il s’avère qu’il en a pas super envie. Il se trouve qu’il en a eu envie, qu’il est fort en bisous dans le cou et qu’on a pas beaucoup dormi. Et qu’il passait de son côté à Paris peu après, ce qui nous a permis d’avoir un chouette week-end bonus à la capitale. On était pas trop mal partis. Mais bien sûr qu’il y a un mais ». Quand l’amour n’est pas aussi intense C’est devenu très clair très vite j’étais vachement plus à fond sur Sam que lui ne l’était sur moi. Je prenais toujours l’initiative de lui écrire, de m’ouvrir à lui, d’alimenter notre relation. De son côté, non seulement il ne faisait que » suivre, mais en plus il suivait… en traînant un peu des pieds. Conseil d’amie ne soyez jamais la Lavande Brown de votre relation. C’est chiant. Première petite victoire j’ai identifié ça super vite, et surtout, je lui en ai parlé. Moi, avec tout mon passif de couples pourris desquels je n’arrivais pas à me sortir faute de savoir communiquer ! J’ai mis sur la table, volontairement, un sujet délicat, qui nécessitait que je sorte un peu mes tripes ! J’ai grandi, dites. Évidemment, ça a donné un truc du genre Alors voilà en fait bon euh je t’aime bien genre beaucoup genre plus que prévu et je pense plus que toi tu m’aimes donc euh c’est pas super facile à gérer parce que bon, ben, voilà, je t’aime bien quoi, mais je vois que toi moins même si un peu malgré tout, et alors, haha, où j’en étais, je sais pas ce qu’on fait par rapport à ça mais je pense qu’on devrait en parler parce que voilà, bon, je sais pas ce que t’en penses toi, j’aimerais bien qu’on essaie genre vraiment un peu par exemple qu’on se prévoie des week-ends par-ci par-là ou des trucs comme ça mais je sais pas si toi t’as envie après voilà si t’as pas envie c’est pas grave. On apprend pas à marcher en un jour. Verdict de Sam je me doutais qu’on allait en parler » mais pour que ce soit lui qui aborde le sujet, laisse tomber je peux toujours me brosser pardon je m’égare, mais je peux rien te promettre, je sais pas où j’en suis je sais juste que j’aime bien passer du temps avec toi ». Allons bon. Que demander de plus à la vie, finalement ? Ok Sam. On tente le coup. Je t’aime, moi… » non On en était là. Cet article est si long pour si peu de choses concrètes à raconter, dites donc ! On en était à avoir passé une nuit et un week-end ensemble, fort agréables au demeurant. On s’écrivait un peu tous les jours, c’était les vacances, quand l’un revient l’autre se tire difficile de se voir. Et puis on était deux mois quasiment tout pile après la dernière fois où on s’était vus, et rien. Aucun plan. Aucune invitation. Aucune proposition. J’en ai eu marre d’attendre j’avais pris les devants au début de l’été, je pouvais le refaire ! — Hey Sam j’en ai marre de pas te voir, ça te dit que je vienne passer le week-end du 12 chez toi ? — Alors bon tu peux mais je suis libre environ 3h24 sur tout le week-end désolé. — Bah du coup non je vais pas venir. J’avais le seum. Le seum intergalactique. J’étais triste de voir qu’il n’avait pas envie de me voir, triste de savoir que j’aurais dû m’en douter, triste qu’il ne prenne pas l’initiative de me dire en fait je vais jamais t’aimer comme tu m’aimes », triste de me rendre compte que j’étais pas assez forte pour arrêter d’être amoureuse juste en le décidant. Triste que ça doive se finir comme ça et que ce soit à moi de m’y coller. J’ai passé une semaine à me morfondre. Et puis je m’y suis collée. Goodbye my lover goodbye my friend Oui j’écoute du James Blunt, j’ai le droit non ? C’est approuvé par la Convention de Genève du seum. Je suiiiiis si creux bébé je suiiiiiis si creux À la base, je voulais attendre de voir Sam on a prévu un truc incompressible dans un mois, histoire de voler encore quelques heures de bonheur à l’inéluctable. Mais c’était trop loin. J’ai hésité à l’appeler, mais je suis nulle au téléphone, je bafouille, je perds mes mots, je pleure trop facilement, et puis on ne s’est quasiment jamais appelés, ça aurait été bizarre. Alors j’ai fait ce que je sais faire de mieux je lui ai écrit. Je lui ai écrit un long mail avec mes angoisses, mes doutes et ma peine dedans, ma tristesse de me rendre compte que ça ne marchait pas, mon besoin d’avoir une réponse claire pour arrêter d’espérer en vain. Je vais pas vous mentir, Sam a louvoyé un peu j’ai bizarrement jamais de crush sur des garçons courageux, mais il a fini par me répondre, par dire que si j’allais aussi mal, il fallait qu’on arrête, parce qu’il ne pouvait pas forcer les choses. Ne voulait pas, surtout. C’était fini. J’ai fait une bien belle crise de larmes de cinq heures. J’ai fait le deuil de tous les trucs que j’avais imaginés, de tous les moments que je m’étais représentés, de toutes les idées que j’avais eues et qui auraient pu être tellement cool. J’ai viré Sam de tous mes réseaux pour ne pas me prendre une paire de fossettes sur le coin de la gueule sans y être préparée. C’était fini alors que ça n’avait jamais vraiment commencé. Je ne regrette pas d’avoir agi C’était il y a dix jours. Je vais pas encore extrêmement bien. J’ai toujours du mal à m’endormir, je renifle discrétos quand personne ne me regarde, j’ai aucune idée de comment ça va se passer quand je vais revoir Sam dans un mois, mais globalement, ça va de mieux en mieux. Ça cicatrise. Je suis bien entourée. Bien occupée, aussi. Et vous savez quoi ? Je suis fière de moi. Après des années passées à étouffer ce que je ressentais, après des mois à pleurer dans mon oreiller parce que je me faisais mener en bateau par des mecs incapables de savoir ce qu’ils voulaient, j’ai réussi à grandir. Il ne m’aura fallu qu’une petite semaine de déprime pour me remuer et aller directement exiger la seule chose capable d’améliorer ma situation une certitude. C’était pas facile d’échanger une situation connue contre le risque qui s’est d’ailleurs confirmé de me prendre un vent monumental. Ça fait pas plaisir de s’entendre dire on arrête » alors qu’on espère plutôt on va trouver une solution pour que ça marche ». Mais ça fait du bien de me rendre compte que je peux désormais être en charge de ma vie, plutôt que de trottiner désespérément derrière un mec en attendant qu’il prenne une décision. À lire aussi Comment j’ai compris que je valais quelque chose et pourquoi ça m’a pris des années J’entasse les mouchoirs froissés et les longs soupirs, je passe mes journées emmitouflée dans un hoodie et j’oublie un peu trop souvent de manger, mais je suis fière. Parce que j’ai choisi ça, j’ai choisi ce risque, parce que je suis assez costaud pour survivre à ça, pour arriver, déjà, à en rire. Je suis plus faible que ce que j’imaginais, d’où la crise de larmes de cinq heures, mais c’est pas grave de pleurer. Ce qui aurait été grave c’est de ne rien dire, de ne rien faire, comme si ce que je ressentais n’avait aucune espèce d’importance. Les leçons à tirer de cette rupture Si vous vous reconnaissez là-dedans, j’espère que vous trouverez la force de prendre le gouvernail. Parce qu’en vrai, cette personne qui vous fait languir que ce soit dans un contexte romantique ou non, qui met votre vie en stand-by, elle ne contrôle pas votre vie elle contrôle la sienne, et c’est déjà beaucoup. Il n’y a que vous qui puissiez tenir la barre, le bon cap, celui qui vous mènera vers une existence épanouie. On dit qu’il vaut mieux être seule que mal accompagnée, mais vous êtes toujours en bonne compagnie la vôtre. Le reste, c’est du bonus. Vous êtes votre propre personne, seule maîtrequosse à bord, capitaine jusqu’au bout du voyage, alors ne vous laissez pas porter par les courants au hasard. Souquez les artémuses, et si une tornade Sam passe sur votre chemin, ne vous inquiétez pas elle fera des nœuds dans les cordages et deux-trois trous dans les voiles, mais quelques réparations plus tard, vous serez toujours à flot ! Témoignez sur Madmoizelle ! Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à [email protected] On a hâte de vous lire !
Pasun juge pas un avocat pas un citoyen rien rien rien. Je ne suis plus burkinabe il n’y a plus de burkina faso nous venons d’assister l’assassinat de tout un peuple. Pire encore plus que le 15 oct 87 avec l’assassinat de sankara et 12 camarades. Qu’est ce qui encore laver cette honte ? Ça ne peut rester comme ça, jamais !
Au Brésil, à Mandirituba, le célèbre Monster Truck “Monstro Of Road” a tenté de traverser une rivière avec des passagers à bord et vous allez le voir, les choses ont plutôt mal tourné. Sur une musique parfaitement adéquate la bande-son de Titanic, le “Monstro Of Road” s’est élancé dans ce point d’eau en espérant ressortir sur l’autre rive. Seulement voilà, cela ne s’est pas du tout passé comme l’imaginait le conducteur. Et on ne va pas se mentir, il fallait s’en douter. Car oui, même si nous ne remettons absolument pas en cause les qualités tout-terrains de ce Monster Truck, il fallait bien prévoir que ce dernier ne résisterait pas sous tout ce poids et dans une eau aussi profonde. Résultat, le poids lourd a lentement sombré avant de rester coincé au milieu de l’eau, complètement coincé. La scène nous rappelle alors à une mauvaise parodie du chef d’œuvre de James Cameron avec Leonardo DiCaprio et Kate Winslet en rôles principaux… Un monster truck traverse un point d’eau avec de nombreux passagers – Web Zapping Un moteur noyé, un ! En descendant trop profondément dans ce point d’eau, le Monster Truck s’est tout simplement noyé. Eh oui, son moteur s’est retrouvé sous l’eau et impossible de fonctionner comme cela. Résultat, tous les passagers ont dû repartir à la nage et ça n’a vraiment pas dû être un plaisir. En tous cas, ils peuvent remercier les génies qui ont eu cette idée. Lire aussi sur Il se fait passer pour un basketteur professionnel et vole une Audi R8 VIDEO – Comment se garer avec style … ou pas À près de 350 km/h sur l’autoroute allemande, il fend l’air dans sa Bentley Continental GT Speed !
Maiscomme tu dis, pour les autres, c’était pas pareil, on a vu des nanas pleurer dans les couloir du Terminal, on imagine qu’elles avaient vraiment « besoin » de prendre cet avion! D’autant qu’on ne nous proposait pas vraiment de solutions, qu’il y avait des milliers de gens bloqués comme nous, et que les comptoirs de British ont, malgré tout, fermés à 16h!! l'essentiel Les retraites doivent augmenter de 4 %. Cette hausse devait figurer sur les pensions payées le 9 août mais ça ne sera finalement pas le cas. La Dépêche vous explique pourquoi. Mauvaise nouvelle au cœur de l'été pour les 15 millions de retraités du privé. Leurs pensions devaient augmenter de 4 % lors du paiement du mardi 9 août comme l'avait promis Emmanuel Macron. Ça ne sera finalement pas le cas. Le paiement d'août sera identique à juillet. "Cette revalorisation des retraites s'appliquera à partir de votre retraite du mois de juillet, mais n'interviendra pas sur le paiement du 9 août", prévient l'Assurance retraite sur son site internet. Du retard à l'Assemblée nationale La hausse de 4 % des pensions a bien été votée par l'Assemblée nationale et le Sénat dans le cadre des mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat. Mais le processus législatif a duré plus longtemps que prévu. La loi n'a pas pu être promulguée à temps pour que la Caisse nationale d'assurance vieillesse ait le temps de refaire ses calculs et modifie les virements envoyés aux 15 millions de retraités. Pour une pension de retraite de 1200 euros mensuels, la hausse va représenter une hausse de 45 euros par mois. Un versement rétroactif Malgré ce retard, les retraités du public et du privé ne seront pas perdants. La revalorisation votée est rétroactive au 1er juillet 2022. Les 4 % dus au titre des retraites de juillet, qui auraient dû être versés mardi 9 août, ne sont pas perdus. La revalorisation devrait apparaître sur le versement du 9 septembre. Cette revalorisation ne concerne que la pension de retraite de base. Les ex-salariés du secteur privé, rattachés au régime de l'Agirc-Arrco, devront attendre le mois de novembre pour savoir si leur retraite complémentaire sera ou non revalorisée. Nouvelle hausse en janvier 2023 ? Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a déjà indiqué qu'en raison du niveau de l'inflation actuel et à venir à la rentrée, les pensions de retraite pourraient de nouveau être revalorisées le 1er janvier 2023. Patricket Agna ne sont pourtant pas surpris: ça fait des semaines que leur fils n’est plus le même. Depuis son passage d’Anderlecht au FC Malines, tout a
Le coureur de l'équipe B&B Hotels-KTM participe à son premier Grand Tour sur le Tour de France 2022 et souffre de la chaleur, surtout quand les pourcentages s'élèvent sur la route qui mène à qu'il craignait de ne pas arriver dans les délais lors des étapes alpestres, Jérémy Lecroq est toujours engagé sur la route du Tour de France 2022, à l'aube de la troisième et dernière semaine, mardi 19 juillet. Le sprinteur de l'équipe B&B Hotels-KTM revient sur ces étapes de montagne, peu réjouissantes, et se prépare à affronter de nouveaux forts pourcentages dans les Pyrénées, où le peloton va devoir composer avec la chaleur. > L'épisode 1 du carnet de bord de Jérémy Lecroq de la rampe de lancement à Copenhague au retour sur les routes françaises > L'épisode 2 du carnet de bord de Jérémy Lecroq à l’approche des cols et avec la peur de l’inconnu, le plus dur commence "Dans l'ensemble, j'ai réussi à bien gérer ces montagnes. Ça n'a pas été facile, j'ai dû me battre, mais ça s'est passé correctement. J'ai réussi à rallier l'arrivée dans les délais à chaque fois, et c'était le plus important. Je termine quand même dans les derniers de chaque étape, mais ça reste la montagne, je ne prends pas de plaisir. Le col où j'ai eu le plus de mal, c'est la Croix-de-Fer. Il n'a vraiment pas été drôle celui-là. J'ai eu un coup de chaud d'entrée de jeu, donc le col m'a paru très très long ensuite. J'ai réussi à être dans le gruppetto avec Caleb Ewan, Dylan Groenewegen et leurs coéquipiers, donc je n'étais pas inquiet pour les délais. Après il a fallu monter l'Alpe d'Huez, je suis monté à mon rythme". "L'Alpe d'Huez, je n'aimerais pas le refaire. Il y a vraiment une ambiance de folie mais ça fait vraiment, vraiment, beaucoup de monde. Ceux qui sont 'large' pour les délais peuvent en profiter, mais ce n'était pas mon cas. J'étais dans l'esprit de rallier l'arrivée, donc ce n'était pas très drôle comme montée. Et finalement, c'est le public qui décide de la route que l'on emprunte, tellement il y a de monde. S'ils veulent que je fasse plus de virages qu'il n'y en a, et bien je fais plus de virages. J'ai reçu de l'eau ou d'autres choses, on ne sait pas ce que c'est. Il y a des endroits dans la montée où ça ne sentait pas l'air frais de la montagne". "Entre Le Bourg-d'Oisans et Saint-Etienne, je me suis retrouvé dans l'échappée, ma première sur le Tour de France. Ce n'était pas trop prévu. J'ai voulu aider Alexis Gougeard pour qu'il puisse être à l'avant, et quand je me suis retourné, il n'était plus là. Je me suis dit que j'allais continuer, qu'on verrait bien ce qu'il allait se passer. Mais finalement beaucoup de monde était intéressé par l'échappée donc ça n'a pas duré très longtemps. Moi, de toute façon, je n'étais pas très bien ce jour-là, donc il n'y a pas de regret de ne pas avoir été dans la bonne échappée". "En course, je n'avais jamais connu une telle chaleur sur le vélo. C'est vraiment insupportable, mais on doit faire avec. Entre coéquipiers, on essaye de s'entraider, d'aller chercher des bidons, que ce ne soit pas toujours les mêmes. Avec la vitesse à laquelle ça roule, et un parcours pas simple, on essaye d'y aller à tour de rôle. Ça fatigue beaucoup plus l'organisme, surtout en fin de deuxième semaine de Tour où il y a aussi de l'usure mentale. Quand on boit un coup, au bout de trente secondes on a encore soif donc c'est vraiment difficile. J'ai dû vider 12 ou 13 bidons et le premier réflexe en arrivant au bus c'est d'aller prendre une douche froide. Et dès mon arrivée à l'hôtel, je vais directement à la cryothérapie." "Dimanche, il y a eu un peu de déception de ne pas avoir pu participer au sprint. Il y avait beaucoup de fatigue, en plus de la chaleur, donc ça n'a pas aidé. Dans le dernier col, ils ont monté très vite, j'ai tenté de m'accrocher mais ça faisait cocotte-minute sous le casque et je n'ai pas pu suivre. Coup de chaud". "On est toujours au complet après trois semaines, depuis le départ pour le Danemark, il n'y a pas tant d'équipes où c'est toujours le cas. Dans l'ensemble, tout le monde s'entend bien. On se connaît depuis un moment, on est mis en chambre avec le coureur avec qui on a le plus d'habitudes. Moi je suis avec Cyril Lemoine, on court les classiques flandriennes ensemble, on a fait des stages ensemble. On en rigole parce que je suis l'un des plus jeunes de l'équipe, et lui est le plus vieux. On s'entend vraiment très bien donc ça se passe très naturellement. On a le même rythme, on est des couche-tard et des lève-tard. Ce matin [lundi], on s'est levés à 10h30. Ensuite on a fait 50 minutes de vélo, uniquement tous les deux. C'est au bon vouloir de chacun et c'était amplement suffisant avec la chaleur. Puis je suis allé chez le coiffeur pour libérer la cafetière parce qu'il fait très chaud. Ensuite j'ai enchaîné avec les soins ostéopathie, podologue et massage". "Avant d'aborder les Pyrénées, j'ai peur. Ce sont des cols vraiment durs, complètement différents des Alpes, moins réguliers, en plus il va faire chaud. Puis on a lu que Pogacar avait toujours envie de renverser le général, donc il faut s'attendre à ce que ça soit très intense. Ça risque d'aller vite, et les délais ne vont pas être très larges. Je pense que l'étape Lourdes-Hautacam sera la plus dure, avec le col d'Aubisque. Je ne suis pas non plus au fond du gouffre, les sensations sont plutôt bonnes, donc on verra. Je prends les étapes les unes après les autres. L'objectif, encore une fois, c'est d'être dans les délais pour arriver à Paris et pouvoir sprinter sur les Champs-Elysées."
Cen’était pas prévu comme ça ! (Jour 7) Cette nuit, notre grande a vomi. Ce matin, c'était au tour de la petite ! Du coup, tout le monde ne se sent pas très bien et la nuit a été un peu chahutée. Pourtant, la journée d ’ aujourd'hui avait bien commencé hier (!), avec un message de ma collègue doyenne administrative nouvellement nommée pour planifier notre collaboration ces
Le Deal du moment Cartes Pokémon sortie d’un nouveau ... Voir le deal Union Life Hors-Jeu! Les Archives Minis-RPPartagez AuteurMessageInvité* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitéSujet Ça, c'était pas vraiment prévu [le disjoncté] Lun 20 Sep - 1159 Depuis le tremblement de terre, tout à l'hôtel ne semblait pas avoir repris un état normal, surtout les gens, surtout Jason. Imaginez la personne que vous cotôyez chaque jour ayant une sale réputation, pas celle de tombeur mais bien celle de pute, qui devient soudainement pas nécessairement chaste, juste très peu actif sexuellement parlant. Physiquement au contraire, Jason avait déjà changé beaucoup d'apparence, ses cheveux en bataille lui arrivaient dans les yeux, ils étaient très légèrement peignés, seulement pour dire qu'ils ne sont pas mêlés, il s'habillait différemment, comme s'il essayait un nouveau style chaque jour puis, le gros changement, il était plus musclé, assez pour que cela faisait maintenant plus d'un mois que le Badley ne sortait plus vraiment de sa chambre et y laissait entrer que quelques personnes. Viktor était le premier à être venu le voir, le premier à être intéressant plutôt. James était lui aussi venu plusieurs fois, mais plus de la moitié des fois, il ne lui avait pas ouvert, à en laisser croire qu'il avait quitté l'hôtel. Il lui avait malheureusement répondu dernièrement, détruisant tout espoir qu'on le laisse tranquille. Comment était-ce possible d'apprécier quelqu'un à ce point, et le détester à la fois sans en perdre complètement la raison? Peut-être qu'au fond, il l'avait perdu, peut-être qu'il n'était bon que pour l'hôpital psychiatrique lui était habillé très simplement, un chandail noir avec un quelconque message dessus, une marque probablement, et un jeans plutôt délavé, des baskets presque trop grandes, blanches et naturellement, d'immenses lunettes de soleil. C'était le genre distinctif de Jason Badley qui, malgré son changement constant de style, arrivait constamment à lui coller à la peau. Il fallait toujours quelque chose d'exagéré chez lui et je ne parle pas de son attitude excessivement adorable. Le union square était de ces endroits aggréables à visiter les jeudis après-midis, tout comme ce l'était en ce même moment. Peut-être que de dépenser plein d'argent comme il le faisait l'aidait à fuir la réalité, mais ça en devenait compulsif. Il avait passé les trois derniers jours dans ce coin de la map à dépenser, encore et encore, jusqu'à en vider presque son compte en banque, mais il s'en fichait puisque tant qu'il magasinait, il ne pensait pas à... bon bravo ein, il y pense maintenant...Aujourd'hui, il avait fait le tour des marchés aux puces, s'étant procuré de quoi se détendre les pouces de temps à autres, une Xbox 360. Allez savoir pourquoi il s'était procuré cela, il ne jouerait qu'une fois ou deux. Au moins, il pourrait la revendre en utilisant son pouvoir pour se faire une bon 150$ et plus de profits. Ça avait ça de sourire ne faisait plus particulièrement partie de sa vie depuis plusieurs mois, encore moins depuis quelques semaines et il s'en fichait éperdument. Viktor s'inquiétait pour lui et il s'en fichait éperdument. Sara s'inquiétait peut-être elle aussi et il s'en fichait éperdument. James s'inquiétait probablement lui aussi et... il.. s'en fichait... éperdument... .... Ouin..Une présence le ralluma soudainement, le réveilla de son étât de satellite dans lequel il se trouvait. Il ne comprit pas pourquoi, mais le simple fait que cette présence soit là le dérangea profondément. Ce n'est pas parce qu'il l'avait vu et au contraire, il savait que la personne se trouvait derrière lui et lui était inconnue, mais c'est comme s'il sentait qu'une connexion importante s'était créer d'un seul coup entre lui et l'inconnu. Soudainement, il sentit la terre arrêter de bouger ou presque, tout le monde autour ralentir leurs mouvements à une vitesse impossible pour l'être humain, le son disparut tranquillement pour laisser place à un son blanc, quelque chose d'affreusement désaggréable. Tout s'assombrit autour de lui et il perdu toutes ses forces d'un seul coup. Tout ce qu'il trimbalait avec lui disparut de ses mains pour atterir sur le sol. Plusieurs personnes se retournèrent vers lui, attirées par le bruit de la console qui se disperça partout sur le sol en reconnut cet effet de ralentit, ce mal de tête causé par le son, il allait avoir une vision complètement forcée par une force inconnue. Pourtant, jamais, absolument jamais une vision ne lui avait fait autant d'effets. Ces étapes, il les passait en moins d'une seconde habituellement, voilà maintenant qu'il avait le temps de se torturer avant que la vision n'essait simplement d'apparaître. Mais qui pouvait donc être cet inconnu derrière lui pour lui faire un effet monstre comme celui-là? Invité* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitéSujet Re Ça, c'était pas vraiment prévu [le disjoncté] Lun 20 Sep - 1310 SpoilerIl détestait amèrement les jours de marché. Il y avait généralement tellement de monde qu’il ne s’entendait plus penser. Cependant, il n’allait tout de même pas se priver de pain parce que son esprit ne digérait pas toutes les images qu’il retenait. Il se forçait à mettre les pieds dehors tous les mercredis et à se fondre dans la foule. Généralement il n’y restait même pas un quart d’heure car il finissait par craquer et par rentrer précipitamment chez lui pour casser quelque chose. La semaine précédente, il avait massacré une pauvre chaise parce que toutes les voix de ces inconnus s’étaient mêlées à celles qui étaient déjà dans sa tête, et qu’il avait cru devenir totalement fou. Il l’était déjà, mais encore pire ! Il avait d’ailleurs passé le restant de la journée allongé sur le canapé, à parler tout seul. Ou plutôt à parler à ses autres personnalités, à leur dire à quel point il n’appréciait guerre qu’elles interviennent sans cesse dans ses décisions, et que la prochaine fois qu’elles le mettaient aussi mal il n’hésiterait pas à se tuer. Il disait toujours ça. Un mercredi, aussi, il y a quelques semaines, il avait été pris d’une crise d’angoisse parce qu’il y avait du monde qui faisait la queue derrière lui, et qu’il n’avait pas réussi à choisir entre le melon et la pastèque. Sa panique fut si grande que le marchand lui donna les deux. Mais Axel ne voulait pas les deux, il voulait soit l’un soit l’autre, était-ce si compliqué que cela à comprendre ? Il s’était senti défaillir à cause de ce choix qu’il ne parvenait pas à prendre. Pour finir et mettre fin à tous ses maux, il détruisit les deux cageots dans un accès de violence et parti en courant. Ce souvenir avait hanté ses nuits les quatre jours qui suivirent. Melon ou pastèque ? Melon ou pastèque ?’ COURGETTE ! En fait, c’était une fois calmé et enfermé volontairement dans une sorte de petit et sombre cagibi qu’il avait dressé dans sa chambre pour se punir, qu’il se souvint qu’il n’aimait pas le melon. Ensuite, il avait détruit son petit espace, encore une fois, lorsque sa punition eut assez duré et laissa place à sa claustrophobie habituelle. Généralement il suffisait d’ouvrir la petite porte de bois pour sortir mais non, lorsqu’il panique, il n’abaisse pas la poignée il donne des coups de poings, fait des trous et il casse tout. Et il reconstruisait quelques jours plus tard ce cagibi pour la prochaine fois qu’il ferait une bêtise, qu’il s’y enferme pour sa sanction. Et si nous revenions au moment présent ? Il venait d’acheter une baguette de pain toute chaude. L’homme était extrêmement fier de lui car lorsque la vendeuse lui demanda s’il avait voulu un pain complet ou bien normal, il avait réussi à donner une bonne réponse, et non à dire le contraire que ce qu’il pensait de peur de faire une nouvelle crise. Parfois, il avait cette sensation que tout allait bien et qu’il était parfaitement normal. Les voix s’étaient tues en lui, comme si elles dormaient. Et dans ce genre de moment, il en profitait pour penser. Du moins il essayait, car il maudissait toutes les images et les autres voix qu’il recevait de la part de cette foule. Mais… chht, vous allez réveiller ses autres personnalités ! Le schizophrène reprit sa marche, le pain dans la main, et d’une allure plutôt calme et posée. Il s’approcha sans le voir d’un homme dont il ne fit pas attention. Cependant, il ressentit comme une sorte de blocage. Est-ce que c’était lui, ou bien ce type venait de se crisper à son approche ? Axel sursauta en voyant la console se détruire sur le sol dans un bruit assourdissant. Il fronça les sourcils et fixa cet individu. Il ne rêvait pas, c’était lui qui faisait cet effet ! Le schizophrène l’observa, interloqué, avant de lancer quelques regards sur les gens autour dans l’espoir de se tromper, et de voir apparaître quelqu’un d’autre qui était à l’origine de ce trouble chez cet homme. Mais non, rien. Ce type n’était visiblement pas normal et voyant que quelque chose clochait à cause de sa présence, Axel recula de quelques pas. Il fit même plus, il ne se retourna pas mais s’éloigna en passant à coté d’autres personnes, tandis que des gens se précipitaient sur cet inconnu pour lui demander si ça allait. Si c’était Axel qui faisait cet effet à ce garçon, alors autant s’en aller. De toute manière, le médiateur n’était pas assez curieux pour risquer une syncope ou il ne savait quoi chez ce type, simplement pour savoir pourquoi ce dernier avait l’esprit en pagaille à son approche. Mais quand même… C’est quoi cette histoire de vision ? Invité* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitéSujet Re Ça, c'était pas vraiment prévu [le disjoncté] Lun 20 Sep - 1357 D'après chacune de nos actions, d'après chacune de nos pensées et des choses qu'on disait, le futur changeait. Jason, grâce à son pouvoir, avait cette capacité de voir, à l'avance, si ce qu'il faisait était bon ou pas. Il pouvait commander l'avenir quand il le voulait, un peu comme la télévision à la carte, mais c'était l'avenir à la carte. Il n'y avait aucune conséquence à payer, jamais, mis à part celle de ne pas être tout le temps spontané. Voyez par exemple cet entraînement excessif qu'il s'imposait lui-même, il avait vu, avant le tremblement, que cela pouvait l'aider pour quelque chose qu'il n'arrivait pas à identifier, mais comme il était certain que cela s'avérerait utile, il l'avait maintenant il s'inquiétait, l'avenir était... son pouvoir de clairvoyance avait toujours été sous son contrôle, il lui arrivait parfois de recevoir des visions qu'il ne prenait pas la peine de demander. Lorsqu'il en était victime, tout virait toujours en catastrophe autour de lui et il ne voyait habituellement que cela, des catastrophes. Par contre, elles étaient habituellement très utiles même si dévastatrices, cela lui avait déjà permis de sauver l'hôtel avant même de savoir qu'elle chose différait avec cette habitude qu'avait les visions de l'attaquer. Tout était bien pire, les effets s'annonçaient davantage dévastateurs. Il n'arrivait plus du tout à se concentrer et ses mains se portèrent naturellement à sa tête pour cacher ses oreilles et appuyer sur ses tempes. Des gémissements de douleurs se faisaient entendre autour de lui, bientôt muets face à tout le bruit que causaient les gens maintenant autour de lui. Son dos se recourba davantage tandis que les gémissements s'amplifièrent. S'il avait toujours été maître de ses pouvoirs, voilà maintenant que l'un d'eux prenait le dessus sur lui. Soudainement, sans le commander, il prit possession de chacune des personnes qui l'entouraient, sauf une et, sous un gémissement pire que les autre, il leur commanda de se jeter le plus fort possible par derrière et de perdre connaissance. Ils atterirent tous sur le dos, comme si une onde de choc avait percuté chacun d'eux et ne restaient debout que deux personnes dans le marché Jason et l' vision était pire que toutes les autres. Jamais il ne réussissait à bien voir le passé et jamais il n'avait réussit jusqu'à maintenant à le voir à distance. Si on lui demandait de fouiller le passer de quelqu'un, il se devait de toucher cette personne. Il n'en voyait que très peu et retournait à la réalité mais là, il s'agissait de l'une de ses plus longues visions assurément. Un homme, un seul et une femme. L'homme avait les yeux d'un bleu très clair, le visage bien carré, des traits bien définis, il resemblait énormément à Jason. Son nez était le même, même ses sourcils rappellaient le visage angélique du Badley. Mais il y avait touours cet autre femme. Un autre homme fit son apparition. Il était grand, beau. Ses yeux étaient d'un bleu aussi clairs que l'homme d'avant. Ses cheveux bruns, longs, un visage avec des formes devint la première fois qu'une vision lui demandaient tant de concentration, tant d'analyse. Il ne comprenait rien, absolument rien. Deux hommes, une femme, c'était du n'importe quoi. Lorsque la vision de Jason revint à la normal, sa poitrine se remit à battre. Il avait reconnu le premier homme, son père. Mais que venait-il faire de si important dans sa vision? Et sa mère aussi? Qu'est-ce qu'il y avait à comprendre? Et l'autre garçon, qui était-il?Il se retourna, qui était cet individu qui lui avait causé tant d'émotions, qui pouvait bien lui faire un effet assez important pour que ses propres pouvoirs prennent le dessus sur lui?Ce qu'il vit, ce qu'il déduit le détruit de l'intérieur. La vérité était ouverte au grand jour, pour Jason. L'inconnu derrière lui, c'était celui de sa poitrine arrêta de battre à Jason ressemblait énormément à son père, l'inconnu qui se tenait debout lui ressemblait encore plus, un copie de son propre père. L'inconnu était le parfait mélange entre sa mère... et son souffle coupé, incapable de respirer à nouveau, il en perdit presque connaissance lui aussi.*C'est pas vrai... C'est impossible... j'ai pas de frère...* Invité* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitéSujet Re Ça, c'était pas vraiment prévu [le disjoncté] Lun 20 Sep - 1506 Il avait beau s’éloigner, il n’avait pas l’impression que cet inconnu allait mieux. C’était comme s’il venait de déclencher un mécanisme qui faisait appel à de longs roulement le temps de se mettre en route. Une bombe à retardement peut-être, et qui ne pouvait pas revenir en arrière une fois que le rouage s’était enclenché. Voyant que reculer ne servait plus à rien, Axel s’immobilisa et darda un regard songeur sur cet homme. Qu’est-ce qu’il pouvait bien y faire ? De toute manière, il y avait plusieurs personnes autour qui tentaient vainement de l’aider. Mais le schizophrène ne savait même pas de quoi il était atteint, alors il voyait encore moins comment y remédier ! En attendant, et pour cacher ce soupçon de nervosité, il mordit dans sa baguette et commença à mâcher rapidement. Il se sentait mal. Il n’y était pour rien, cependant il commençait à douter de lui-même. Il essayait vainement de se rappeler d’une chose qu’il n’avait pas faite. Peut-être qu’il avait poussé ce type ! Peut-être que l’une de ses personnalités avait pris le contrôle de son bras et avait frappé cet homme sans qu’il ne s’en aperçoive ! Cela lui paraissait improbable car il l’aurait vu faire, mais après tout, il avait bien certaines pertes de mémoire dues à ses troubles mentaux ! Tandis qu’il réfléchissait à l’éventuelle possibilité d’avoir fait du mal à cet homme, et qu’il commençait à culpabiliser en même temps qu’il prenait peur de ce qu’il faisait sans même s’en rendre compte, l’individu en question poussa des gémissements. Axel détournait le regard. Voir cet inconnu dans cet état le troublait, et le dérangeait. J’y suis pour rien… » grogna-t-il à son voisin, alors que ce dernier ne le regardait pas et ne le soupçonnait encore moins. C’est que parfois, lorsqu’il était nerveux, il était aussi paranoïaque. Axel ne savait pas quoi faire. Il entendait les voix se réveiller en lui. En fait, c’était le fait d’entendre cet inconnu gémir qui réveillait toutes les voix en lui. Bizarrement, il se sentait terriblement mal de le voir ainsi. L’homme fit un pas en avant, instinctivement. Il commençait à avoir un nœud dans le ventre et la pression autour devenait plus difficile à supporter. Il avait envie de se pencher en avant et de lui supplier de se redresser, il voulait lui demander d’aller mieux, aussi improbable que cela puisse paraître ! Il ne ressentait pas la souffrance mais avait droit à tous les échos qu’elle provoquait sur son passage. Il n’entendait plus que l’esprit de cet homme, maintenant, ainsi que toutes les voix qui s’étaient réveillés en lui pour lui murmurer par des papotages incessants de partir, de rester, de s’approcher et de retourner au stand de fruits pour acheter une pastèque pour réparer son erreur de la semaine précédente. Il mâchouilla un autre morceau de pain lorsqu’il entendu l’individu devant lui hurler de manière beaucoup plus plaintive et plus forte que les autres. Le cœur d’Axel se serra, non pas pour l’effet que ces paroles provoquèrent, parce qu’il ne le remarqua pas tout de suite, mais parce que voir cette personne souffrir le rendait terriblement mal. Mais pourquoi disait-il ce genre de chose ? Eh.. »L’homme s’apprêtait à dire quelque chose, lorsqu’il sentit une force tenter d’entrer dans sa tête. Quelqu’un voulait lui lancer un sort ? Il résista assez facilement à cette pression et fronça les sourcils. Il s’avança d’ailleurs vers l’inconnu pour savoir si c’était ce dernier qui avait tenté quelque chose, mais lorsqu’il marcha sur le bras de quelqu’un, Axel se rendit compte, et vit tous les corps endormis autour. L’homme devint presque blême. Ho non. Plusieurs jurons passèrent dans sa tête par surprise. C’était lui qui avait fait ça ? C’était de sa faute ? NON ! Il avait perdu la mémoire, les pédales et venait de cogner tous ces gens sans s’en rendre compte ! Ca y’est, il avait complètement disjoncté, il était temps pour lui de mettre fin à sa vie et de… de… Il s’interrompit dans sa pseudo-panique et reposa son regard sur l’inconnu. Attendez, mais c’est lui qui leur a ordonné de s’évanouir, pas Axel ! Mais comment avait-il fait ça ? Le schizophrène serra le poing qui ne tenait pas la baguette. Il avait affaire à un sorcier et il préférait rester sur ses gardes. Alors qu’il faisait un nouveau pas vers le plaintif, il capta les images qui passaient dans l’esprit de ce dernier. Parce qu’il y pensait en même temps qu’il les recevait, car oui, ça ne semblait pas volontaire, c’était comme une force extérieure qui lui imposait ces images… Une vision ? Axel semblait reconnaître quelques visages familiers, mais il avait énormément de mal à se concentrer dessus. Il ressentait d’ailleurs tous les efforts que l’inconnu faisait, et fronçait les sourcils. C’était si étrange parce que dans ces images, il se voyait lui, Axel. Avec trois individus qu’il ne connaissait pas et l’un d’eux était cette étrange personne en face de lui. Lorsque l’inconnu reprit son souffle, Axel eut la certitude qu’il s’agissait là d’une vision, et il commençait sérieusement à avoir peur de la signification. *C'est pas vrai... C'est impossible... j'ai pas de frère...** C’est impossible… il ne pense pas ça !* Le schizophrène le regarda interloqué, puis il le fixa comme s’il s’attendait à ce que cette personne vienne à penser à un je t’ai eu ! ». Non, il y avait quelque chose, il y avait anguille sous roche ! Un gag ? Un sorcier qui faisait des gags ? Si c’était le cas, alors ça n’avait rien de drôle ! On ne joue pas avec le cœur d’un malade comme lui… Axel s’approcha de cet homme pour le sonder du regard. Il avait… Non il n’en avait pas ! Il sentait la colère le gagner parce que ce type se jouait de lui ! Ou parce que la nouvelle était trop dure à encaisser… Bien sûr que non ! » s’écria-t-il en pointant l’homme de la baguette. Il avait fait toute son enfance dans une famille qui n’était pas la sienne, et voilà que ce type apparaissait dans sa vie, quand tout allait presque bien… Un homme qui ne semblait pas très net non plus, et qui ne confirmait certainement pas l’espoir de guérison qu’Axel avait en lui ! Il lui en voulait… il n’aurait su dire pourquoi exactement, ni ce qui lui prenait, mais il n’attendit même pas que cet inconnu se redresse totalement qu’il balança son pain sur un des corps étendus et lui fonça dessus. Arrête ! » s’exclama-t-il en le prenant par le col et en le poussant brusquement en arrière, Arrête ça, JE SUIS PAS TON FRERE ! » L’inconnu n’était qu’à quelques centimètres, pourtant Axel avait hurlé. Il voulait ne plus entendre toutes ces pensées, il voulait l’ignorer, il voulait qu’il arrête d’y penser. La seule solution qui s’imposa à lui était de laisser libre cours à sa colère et il céda rapidement à la tentation. Le malade devenant violent, il balança son poings dans l’estomac de celui en face de lui en regardant le sol parce que toutes les voix en lui hurlaient dans sa tête et commencaient à lui faire sérieusement mal. Arrêtez ! » cria-t-il en même temps, FICHEZ-MOI LA PAIX ! »Son visage devenait rouge et il commençait à se sentir tellement hors de lui que ses membres tremblaient. Il s’avança vers Jason pour tenter de le ruer de coups, ne se contrôlant plus. Il le fusillait du regard comme pour lui ordonner d’arrêter de penser, alors que c’était sa propre tête qui le martyrisait. Contenu sponsorisé* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Sujet Re Ça, c'était pas vraiment prévu [le disjoncté] Ça, c'était pas vraiment prévu [le disjoncté] Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumUnion Life Hors-Jeu! Les Archives Minis-RP
Pourles roues se sera des LM comme ma dernière je trouve ça sobre et passe partout Haut | Bas: Hors ligne Profil. Ted Sujet du message: Re: De retour en v5 et c'était pas prévu!!!! Posté: 15 Avr 2018, 09:50:14 . Perfusé au Forum: Inscription: 28 Avr 2009, 15:46:30 Messages: 2213 Localisation: tain l'hermitage Région: 26 Golf IV TDI 130 GTI de Aoû 2003. Vivement des photos
La Walt Disney Company vient de prolonger son line-up jusqu'en 2023, révélant les dates de sortie des prochaines productions Disney, Marvel et Lucasfilm, qui restent encore non identifiées pour la plupart. Walt Disney Pictures Ainsi que l'a relayé le compte Twitter Exhibitor Relations, la Walt Disney Company vient d'annoncer officiellement son line-up pour les 5 prochaines années, posant des dates de sortie sans toutefois y associer de titres pour le moment jusqu'en... février 2023 ! Après les productions de l'année 2018, parmi lesquelles figureront entre autres Avengers Infinity War, Solo A Star Wars Story, Les Indestructibles 2 ou encore Le Retour de Mary Poppins, Disney nous donne donc rendez-vous dans les salles aux dates suivantes 2019 12 films 8 mars 2019 Captain Marvel 29 mars 2019 Dumbo en prises de vues réelles, par Tim Burton 19 avril 2019 Penguins Disney Nature supposément la sortie américaine de L'Empereur de Luc Jacquet 3 mai 2019 Avengers 4 24 mai 2019 Aladdin en prises de vues réelles, par Guy Ritchie 21 juin 2019 Toy Story 4 19 juillet 2019 Le Roi Lion en prises de vues réelles, par Jon Favreau 9 août 2019 Artemis Fowl 4 octobre 2019 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 8 novembre 2019 un conte de fées Disney inconnu en prises de vues réelles 27 novembre 2019 La Reine des neiges 2 20 décembre 2019 Star Wars Episode IX Walt Disney Pictures 2020 13 films 14 février 2020 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 6 mars 2020 un long métrage d'animation Pixar inconnu 27 mars 2020 Mulan en prises de vues réelles, par Nikki Caro 3 avril 2020 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 1er mai 2020 un film Marvel inconnu 29 mai 2020 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 19 juin 2020 un long métrage d'animation Pixar inconnu 10 juillet 2020 Indiana Jones 5 21 juillet 2020 un film Marvel inconnu 9 octobre 2020 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 6 novembre 2020 un film Marvel inconnu 25 novembre 2020 un long métrage d'animation Disney inconnu 23 décembre 2020 un film Disney inconnu en prises de vues réelles Walt Disney Pictures 2021 10 films 12 février 2021 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 12 mars 2021 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 7 mai 2021 un film Marvel inconnu 28 mai 2021 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 9 juillet 2021 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 30 juillet 2021 un film Marvel inconnu 8 octobre 2021 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 5 novembre 2021 un film Marvel inconnu 24 novembre 2021 un long métrage d'animation Disney inconnu 22 décembre 2021 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 2022 10 films 18 février 2022 un film Marvel inconnu 18 mars 2022 un long métrage d'animation Pixar inconnu 6 mai 2022 un film Marvel inconnu 27 mai 2022 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 17 juin 2022 un long métrage d'animation Pixar inconnu 8 juillet 2022 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 29 juillet 2022 un film Marvel inconnu 7 octobre 2022 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 4 novembre 2022 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 16 novembre 2022 un film Disney inconnu en prises de vues réelles 2023 17 février 2023 un film Disney inconnu en prises de vues réelles Disney / Pixar Ce qu'il faut retenir... - La sortie d'Avengers Infinity War, avancée d'une semaine au 28 avril 2018 - L'annulation de Noëlle, comédie hivernale avec Anna Kendrick prévue pour le 8 novembre 2019 dans les salles, et qui sortira finalement en VOD sur la nouvelle plate-forme Disney - Le report de Mulan, initialement prévu pour la fin d'année 2019, et qui sortira finalement en mars 2020 - Un nombre impressionant de longs métrages Disney en prises du vues réelles 24 au total entre mars 2019 et février 2023. Parmi ces nombreux projets inconnus, on retrouvera certainement Il était une fois 2, suite du conte de fées new-yorkais de 2007, et Jungle Cruise, adaptation de la célèbre attraction américaine avec Dwayne Johnson. - 9 longs métrages Marvel encore non identifiés, parmi lesquels figureront vraisemblablement Les Gardiens de la Galaxie 3 et le film sur Black Widow - aucun créneau précis pour les futures productions Lucasfilm, qui sont certainement comprises dans les "Disney en prises de vues réelles" - 6 long métrages animés inconnus entre 2020 et 2022 deux Disney et quatre Pixar. Pour le moment, le seul projet vaguement esquissé par les dirigeants du studio est un film Pixar momentanément intitulé "Suburban Fantasy World", centré sur un monde peuplé de dragons, d'elfes et de licornes. En attendant d'en apprendre davantage sur ces nombreux projets à venir, redécouvrez la bande-annonce de la prochaine production Disney en date, "Un raccourci dans le temps"... . 680 310 346 342 283 69 349 123

c était pas prévu comme ça